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Anne Mariel

Anne Mariel
Nom de naissance Anne-Marie Fanny Goud
Alias
Karina
Naissance
Soissons (Aisne)
Décès [1] (à 91 ans)
Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
Activité principale
Distinctions
Grand prix du roman d'amour en 1954
Prix du Roman populaire en 1956
Prix Marco Polo en 1962
Prix Max du Veuzit en 1962
Conjoint
Tanneguy Archdeacon (de 1927 à 1939)
Famille
Deux enfants, Evelyn Archdeacon Morris et Patrick Archdeacon
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres

Anne Mariel ou Anne-Mariel (nom de plume d'Anne-Marie Goud[2]) est une dramaturge et romancière française, née le à Soissons (Aisne) et morte le à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Elle écrit principalement des romans sentimentaux et d'aventures ainsi que des romans policiers, parus aux éditions Tallandier, du Scorpion, Gautier-Languereau et Fayard. Durant sa carrière, elle obtient plusieurs prix dont celui du Roman populaire en 1956 pour Je me damnerai pour toi ainsi que celui de Max du Veuzit par la Société des gens de lettres en 1962.

Biographie

Publicité pour la pièce de théâtre L'Enjeu en 1943

Née à Soissons dans l'Aisne, le , d'Armand Goud, fonctionnaire dans une succursale de la Banque de France et d'Anaïs Collas Goud, femme au foyer[1],[3], Anne-Marie Fanny Goud épouse à Vernon (Eure), le , Tanneguy Archdeacon (1903 - 1971[4]), le fils aîné d'Ernest Archdeacon, avocat renommé[5],[6]. Malgré la naissance de deux enfants, Evelyn en 1928[7] puis Patrick en 1930[8], le couple ne résiste pas et le mariage se termine par un divorce prononcé le [9].

Au début des années 1930, Anne-Marie Goud entame une carrière de comédienne sous le pseudonyme d'« Anne Mariel » dans une troupe du Grand-Guignol, avec Max Doria et Roger Vincent[10]. Elle fait ses débuts en dans la pièce La Maison des Ténèbres de Pol d'Estoc et Charles Hellem[11], qui lui permet de se faire remarquer par la presse[12], puis enchaîne avec La Nuit étoilée et Sœur Louise (au Théâtre Albert 1er), L'Auto 6827-S-4, Un homme vraiment aimé et L'homme cible toujours au Grand-Guignol[13],[14],[15]. Elle se lance rapidement dans l'écriture de pièces de théâtre avec Demi-tour la même année[16], puis La Huitième heure en 1935, dans laquelle elle joue également[17],[18]. Pièce dramatique se déroulant aux Indes, la Huitième heure est un succès critique et public avec deux cents représentations : « Le dialogue vivant, l'action admirablement bien menée, l'intérêt qui ne ralentit pas une seconde d'intensité, font de La Huitième heure une pièce destinée à une longue carrière et révèle, du même coup, Anne-Mariel Archdeacon comme un de nos jeunes auteurs dramatiques appelé au plus brillant avenir. »[19],[20].

En 1937, sa nouvelle pièce, L'Étrange croisière, mise en scène par et avec Charles de Rochefort et Yvonne Garat, est à nouveau saluée par les critiques et lui vaut une petite notoriété dans le milieu théâtral en tant que dramaturge[21],[22]. En 1943, Anne Mariel devient la directrice artistique du théâtre de l'Ambigu[23] mais l'expérience tourne court car sa pièce dramatique L'Enjeu avec Henri Vidal et Fanny Robiane est éreintée par la critique et ne reste qu'un mois à l'affiche[24],[25]. Elle décide alors de se tourner avec l'écriture de romans biographiques puis sentimentaux[26]. De 1949 à 1951, Anne Mariel fait partie des conteurs publiés par le journal L'Aurore, aux côtés de Guy des Cars, Frédéric Dard, Maurice Dekobra et Hervé Bazin[27]. Après avoir été récompensée par le Grand Prix du roman d'amour pour La Vipère aux yeux d'or en 1954, elle remporte grâce à Je me damnerai pour toi le prix du Roman populaire deux ans plus tard[26].

À la fin des années 1950, sa fille Evelyn Archdeacon tente brièvement une carrière dans la chanson sous le pseudonyme de « Carline ». Elle remporte également plusieurs prix dont celui de Tino Rossi, Charles Trenet et le Grand prix du disque de l'Académie Charles-Cros en 1957 (catégorie femmes)[28],[29].

Grande voyageuse, Anne Mariel prétend, quelques années après la mort de Marilyn Monroe, avoir été l'une de ses meilleures amies sans qu'aucun biographe ne confirme cette information[30].

Son roman Feux rouges à Beverly Hills est adapté en 1971 en feuilleton télévisé diffusé sur la Première chaîne de l'ORTF, sous le titre Face aux Lancaster avec dans les rôles principaux, Martine Brochard, Michel Le Royer et Pierre Arditi[31],[32].

Œuvre

Sous le pseudonyme d'Anne Mariel

Pièces

Contes parus dans l'Aurore

Nouvelle

  • Le Raid de la mort, 1948
    Publiée dans La Presse[42]

Émissions-évocations radiophoniques

Romans

  • L'Étoile d'argent, 1944
  • Paix sur la terre, 1945
  • Le Banco du bonheur, 1946
  • La Route de Palmyre, 1948
  • La route sans souvenir, 1948
  • Atlantique-Sud, 1949
  • La Vipère aux yeux d'or, 1953
    Grand Prix du Roman d'Amour 1954
  • La sirène de Damas, 1954
  • Voluptés coréennes, 1954
  • La Messaline des tropiques, 1955
  • Je me damnerai pour toi, 1956
  • L'Ombre d'Angela, Fayard, 1956
  • Le Rubis du Mongol, 1956
  • Le bonheur est un duo, 1956
  • Sans laisser d'adresse, 1957
  • Lucie, mon doux cœur, 1957
  • La Nuit finit toujours, 1957
  • Le talisman hindou, 1957
  • La Colombe de la Casa Negra, 1957
  • Le Collier de pervenches, 1958
  • Prélude à l'orage, 1958
  • Le Bal des bijoux, 1959
  • L'Ombre sur la dune, 1959
  • La Tunique chinoise, 1959
  • J'ai choisi mon paradis, 1960
  • Sur champ d'azur, 1960
  • L'Orchidée bleue, 1960
  • La Rivière des perles, 1960
  • Pourvu qu'il m'aime, 1960
  • Le Trésor du Djebel-Mourad, 1960
  • Mon amour de là-bas, 1960
  • Pour toi seul, 1960
  • Les Sirènes de l'azur, 1961
  • Idylle à Vienne, 1962
  • Le Rêve éblouissant, 1962
  • Tout commença par une chanson, 1962
  • Visa pour New York, 1963
  • L'Inconnue d'Acapulco, 1963
  • Une Minute d'égarement, 1964
  • La Piste perdue, 1964
  • Les Clefs du bonheur, 1964
  • Ombres chinoises, 1965
  • Le Dangereux message, 1966
  • Survint une inconnue, 1966
  • Ce soir à Copacabana, 1967
  • Un amour d'Amérique, 1967
  • L'Oiseau du tonnerre, 1968
  • Nuit romaine, 1968
  • Un soir je reviendrai, 1969
  • Le Grand vent vient du large, 1969
  • Le pavillon des amours secrètes L'espionne de Mao, 1970
  • Les vautours du Capitole, 1971
  • Ce passé qui me hante, 1972
  • Haute surveillance pour Karen, 1972
  • Rendez-vous à Pékin, 1973
    « un bestseller aux États-Unis »
  • L'Épouse sans alliance, 1973
  • Idylle dorée sur tranche, 1974
  • Le Seul amour du Président, 1978
  • L'homme de Mexico, 1980
  • L'inconnu de Park Avenue, 1981
  • L'étincelle sous la cendre, 1983
  • L'homme de nulle part, 1983
  • Le Cavalier noir, Éditions du Rocher, 1990
Romans coécrits
Série Véronica
Série Anicia
Série Le Caniche
  • Le Caniche mène l'enquête, 1956
  • Le Caniche entre dans la danse, 1959
  • Le Caniche et moi, 1965
Série Les Lancaster
  • Feux rouges à Beverly Hills, 1970
    republié sous le titre Face aux Lancaster en 1971
  • Stéphanie et les Lancaster, 1981
Biographies romancées
  • Les nuits secrètes d'Élisabeth d'Autriche, 1949
    Préface de Maurice Dekobra
  • La Vie amoureuse de la marquise de Païva, 1954
  • Lola Montès la Scandaleuse, 1955
  • Madame Tallien, Notre-Dame de Thermidor, 1957
  • Mademoiselle George, la tragédienne passionnée, 1957
  • Louise de Saxe, 1958
  • La Reine Draga, 1958
Série des Traquenards
  • Traquenard en la mineur, 1977
  • Traquenard en Californie, 1978
  • Traquenard en noir et blanc, 1979
  • Traquenard à Honolulu, 1979
  • Traquenard au paradis, 1980
  • Traquenard en technicolor, 1980
  • Traquenard à quatre temps, 1982
  • Traquenard échec et... mat, 1984
  • Traquenard envers et contre tous, 1984
  • Traquenard à la neige, 1984
  • Traquenard Au Monde Libre, 1984

