Située non loin de Firminy, à la limite des anciennes régions administratives de l'Auvergne et de Rhône-Alpes, à quelques encablures du Forez et aux portes du Velay, elle est traversée par la Loire. Elle s'inscrit dans l'unité urbaine de Saint-Étienne de la banlieue de laquelle elle est l'une des communes, à environ 20 minutes de route. Selon certaines définitions de l'INSEE, Aurec se situe aussi dans la zone d'influence de la métropole lyonnaise à laquelle elle est reliée par train en une heure.
On recense environ 6 000 habitants en 2015, ce qui place la commune au cinquième rang en matière de démographie en Haute-Loire.
La commune s'étend sur les deux rives de la Loire mais le centre ancien se situe sur sa rive droite. La situation très encaissée de la ville (430 mètres d'altitude dans le centre-ville), blottie dans une sorte de « cuvette », lui offre un microclimat, ce qui lui vaut régulièrement le surnom de « Petit Nice »[réf. nécessaire]. Sur ses hauteurs, les hameaux d'Ouillas ou Pied notamment sur la rive droite et Mons ou Beauvoir sur la rive gauche culminent à plus de 800 mètres d'altitude. Une table d'orientation installée par la municipalité est située à proximité du village de Mons, sur le plateau vers Saint-Maurice-en-Gourgois. Elle permet d'apprécier une splendide vue sur le bassin de vie stéphanois.
Localisation
Carte de la commune avec localisation de la mairie.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 716 mm, avec 8,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Monistrol-sur-Loire », sur la commune de Monistrol-sur-Loire à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 10,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Statistiques 1991-2020 et records MONISTROL-SUR-LOIRE (43) - alt : 777m, lat : 45°18'50"N, lon : 4°13'52"E Records établis sur la période du 01-01-1992 au 04-01-2024
Source : « Fiche 43137003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Au , Aurec-sur-Loire est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[11],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (50,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,3 %), zones urbanisées (13,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %), prairies (3,1 %), eaux continentales[Note 6] (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aurec-sur-Loire en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (23,9 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (64,8 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Par ailleurs, la départementale D 46 la relie à Firminy et elle se trouve à 10 minutes de la RN 88 depuis La Chapelle-d'Aurec.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes [Ecclesia S. Petri de] Auriaco vers 1030 (La Mure, ducs de Bourbon, III, pr., 16)[16],[17]; [Prior de] Aurecyo en 1299 (les Olim, III, 2); [Mandamentum d’]Aurec en 1317 (Arch. nat., P. 14003, c. 990); Castrum Aureaci en 1322 (Arch. nat., P. 4941, c. 44); Auriacum supra Litgerim en 1405 (Drôme); Auriec au XVIe siècle (Médicis, II, 343); Ourier en 1569 (terrier de Saint-Didier); Aurec[-Nerestang] en 1674 (Haute-Loire, B. 29)[16].
Il s'agit d’une formation toponymique gallo-romaine en -(i)acum[17], suffixe de localisation et de propriété d'origine gauloise et qui explique la plupart des formations toponymiques terminées par -(i)ac dans le sud de la France, en -(a)y généralement dans le nord et -(i)eu dans le domaine du franco-provençal au centre sud-est. Cependant dans deux secteurs en France -(i)acum a subi une évolution particulière en -(i)ec, -(i)ecq, il s'agit dans le cas d’Aurec de l'ancienne limite entre la langue d’oc et le franco-provençal[18].
Le premier élément Aur- représente sans doute un nom de personne latin Aurius[17], bien représenté dans le sud de la France, d'où les homonymies avec Auriac (Lot, Aveyron, Cantal, Dordogne, Haute-Garonne, Lot-et-Garonne) et Auriat (Creuse)[17].
Le déterminant complémentaire -sur-Loire apparaît vers le XIVe siècle (voir supra : Auriacum supra Litgerim en 1405).
Histoire
Selon certains érudits locaux, les rédacteurs des cartulaires du haut Moyen Âge ne savent pas où mettre Aurec. Tantôt il est vellave, tantôt lyonnais, tantôt forézien. Les Amis du Vieil Aurec, association de conservation du patrimoine local qui existe depuis 1966 et l'archéologue et historien Pierre-Eric Poble ne sont pas d'accord sur les origines d'Aurec.
L'association reste fidèle à la version donnée par les historiens des XVIIe et XIXe siècles de la fondation d'Aurec. Pierre-Eric Poble est le seul historien qui donne une version différente à tort ou à raison[19].
Une bulle du pape Clément IV du pour place officiellement Aurec sous l’autorité des évêques du Puy[20].Clément IV (le Français Guy Foulques) est un ancien évêque du Puy et en 1267 l’évêque du Puy régnant est un de la Roue, de la famille qui possède le château d’Aurec.
Malgré ses murailles, la ville a connu plusieurs fois les envahisseurs.
Dix ans plus tard, c'est un capitaine de routiers appartenant à la troupe de Rodrigue de Villandrando, aventurier espagnol au service du roi, qui se rend maître de la cité et va même jusqu'à attacher son cheval, dans l'église, à la statue de Saint Pierre (aujourd'hui disparue).
En 1609 (le 22 avril), Philibert de Nérestang, premier grand-maître de l'Ordre de Saint-Lazare et du Mont-Carmel (1608), achète à Marc de la Roue les seigneuries d'Aurec, Oriol et La Chapelle, sises en Velay et Forez. Il les unit à la baronnie de Saint Didier, acquise en 1600 du duc de Montpensier, et fait ériger le tout en marquisat de Nérestang par lettres patentes du 20 juillet 1619[21]. Il fit d'Aurec sa principale résidence.
Comme le reste de la France voire de l'Europe, la grande famine de 1693-1694 va frapper durement Aurec. Les registres d'état civil enregistrent un pic extraordinaire de décès pour ces deux années-là : 114 décès en 1693, 174 décès en 1694 alors que la moyenne pour la période 1684-1704 s'établit à environ 33 décès par an.
Un hiver très rigoureux en 1692, puis un printemps et un été trop pluvieux entraînent des récoltes médiocres donc une sous alimentation qui favorise les épidémies et décime la population.
Le conseil municipal d'Aurec-sur-Loire, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[25], pour un mandat de six ans renouvelable[26]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 29[27]. Les vingt-neuf conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 47,52 %, se répartissant en vingt-trois issus de la liste conduite par Claude Vial et six issus de celle d'Yvon Valeyre[28].
Claude Vial, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 6 171 habitants[Note 7], en évolution de +1,13 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 995 hommes pour 3 132 femmes, soit un taux de 51,12 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
2,2
7,3
75-89 ans
10,6
17,5
60-74 ans
18,6
19,5
45-59 ans
19,3
18,3
30-44 ans
18,2
15,5
15-29 ans
12,7
21,0
0-14 ans
18,3
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
2,5
8,4
75-89 ans
11,7
20,4
60-74 ans
20,5
21,3
45-59 ans
20,3
16,8
30-44 ans
16,3
15,2
15-29 ans
13,2
17
0-14 ans
15,6
Vie associative
De nombreuses associations culturelles et sportives sont installées à Aurec : l'école de musiqueintercommunale de Loire-Semène, Musica'LS y dispose de son siège administratif et de son plus grand site d'enseignement de la communauté de communes. D'autres associations locales font vivre la commune comme le Cercle Musical Aurécois (fanfare intervenant pour des cérémonies et des défilés d'animation), le Football Club d'Aurec, le Groupement d'Animations Local d'Aurec-sur-Loire[35] (comité des fêtes), les Amis du vieil Aurec[36] (valorise et fait vivre le patrimoine aurécois en organisant des manifestations culturelles), Free Mômes (Organisation de concerts), la Fédération Nationale des Anciens Combattants, la Gaule amicale aurécoise (pêche et protection du milieu aquatique), parmi d'autres animent la cité tous les ans[37].
Phénomène (ex Mouv' Asso Jeune), association active partout en France, en particulier en Haute-Loire, à Saint-Étienne, Lyon et Paris y possède également son siège social et son antenne Haute-Loire[38]. Avec les Enfants avant tout et les Virades de l'Espoir, le Téléthon local organisé par l'association entre 2012 et 2016 constituait l'une des manifestations caritatives incontournables de la ville[39].
À travers la MJC, GALA, Free-Mômes et Phénomène, la commune jouit d'une richesse événementielle associative importante et peut se targuer d'avoir accueilli des grands noms de la scène nationale : Guerilla Poubelle[40], Shaman Tribu, Stocks, Les Hurlements d'Léo[41], Les Ogres de Barback, les Naufragés, HK ou encore Celkilt[42] ont déjà posé leurs valises sur la commune.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 560 personnes, parmi lesquelles on compte 74,8 % d'actifs (67,5 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 25,2 % d'inactifs[Note 10],[I 11]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 1 180 emplois en 2018, contre 1 265 en 2013 et 1 374 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 436, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,8 %[I 15].
Sur ces 2 436 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 540 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 87,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,7 % les transports en commun, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Industrie
Aurec dispose d'une zone industrielle fournie, laquelle accueille notamment plusieurs entreprises spécialisées dans la mécanique générale de précision. Le leader européen du caoutchouc et de ses dérivés, Interep[43] y possède son siège mondial de même que la société Rondy. La première est engagée dans une extension autour du site actuel qui devrait être livré d'ici 2020 afin de se développer sur d'autres marchés[44].
