Il constitue la "pointe blindée" de la 6. Armee lors de son avancée dans la grande boucle du Don. Il subit de plein fouet la contre-offensive des 1er et 4e armées de chars soviétiques qui le mettent en position périlleuse fin juillet 1942 dans la région de Kalatch.
À la suite d'un mouvement audacieux qui lui fait traverser le Don sur des pontons à Vertiachi, le corps perce en une journée les quatre lignes de défenses prévues par les soviétiques autour de Stalingrad. Le le XIV. Panzerkorps devient ainsi la première unité allemande à atteindre la Volga. Il est alors pris dans de très durs combats lors des tentatives soviétiques pour dégager la 62e armée (les offensives de Kotlouban). La situation dégénère au point que son unité de pointe, la 16. Panzer-Division, se trouve privée de ravitaillement et menacée d'encerclement ; une crise éclate dans le commandement allemand, qui aboutit au limogeage de von Wietersheim, remplacé à la tête du corps par Hube.
La pression constante du front de Stalingrad puis du Front du Don mobilise la majeure partie des forces du XIV. Panzerkorps tout au long de la bataille de Stalingrad et l'empêche notamment de participer aux premières phases de l'attaque contre la ville dont il devait saisir les faubourgs nord et le secteur des usines. Il ne se joint aux assauts contre la ville qu'au mois d'octobre mais se heurte alors à des positions défensives particulièrement bien préparées dans le secteur de Rynok et Spartankovka qu'il ne réussira jamais à contrôler totalement.
Fin , le corps est envoyé à l'ouest du Don pour tenter de contrer l'opération Uranus mais il entre trop tard en action et doit faire face à des forces trop importantes pour empêcher l'encerclement de la 6. Armee, le . Il doit alors se replier à l'est du Don avec le XI. Armeekorps sous une forte pression de la 65e Armée soviétique.
Le corps est ensuite déployé au sud-ouest de la poche pour préparer l'opération Donnerschlag : tenter une percée pour rejoindre le LVII. Panzerkorps envoyé au secours des assiégés de Stalingrad; mais l'opération ne sera jamais déclenchée à la suite de l'échec de l'opération Wintergewitter.
Ses unités seront pratiquement détruites entre le 12 et le lors de la première phase de l'opération Koltso.
Les survivants capitulent le avec le reste de la 6e Armée.
Il est reformé en avec les survivants du Corps originel. Il est envoyé en France, puis en Italie où il reste jusqu'à la fin de la guerre.