Brassac est une commune rurale qui compte 621 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 586 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Foix. Ses habitants sont appelés les Brassacois ou Brassacoises.
Sur le plan historique et culturel, Brassac fait partie du pays de Foix, composé de la partie centrale du Plantaurel, du massif de l'Arize et d'un tronçon de la vallée de l'Ariège avec ses quelques affluents, mais qui n'est plus que l'ombre du prestigieux comté qui s'étendit jusqu'à l'Espagne et même au-delà[1].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 24,33 km2[6],[Note 2].
La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 24,55 km2[9].
Éléments du patrimoine montagnard de Brassac dans la rubrique « Montagne » ci-dessous.
Le Picou, culminant à 1 602 mètres, est également un sommet notable, le plus « célèbre » de la commune voire de la vallée, et il est la destination de nombreuses randonnées sur le massif de l'Arize. De plus, le Picou peut être admiré et reconnu de tous ses angles depuis pratiquement tout le territoire de la Barguillière, par sa forme caractéristique et ses couleurs changeantes au gré des saisons.
D'après des calculs de l'IGN publiés en 2016, le centre géographique du département de l'Ariège est situé dans la commune[13], à proximité du Calmil.
Sommets
Roc Croisé de Pont-d’Arnas
Roc Croisé de Jean de Laillé
Roc Croisé du Cap de la Bazerque (ou du Cap de Sourrou) (1 133 m)
Roc Croisé du Sommet du Picou dit « Le Picou » (1 602 m)
Roc Croisé du Cap de la Coume (ou des Coumels) du Picou
Col de Légrillou (938 m) : accès par la D 111 depuis Brassac > Razent > Cazals > Malpassadou > le Maire (Péralbe) > Plajouly > le Planol > Légrillou.
Col du Calmil (1 109 m) : Accès par la route forestière du même nom depuis Légrillou > Roques > le Traucadou > le Calmil.
Col du Traucadou (1 144 m) : accès par la route forestière du Calmil depuis Légrillou > Roques > Le Traucadou.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographiqueAdour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Arget, le ruisseau de Baillés, le ruisseau de Roques, le ruisseau de Coumauzil, le ruisseau de Gazet, le ruisseau de Goute-Male, le ruisseau de la Carole, le ruisseau de Record, le ruisseau d'Escaudogats, le ruisseau des Estapies et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[15],[16].
L'Arget, d'une longueur totale de 23 km, prend sa source dans la commune du Bosc et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Foix, après avoir traversé 8 communes[17].
Rivières et ruisseaux
Ruisseau de Roques (source à la fontaine de Fontanet)
Ruisseau de Baillès (source à la fontaine de l'Auriol - Le Bosc)
Ruisseau de Goute-Male (source à la fontaine de Rayché)
Ruisseau de la Pélade (source à la fontaine de la Pélade [ou de la Tasse])
Ruisseau de la Coume de l'Uscalde (source à la fontaine de l'Uscalde)
Ruisseau de Goute-Large, puis ravin du Pénent (source à la fontaine de Goute-Large)
Ruisseau de Crouzilles (source à la fontaine de Pla-de-Ouers)
Goute des Teulières (source à la fontaine de Teulière)
Ruisseau de Goute-Male (source à la fontaine de Rayché)
Ruisseau de Goute-Grosse, puis des Piches et de Gazet (source à la fontaine de Goute-Grosse)
Ruisseau de Goute-Escure (source à la fontaine de Goute-Escure)
Ruisseau de Goute-Bernioulle (source à la fontaine de Rayché)
Ruisseau du Picou (source à la fontaine du Picou)
Sources
Fontaine du Picou
Fontaine du Curé
Fontaine du Calmil
Fontaine de l'Homme Mort
Fontaine de Teulière
Fontaine du Pla de Ouers
Fontaine des Bouzigats
Fontaine de Fontanet
Fontaine de la Pélade (dite « Fount de la Tasse »)
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 096 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cos à 4 km à vol d'oiseau[20], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 004,0 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[27] :
Route forestière du Calmil : col de Légrillou > Roques > [intersection Calmil/Pénitence] > Le Traucadou > Le Calmil > Le Fer à Cheval > Le Prat d'Albis (Ganac)
Route forestière de Pénitence : Intersection Calmil/Pénitence > Brammal > Quatre-Chemins > Pradals > Le Bosc ..
Route forestière de Roquefort : Quatre-Chemins > Souleilla de Roques > Ancienne cabane de Roquefort > Terminus de la R.F.
Route forestière de Micou (ou de la Bazerque) : Intersection Calmil/Micou à Roques > Le Semis > La Rougère > Goute-Escure > La Bazerque > .. > Micou (Ganac).
Route forestière de la Devèze : Quatre-Chemins > Parking en contebas du Col Mazel > Terminus de le R.F. à la Devèze.
Urbanisme
Typologie
Au , Brassac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[32].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Foix, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (62,9 %), zones agricoles hétérogènes (18 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,1 %), prairies (3,1 %), zones urbanisées (1 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
Burges, Cazals, Légrillou, la Coste, Arinac, Bourgail, Malpassadou, Plajouly, le Planol, Pla-de-Rans, Lacout, Péralbe, Baychol, Razent, Pessaurat, la Tuilerie, Laujol, Lample, Le Planel, Record, les Martis, l'Oustalet, la Souleille, la Bouzigue, les Coumeilles, la Forge, les Gouteilles, Labail, la Montoulibe, la Plane, la Coume del Plot, le Château, Prat-de-Sans.