Outre l'industrie, la commune possède plusieurs atouts touristiques qui en font un pilier de l'économie locale avec le commerce et les services.
En 1947, Paul Royet installe sa Société des établissements modernes de mécanique (SEMM puis SEM) dans un grand bâtiment racheté aux filatures Bélinac pour y produire des obturateurs et des appareils photographiques, principalement les reflex bi-objectifs Semflex. Sous diverses raisons sociales, la fabrication des Semflex perdurera jusqu'en 1976[45].
Tourisme
Aurec-sur-Loire est une ville touristique grâce à la proximité des monts du Forez, des monts du Vivarais et des autres domaines du Massif central.
La ville possède aussi une piscine d'été, une bibliothèque, un château, un musée, une MJC. La base nautique située au Nautic à Aurec a été réaménagée après les graves inondations de 2008 et tous les bords de la Semène ont été nettoyés et réhabilités. C'est la même chose concernant la base de loisirs située sur la rive gauche de la Loire transformée en « Aurec Plage » après 2008.
Depuis quelques années, la société publique Loire-Semène Tourisme gère le développement touristique d'Aurec comprenant l'exploitation du camping et des autres moyens d'accueil (Aurec Étape) et la base de loisirs Aurec Plage fréquentée par des milliers de personnes chaque année. Cette base est labellisée aire « Respirando » par le département de la Haute-Loire[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château du moine sacristain abrite un musée rural qui présente la vie telle qu'elle était au XIXe siècle.
Le château d'Aurec (XIe, XVe et XVIe siècles), ancienne propriété de la famille Fustier, est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [46]. Son parc, aujourd'hui jardin public, compte des arbres centenaires (cèdres et séquoias géants). Ses locaux abritent également la bibliothèque municipale.
Le château de Chazournes, ancien château d'habitation, abrite aujourd'hui le collège des Gorges de la Loire.
Une gentilhommière du XVIIIe siècle, possédant encore sa décoration intérieure d'origine, aujourd'hui dénommée château de la Grangeasse, anciennement seigneurie dénommée « Tour des Sauvages » puis « Tour d'Aurec », habitée par l'archéologue, naturaliste et historien, Hector du Lac de la Tour d'Aurec puis par le général Waldeck Boudinhon, inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1995[47],[48],[49],[50].
La tour d'Oriol (seul vestige du château féodal d'Oriol) se dresse au-dessus des rives escarpées et sauvages de la Semène, petite rivière se jetant dans la Loire. Près de cette tour, on peut voir une des grottes à Mandrin.
Notre-Dame de la Faye, chapelle construite probablement en 1636. On évoque plusieurs légendes et des miracles. Un pèlerinage est toujours réalisé pour le 15 août.
Voies et lieux-dits
183 odonymes recensés à Aurec-sur-Loire au 5 octobre 2014
Louis Mandrin (1725-1755), contrebandier, se serait caché dans une grotte portant son nom en remontant les gorges de la Semène[52].
Hector du Lac de la Tour d'Aurec (1771-1826), archéologue, naturaliste et historien, membre de l'Académie de Lyon, conseiller général de la Haute-Loire[53].
Jean-Jacques Peyret-Lacombe, Les caveaux de l’église Saint-Pierre d’Aurec : in Cahiers de la Haute-Loire 1967, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
Pierre-Éric Poble, La charte dite de “fondation du prieuré d’Aurec”, une histoire de faussaires ? : in Cahiers de la Haute-Loire 2021, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
Pierre-Éric Poble, Les origines médiévales d’Aurec-sur-Loire (suite). Aurec avant le XIVe siècle, terre de confins et terre de rois ? : in Cahiers de la Haute-Loire 2022, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, .
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Étienne, il y a une ville-centre et 31 communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bAugustin Chassaing et Antoine Jacotin, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire, Paris, Imprimerie Nationale, , p. 12 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
↑Pierre Bonnaud, « A propos d’une thèse de dialectologie : Les problèmes de peuplement du centre de la France » in Norois, 1969, no 61, p. 42 (lire en ligne sur Persée) [2]
↑ a et bJean Merley, La Haute-Loire, de la fin de l'ancien Régime aux débuts de la troisième République, Le Puy-en-Velay, Archives départementales de la Haute-Loire, .
↑Josette Garnier, Bourgeoisie et propriété immobilière en Forez : aux XVIIe et XVIIIe siècles, Saint-Étienne, Cente d'études foréziennes, , 515 p. (ISBN978-2-85145-044-9, présentation en ligne).
↑Jean-Antoine de la Tour-Varan, Études historiques sur le Forez : Armorial et généalogies des familles qui se rattachent à l'histoire de Saint-Etienne ou aux chroniques des châteaux et des abbayes, Saint-Etienne, Montagny, .
↑« ACCUEIL », sur maisonjulesverne (consulté le ).