Carlos Martens Bilongo

	Carlos Martens Bilongo
	; Carlos Martens Bilongo en 2024.
Fonctions
Député français
	En fonction depuis le 22 juin 2022; (2 ans, 2 mois et 6 jours)
Élection	19 juin 2022
Réélection	30 juin 2024
Circonscription	8e du Val-d'Oise
Législature	XVIe et XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique	NFP-LFI
Prédécesseur	François Pupponi
Biographie
Nom de naissance	Martens Carlos Bilongo
Date de naissance	31 décembre 1990 (33 ans)
Lieu de naissance	Villiers-le-Bel (France)
Nationalité	Française
Parti politique	LFI (depuis 2022)
Profession	Enseignant; entrepreneur
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Carlos Martens Bilongo^[1], né le 31 décembre 1990 à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), est un homme politique français, membre de La France insoumise. Enseignant de profession et militant associatif, il est élu député le 19 juin 2022 dans la 8^e circonscription du Val-d'Oise^[2]^,^[3], sous les couleurs de la NUPES. Il est réélu le 30 juin 2024, dès le premier tour sous la bannière du Nouveau Front populaire^[4].

Jeunesse et activités professionnelles

Naissance et famille

Carlos Martens Bilongo naît le 31 décembre 1990 à Villiers-le-Bel de parents d’origine congolaise (RDC) et angolaise^[5]^,^[6]. Son père est chauffeur dans les ambassades. Sa mère vend des bijoux au marché de Sarcelles^[7]. Elle meurt en 2012 d'un cancer^[7]. Il est le fils cadet d’une fratrie de six frères et sœurs. Enfant, il dit être confronté au racisme ; lors d'une interview, il déclare notamment que lorsqu'il jouait au football, on lui jetait des mies de pain et qu'il était l'objet de cris de singes en provenance des gradins^[7].

Formation

Après l’obtention d'un bac professionnel au lycée Gustave-Monod de Saint-Gratien, Carlos Martens Bilongo intègre Isifa Plus Values Paris Sud, une école de commerce à Issy-les-Moulineaux, où il obtient un BTS technico-commercial en 2012, avant de décrocher, une année plus tard, une licence en marketing et négociation^[8].

Parcours professionnel

Après un contrat d’apprentissage à AZ Métal, il y exerce successivement le poste de technico-commercial et puis celui de chargé d'affaires qu’il occupera pendant six ans^[8]. Depuis 2019, il est enseignant en économie et en droit au lycée Alexandre-Dumas de Saint-Cloud^[9]^,^[10]^,^[11].

Coach sportif et formateur physique en parallèle, il entraîne la chanteuse Aya Nakamura dans le cadre de sa tournée^[12]. Il crée sa propre société d'équipements sportifs avec Koss niquel training (KNT) qui propose aussi des entraînements et accompagnements. Il a participé un temps à une société immobilière avec KNT Immo. Par ailleurs, il dirige la société Espace code, dévolue à des « activités spécialisées, scientifiques et techniques diverses »^[13]^,^[14].

Engagement associatif et politique

Militant associatif

Carlos Martens Bilongo est engagé dans le monde associatif. Il est également membre du collectif du Triangle de Gonesse, une plateforme qui regroupe plusieurs associations engagées pour s'opposer à la construction de EuropaCity, puis de la station de métro Gonesse et de la ligne de métro 17 associée pour « sauver les terres agricoles » fertiles au nord de Paris^[15].

Parcours politique

Carlos Martens Bilongo est membre de La France insoumise. Investi en 2022 par la NUPES à Villiers-le-Bel dans la 8^e circonscription du Val-d'Oise, il devance^[3] François Pupponi au premier tour^[16] avec plus de 37 % de voix contre 24 %. Durant l'entre-deux tours, il reçoit les soutiens des maires de Sarcelles, Garges-lès-Gonesse et Villiers-le-Bel ainsi que celui de Samy Debah^[17]. Au soir du second tour, il est élu député avec 61,72 % des suffrages^[18].

