Après avoir exercé les professions de journaliste et d'assistant aux universités de Berne et Lausanne où il obtient une licence en science politique, il est cofondateur de l'« atelier pour la démocratie directe » à Zurich en 1988 en Suisse, puis d'« eurotopia » en 1990[1]. L'Atelier pour la Démocratie Directe se trouve depuis 1998 à St-Ursanne dans le Canton du Jura.
Entre 2008 et il est le premier Suisse qui préside un groupe dans l'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a Strasbourg.
Le Andreas Gross publie dans le Quotidien Jurassien sa 50e pièce dans sa chronique à la page deux sur la Mosaïque de la Démocratie.
Le dans un entretien au journal le Temps, Andreas Gross s'en est pris aux parlementaires du Parti socialiste suisse qui se sont montrés favorables à l'exportation d'armes aux alliés de l'Ukraine. "(...) Je défends moi aussi un soutien à l’Ukraine, mais différent, par exemple en triplant le montant d’aide à la survie en hiver. Ou alors en faisant en sorte d’organiser par l’ONU des cascades de référendums en Crimée, comme les Bernois l’ont fait pour la Question jurassienne!"[6].
Notes et références
↑(en) « Andreas Gross », sur andigross.ch (consulté le )
« Trois inspecteurs du fisc allemand sont sous le coup d'un mandat d'arrêt délivré par la Suisse. Le procureur général de la Confédération les accuse d'espionnage économique. Selon lui, ils auraient participé, en 2010, à la transaction qui a permis à un land allemand d'acheter un CD volé, sur lequel étaient inscrits les noms de clients allemands du Crédit suisse. Le Ministère public de la Confédération souhaite à présent l'entraide judiciaire de l'Allemagne, mais l'affaire suscite déjà la polémique. La gauche allemande accuse ainsi Berne d'interférer dans les négociations sur l'accord fiscal qu'elle combat depuis des semaines. Elle parle du coup d'un procédé « monstrueux » et d'un geste « inamical » de la Suisse. Débat entre Andreas Gross, conseiller nationalsocialiste et Doris Fiala, conseillère nationale pour le Parti libéral-radical. »