Elle expose en 1950 avec le groupe Les mains éblouies[2]. Travaillant en Provence, elle expose surtout à Vence et Cagnes[2]. Matisse, qui voit sa peinture, ne cesse de lui prodiguer des encouragements[2]. Elle montre une belle assurance tant dans la composition en surfaces franches que dans le maniement de somptueuses pâtes dorées éclatant sur le bleu[2]. Aux paysages du Midi et aux natures-mortes aux chardons, peints à l'huile, il faut ajouter à son actif des gravures sur bois et des dessins, au trait singulièrement aigu[2].