Le 3 novembre 2022, lors d'une séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale où il aborde le sujet de la répartition et de l'accueil des migrants qui naviguent au large des côtes italiennes sur l'Ocean Viking, il est interrompu par un propos à caractère raciste de Grégoire de Fournas, député Rassemblement national : « Qu'il retourne en Afrique ! », selon la version retenue par les rédacteurs des débats^[19] et disponible dans le compte rendu de la séance^[20], qui provoque l'indignation de l'ensemble de la représentation nationale à l'exception du groupe RN, et conduit, fait exceptionnel sous la Cinquième République, à une suspension définitive de cette séance par Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale^[21]^,^[22]. Le groupe Rassemblement national déclare, plus tard, que la phrase aurait été dite au pluriel (« Qu'ils retournent en Afrique ! »), visant les migrants et non le député^[23]^,^[24], ce que l'écoute ne permet pas de vérifier. Alors que Grégoire de Fournas se voit infliger le lendemain la plus lourde des sanctions prévues par le règlement de l'Assemblée nationale en considération du trouble occasionné, Carlos Martens Bilongo reçoit dans les jours qui suivent cet incident « un déferlement d'insultes à caractère raciste » et des menaces sur sa boîte mail parlementaire ; il décide de porter plainte^[25].

Le 7 décembre 2022, une conférence qu'il anime à l'université de Bordeaux Montaigne au côté du député Louis Boyard est attaquée par des militants d'extrême droite cagoulés et équipés de barres de fer^[26].

Le 27 juin 2023, en marge des émeutes à la suite de la mort de Nahel Merzouk, alors que Martens Bilongo est parti à la rencontre d'habitants de Nanterre pour les soutenir, il est pris à partie par un groupe, qui l'accuse de récupération et reçoit notamment un coup de lanceur de mortier sur la tête^[27]^,^[28]^,^[29].

Le 1^er octobre 2023, il s'affiche sur les réseaux sociaux en pleine séance de boxe avec l'organisation antifasciste la Jeune Garde^[30].

En juin 2024, à la suite de la dissolution de l'Assemblée nationale, il est candidat à sa réélection sous la bannière du Nouveau Front populaire. Dès le premier tour des élections législatives, il est réélu avec 58,27 % des voix^[4].

Enquête pour fraude fiscale

En mai 2023, il est visé par une enquête pour « blanchiment de fraude fiscale », « abus de biens sociaux » et « manquement de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) »^[31]. Il est notamment soupçonné d’avoir dissimulé un peu moins de 200 000 euros aux autorités et fait l’objet d’une procédure ouverte à la mi-avril à la suite d’un signalement de Tracfin^[32]. Le 11 mai 2023, il déclare dans un communiqué de presse n’avoir « jamais ouvert de compte à l'étranger » et que « l’intégralité des sommes versées sur [ses] comptes sociétés a été déclarée en bonne et due forme » et avoir demandé à son expert-comptable de vérifier qu’aucune erreur de déclaration n'ait été commise. Il a ajouté qu'il sera « parfaitement transparent sur l'intégralité de ces éléments »^[33].

Le 17 mai 2023, BFM TV révèle que Carlos Martens Bilongo aurait bénéficié jusqu'en décembre 2022, soit six mois après son élection comme député, d'un logement social, situé à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise), qu'il aurait sous-loué à l'une de ses sœurs alors qu'il était en parallèle déjà propriétaire de deux appartements, et nouvellement « rémunéré environ 7 500 € brut par mois comme tous les députés »^[34]^,^[35]^,^[36]. Contacté par la chaîne, il indique avoir quitté ce logement social en 2020, dont il a « bénéficié conformément à ses conditions de ressources », en 2013 « après la mort de sa mère, alors qu'il était apprenti », et où il a habité avec sa sœur qui « participait au loyer » mais elle n'a « pu le libérer » qu'en décembre 2022^[36]^,^[37]. Le soir-même dans un communiqué, il complète sa réponse et affirme « avoir parfaitement respecté la loi », il indique « avoir informé le bailleur social par écrit et huissier en 2019 » de l'achat des deux autres appartements effectué en 2018 « avec un prêt », et du fait qu'il ne pouvait pas y habiter car l'un était « un investissement locatif » et le second était « en travaux entre 2018 et 2020 », année où il a quitté le logement social^[36]^,^[37].

Publications et œuvres

Noir français, éditions PhilippeRey, 2023 (ISBN 978-2-38482-019-1).