Anciens hameaux et métairies
Cap de Fer, Bernat de Bas, Garrigot, Mounges, la Peychine, Pla d’Amont, le Massadel, les Tirs, Roc Blanc, Las Paouses, Bidau, Prat del Bosc.
Estives
La Devèze (1 540 m) : accès par la route forestière du Calmil depuis Légrillou > Roques, puis par celle de Pénitence > Quatre-Chemins > Col Mazel > La Devèze.
L'Homme Mort (1 399 m) : accès par la route forestière du Calmil depuis Légrillou > Roques > Le Traucadou > Le Calmil, puis par une piste, Calmil > Homme-Mort.
Anciennes estives
Lourriot (Pâture royale) : À l'ouest, en contrebas de la Devèze.
Refuges de montagne
Cabane de l'Homme Mort (1 399 m) : estive de l'Homme-Mort, en contrebas du Picou et sur les hauteurs du Calmil et du Traucadou.
Cabane de la Devèze (1 514 m) : estive de la Devèze, en contrebas du Sarrat de la Pélade et sur les hauteurs du col Mazel. Elle est doublée par une seconde cabane réservée aux bergers et vachers.
Cabane du Col Mazel (1 354 m) : lieu-dit « col Mazel », accessible par la route forestière de Pénitence depuis celle du Calmil (10 minutes de marche au terminus de la route).
Cabane de Légrilhou (938 m) : col de Légrillou, quelques mètres avant le col, sur la droite, face au refuge communal.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 466, alors qu'il était de 464 en 2013 et de 448 en 2008[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Brassac en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (30,4 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,2 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
30,4
24,6
9,7
Logements vacants (en %)
5,5
9,7
8,2
Voies de communication et transports
La commune est principalement desservie par la RD 21, la RD 11 et la RD 111 qui se rejoignent au village.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Brassac est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[36],[37].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[38].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Brassac[39]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[40].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Brassac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[41].
Toponymie
Brassac proviendrait de Biracius, patronyme gallo-romain, et du suffixe gallo-romain « -acos » (« domaine de ») ayant été latinisé en « -acum » puis évoluant vers la forme « -ac ». Ainsi, Brassac signifierait « domaine de Biracius ».
Histoire
En 1864, Brassac comptait 11 clouteries employant 50 personnes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2021, la commune comptait 621 habitants[Note 6], en évolution de −3,27 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Stade Louis Rumeau, à la limite de la commune de Saint-Pierre-de-Rivière, il est le lieu d’exercice de l’Association sportive de la Barguillère, club de rugby actif depuis 1973.
Associations
Comité des fêtes, Brassactivités, FestiBurges, Brassac théâtre,
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 363 personnes, parmi lesquelles on compte 76,4 % d'actifs (66,9 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 23,6 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Foix, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 36 emplois en 2018, contre 56 en 2013 et 51 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 245, soit un indicateur de concentration d'emploi de 14,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,9 %[I 12].
Sur ces 245 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 23 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 90,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
41 établissements[Note 9] sont implantés à Brassac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
41
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
7
17,1 %
(12,9 %)
Construction
7
17,1 %
(14,2 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
10
24,4 %
(27,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
6
14,6 %
(13,2 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
9
22 %
(14,4 %)
Autres activités de services
2
4,9 %
(8,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,4 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 41 entreprises implantées à Brassac), contre 27,5 % au niveau départemental[I 16].
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[48]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[49].
1988
2000
2010
Exploitations
20
14
13
Superficie agricole utilisée (ha)
375
290
387
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 20 lors du recensement agricole[Note 12] de 1988 à 14 en 2000 puis à 13 en 2010[49], soit une baisse de 35 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[51]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 375 ha en 1988 à 387 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 19 à 30 ha[49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Brassac, il fut la propriété de la famille de Pointis, avant d’être racheté par la municipalité. Rénové à la fin des années 2010, il permet l'organisation de réceptions et l'accueil touristique, couplé à 9 châlets édifiés dans le parc[52].
Église Saint-Étienne de Brassac, elle est surmontée d'une clocher mur percé de trois baies qui portent trois cloches, dont la plus ancienne date de 1812. Elles ont la particularité de sonner en volée tournante manuelle. L'église jouxte le cimetière communal et son monument aux morts.
Hôtel de ville de Brassac, construit à la fin des années 2000 en remplacement du précédent, il abrite également les ateliers municipaux.
Groupe scolaire de Brassac, sur le site de l’ancien Hôtel de ville, il a conservé l’architecture des bâtiments de l’administration d’époque.
Château de Burges, une des plus anciennes bâtisses du hameau, il fut construit afin de servir de résidence de villégiature à la famille de Bélissen-Bénac.
Pour approfondir
Bibliographie
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↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[7],[8]
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
↑Source : Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
↑Jean-François Hangouët, « Quels sont les centres des 96 départements métropolitains ? », IGN Magazine, no 82, avril-mai-juin 2016, p. 15 (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )