« Il y eut une soudure spontanée entre l'idéalisme intellectuel de Florence, le sentimentalisme des peintres ombriens, la sensualité de Venise (...) et la volonté des maçons et des statuaires de l'empire qui bâtirent les aqueducs, les thermes, les cirques »
— Gabriel Faure, Hist. art, 1914, p.394
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
Jacques-Camille Broussole (préf. Joris-Karl Huysmans), La jeunesse du Pérugin et les origines de l'école ombrienne, Paris, H. Oudin, , 551 p. (BNF30166357).