Sous le pseudonyme de Karina

  • La Lettre aux cachets rouges, Gautier-Languereau, 1957
  • Le Dragon de Corail
    Roman feuilleton paru dans un quotidien

Critiques

À propos de L'étrange croisière : « Pour ses débuts, Melle Anne Mariel a choisi un genre qu'il n'est point facile de renouveler : la pièce policière. Celle qu'elle nous donne - et que nous ne risquerons même pas à résumer, tant elle est compliquée - pèche sans doute par un excès de puérilité, mais il y a là cependant beaucoup d'imagination et un sens certain de l'effet mystérieux : c'est plus qu'il n'en faut pour réussir. Souhaitons donc à Anne Mariel de discipliner ses dons, qui sont évidents, et attendons son deuxième essai. »[47]. « Je me suis beaucoup amusé à cette pièce bien faite, ingénieusement mise en scène par M. Charles de Rochefort et qui est remarquablement jouée par MM. Henry-Vérité, Charles de Rochefort, Terrore, Rollin, Maurice Clavaud ; Mmes Yvonne Garat, Sarah Clèves etc. »[48].

À propos du Roi Vierge : « Cette pièce, habilement construite, heureusement menée, possède toutes les qualités requises pour intéresser une jeune compagnie, mais nous ne croyons pas que le public accepterait volontiers de voir jeter à terre, par Madame Anne Mariel, la grande figure de Richard Wagner. (...) Et même, lorsque, comme c'est le cas ici, on écrit une bonne pièce, même lorsqu'on trace un portrait exact, on ne doit pas salir, par une réalité inutile, une image que le temps et le génie ont rendue impérissable. (...) C'est le seul reproche que nous pouvons faire à cette œuvre bien faite, où les personnages sont magnifiquement campés. »[49].

À propos du Poignard aux yeux de Jade : « Anne Mariel, avec la maîtrise qu'on lui connaît, nous fait assister à toutes les phases d'un drame extraordinairement passionnant dont les péripéties imprévues se déroulent dans une atmosphère de mystère. »[50].

À propos de L'enjeu : « De Mme Anne Mariel, trois actes dont je suis bien en peine de vous indiquer le caractère. (...) L'hilarité qui se déchaîne ne répond certainement pas au vœu de l'auteur. Puérilités, lieux communs et balourdises de toute sorte font assaut de politesse à l'intérieur d'un jargon qui décourage la critique. »[51]. « Toutefois, récemment, à l'occasion de « L'Enjeu », qui se joue actuellement à l'Ambigu, il y a eu, au lendemain de la répétition générale une si... générale fureur critique que nous y sommes allés voir. Et, ma foi, sans, bien entendu, crier au chef-d'œuvre, sans même reprendre l'expression d'Antoine, lorsqu'en veine d'indulgence - ce qui était rare - mais peu intéressé par le sujet, il concédait que la pièce était bien « goupillée » , je dirai qu'il n'y avait pas lieu de faire tant de tapage. »[52].

À propos du Secret de Maldec : « J'aime moins la pièce policière d'Anne Mariel et André Gerlin. Ce n'est pas qu'elle ne puisse s'écouter avec intérêt. L'on a une certaine curiosité pour cette histoire d'un bon vivant soudain assassiné et en qui se cachait un contre-espion. (...) Et les auteurs nous tiennent avec la pointe du sphynx. Je crois cependant que leur métier aurait pu avoir plus de rigueur. On se plaint que la mariée ne soit pas aussi belle qu'on l'eût désirée. »[53]. « Mme Anne Mariel et M. André Gerlin ratent certains de leurs tours ; cependant leur bonne volonté mérite notre sympathie. »[54].

Notes et références

  1. a et b « Goud Anne Marie Fanny », Fichier des décès (consulté le )
  2. (en) « Catalog of Copyright Entries. Third Series: 1956: January-June », Library of Congress, (consulté le )
  3. « Registre d'état-civil - arrondissement de Soissons », Archives de l'Aisne, (consulté le ), p. 102
  4. « Archdeacon Tanneguy Marie René », Fichier des décès (consulté le )
  5. « Carnet du jour », L'Écho de Paris, (consulté le )
  6. Serigny, « Le monde et la ville », Le Figaro, (consulté le )
  7. « Carnet du jour », L'Écho de Paris, (consulté le )
  8. Valfleury, « Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville », Le Figaro, (consulté le )
  9. « Registre d'état civil » (consulté le ), p. 17
  10. « Le spectacle à Paris », Journal des débats politiques et littéraires, (consulté le )
  11. « Théâtres et cinémas », Les potins de Paris, (consulté le )
  12. « Le Théâtre », La Liberté, (consulté le ) : « Melle Anne Mariel, dont la presse a souligné le talent au lendemain de la répétition générale du spectacle actuel au Grand-Guignol, est en pourparlers avec un directeur des Boulevards pour un engagement important. »
  13. M. F., « Au théâtre Albert 1er - « Sœur Louise » et « La Nuit étoilée » », Comœdia, (consulté le )
  14. « Nouvelle pièce - Au Grand-Guignol », Le Jour, (consulté le )
  15. E. S., « Spectacles », L'Œuvre, (consulté le )
  16. « Bruits de coulisses », Paris-Soir, (consulté le )
  17. « Carnet du critique », Comœdia, (consulté le )
  18. « Derrière le rideau », Le Populaire, (consulté le ) : « Mme Anne-Mariel Archdeacon présentera sa pièce, La Huitième Heure, drame en deux actes et trois tableaux - qu'elle interprètera elle-même (...). »
  19. « La Huitième heure », Le Bon répertoire, (consulté le )
  20. « Théâtre municipal », Le Petit Courrier, (consulté le )
  21. René Duverne, « Le Théâtre et la Vie sociale », La Jeune République, (consulté le ) : « Anne-Mariel, à qui une curieuse pièce d'espionnage a valu tout de suite la notoriété »
  22. Hugues Delorme, « La vie théâtrale », La Vie parisienne, (consulté le ) : « Les moins indulgents constatent les qualités de « L'Étrange croisière » de Mme Anne-Mariel. Pièce policière aux procédés renouvelés. (...) or, la foule continue à bouder cette petite pièce. »
  23. « Théâtres », Le Matin, (consulté le )
  24. Marcel Lapierre, « L'Enjeu au théâtre de l'Ambigu », L'Atelier, (consulté le ) : « Platitude et banalité, c'est déjà quelque-chose de minable. Mme Anne-Mariel y a ajouté la naïveté la plus désarmante. En résumé, ses personnages parlent bêtement pour dire des choses sans intérêt. Voilà dans quelle erreur risquent de tomber les dames qui délaissent le ravaudage des chaussettes pour le rafistolage littéraire. »
  25. Jean-Michel Renaitour, « Le théâtre », L'Œuvre, (consulté le ) : « M. Serge Lederlin, directeur de l'Ambigu, n'a pas la main heureuse : il présente encore une pièce qui a reçu de la critique, à la répétition générale, un accueil glacial, et qui même a frisé « la mise en boîte » aux moments que l'auteur avait voulu les plus pathétiques. »
  26. a et b « Le prix du roman populaire va à Mme Anne Mariel », Le Droit, (consulté le ), p. 10
  27. « Voici les conteurs de l'Aurore », L'Aurore, (consulté le )
  28. « Pour se libérer d'un complexe d'infériorité, Carline va franchir le mur du son et enregistrer son premier disque », Combat, (consulté le ) : « Sa mère, la romancière Anne Mariel, a fait les voyages les plus extraordinaires, simplement pour satisfaire sa curiosité professionnelle. »
  29. « Carline (chanteuse) », BNF (consulté le )
  30. « Marilyn Monroe avait ri de cette légende et elle en est morte », Le Petit Journal, (consulté le ) : « Telle est la révélation de la célèbre romancière Anne Mariel à son retour des États-Unis : Anne Mariel était une grande amie de Marilyn Monroe. », p. 36
  31. Nils Ahl et Benjamin Fau, Dictionnaire des séries télévisées, (lire en ligne)
  32. Jacques Siclier, « FEUILLETON ANONYME Face aux Lancaster », Le Monde, (consulté le ) : « Ce feuilleton qui succède à Adieu mes quinze ans, chronique sentimentale d'une adolescence, est tiré d'un récit de mystère et d'angoisse, Feu rouge à Beverley Hills, dont l'auteur est Anne Mariel, romancière à gros tirages. »
  33. « Représentation théâtrale », Journal de Beaune, (consulté le )
  34. « Théâtre », Le Petit Journal, (consulté le )
  35. Anne-Mariel, « Le conte de l'Aurore : Jo », L'Aurore, (consulté le )
  36. Anne-Mariel, « Le conte de l'Aurore : Le Jugement de Dieu... », L'Aurore, (consulté le )
  37. Anne-Mariel, « Le conte de l'Aurore : Si Richard ne vous aime plus... », L'Aurore, (consulté le )
  38. Anne-Mariel, « Le conte de l'Aurore : Sang jaune », L'Aurore, (consulté le )
  39. Anne-Mariel, « Le conte de l'Aurore : Le retour de Joe », L'Aurore, (consulté le )
  40. Anne-Mariel, « Le conte de l'Aurore : Ramos était un gentleman », L'Aurore, (consulté le )
  41. Anne-Mariel, « Le conte de l'Aurore : J'ai tué Hervé...! », L'Aurore, (consulté le )
  42. « Le coquetier d'honneur », Les Ailes, (consulté le )
  43. « Les programmes - jeudi 1er février », L'Humanité, (consulté le )
  44. « Chaîne parisienne », Combat, (consulté le )
  45. Jacques Baudou, Radio mystères - Le théâtre radiophonique policier, fantastique et de science-fiction, (lire en ligne), p. 124
  46. « Samedi 7 mai », Combat, (consulté le )
  47. A. L. B., « Premières représentations », Le Petit Parisien, (consulté le )
  48. Georges Le Cardonnel (en), « L'Étrange croisière au Théâtre Charles de Rochefort », Le Journal, (consulté le )
  49. Didier-Viriot, « Les jeunes compagnies - Les jeunes auteurs », Le Figaro, (consulté le )
  50. « Le poignard aux yeux de jade », L'Écho de Rive-de-Gier, (consulté le )
  51. Roland Purnal, « La semaine théâtrale », Comœdia, (consulté le )
  52. Jean Romeis, « Le théâtre et le cinéma », Le Journal, (consulté le )
  53. Max Frantel, « « Le Secret de Maldec » et « Après le Bal » au théâtre Lancry », Comœdia, (consulté le )
  54. Jean Silvain, « Le théâtre », L'Appel, (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens

Autres articles de presse

  • Régis-Leroi, « Lorsque les femmes deviennent auteurs dramatiques : De Marie Lénéru à Anne Mariel, elles abordent tous les genres », Minerva, no 620,‎
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