Notes et références

↑ Martens Carlos Bilongo à l'Etat-civil (acte de naissance n° 00006/1991, Villiers-le-bel)
↑ « M. Carlos Martens Bilongo - Val-d'Oise (8e circonscription) - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le 3 juillet 2022)
↑ ^{a et b} Julie Olagnol, « Législatives dans le Val-d’Oise : Carlos Martens Bilongo, cet enfant de Villiers-le-Bel qui a fait tomber Pupponi », sur leparisien.fr, 20 juin 2022 (consulté le 5 juillet 2022).
↑ ^{a et b} « Législatives dans le Val-d'Oise : succès historique pour la gauche avec deux députés sortants élus au premier tour », sur Le Parisien
↑ Manon Laplace et Olivier Marbot, « Rachel Keke, Nadège Abomangoli, Carlos Martens Bilongo… Qui sont les nouveaux députés français d’origine africaine ? », sur JeuneAfrique.com, 21 juin 2022 (consulté le 5 juillet 2022)
↑ « Carlos Martens Bilongo, député insoumis : "Moi, je suis là pour le combat" », sur Radio France, 1^er juillet 2022 (consulté le 5 juillet 2022)
↑ ^{a b et c} Rachid Laïreche, « Carlos Martens Bilongo, rester lui-même », sur Libération (consulté le 6 novembre 2022)
↑ ^{a et b} « Carlos Martens BILONGO (AZ Métal) », sur viadeo.journaldunet.com (consulté le 17 juillet 2022)
↑ « Législatives 2022 : la majorité présidentielle va-t-elle conserver son hégémonie dans le Val-d'Oise ? », sur France 3 Paris Ile-de-France (consulté le 17 juillet 2022)
↑ « Carlos Martens Bilongo - Activité Parlementaire », sur Datan.fr (consulté le 17 juillet 2022)
↑ « Carlos Martens Bilongo », sur Projet Arcadie (consulté le 17 juillet 2022)
↑ Maïram Guissé, « Villiers-le-Bel : le coach sportif d’Aya Nakamura, c’est lui », sur leparisien.fr, 8 mars 2019 (consulté le 12 mai 2023)
↑ « Villiers-le-Bel : « le sport permet de rassembler, de briser les barrières » », sur Le Parisien, 28 juin 2017 (consulté le 12 mai 2023)
↑ « 5 choses à savoir sur Carlos Martens Bilongo, député LFI visé par une enquête pour blanchiment de fraude fiscale », sur LCI, 12 mai 2023 (consulté le 12 mai 2023)
↑ Alexandre-Reza Kokabi et NnoMan, « Les habitants de Gonesse refusent le bétonnage des terres », sur Reporterre, 26 mai 2021 (consulté le 5 juillet 2022)
↑ Thomas Hoffmann, « Législatives 2022. 8 circonscription du Val-d'Oise : Carlos Martens Bilongo éjecte François Pupponi de son siège », sur actu.fr, 21 juin 2022 (consulté le 5 juillet 2022).
↑ Hugo Robert, « Législatives : dans le Val-d'Oise, le camp présidentiel résiste à la vague Nupes », sur Les Échos, 20 juin 2022 (consulté le 17 juillet 2022).
↑ « Val-d'Oise - 8e circonscription: Résultats des élections législatives 2022 - en direct », sur Franceinfo (consulté le 17 juillet 2022).
↑ « Fiche de synthèse : Les services des comptes rendus - Rôle et pouvoirs de l'Assemblée nationale - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le 4 novembre 2022).
↑ « Compte-rendu de la séance du jeudi 03 novembre 2022 », sur Assemblée nationale (consulté le 4 novembre 2022).
↑ Ludwig Gallet, « Un député RN accusé d’avoir tenu des propos racistes, la séance interrompue à l’Assemblée », sur leparisien.fr, 3 novembre 2022 (consulté le 3 novembre 2022).
↑ Mathieu Dejean et Ellen Salvi, « « Retourne en Afrique » : à l’Assemblée, le RN montre son vrai visage », sur Mediapart, 3 novembre 2022 (consulté le 3 novembre 2022).
↑ « "Qu'il(s) retourne(nt) en Afrique" : la séance des questions au gouvernement suspendue après la sortie raciste d'un député RN à l'Assemblée nationale », sur Franceinfo, 3 novembre 2022 (consulté le 4 novembre 2022).
↑ « "Qu'il(s) retourne(nt) en Afrique" : que s'est-il vraiment dit lors des échanges à l'Assemblée impliquant le député RN Grégoire de Fournas ? », sur Franceinfo, 4 novembre 2022 (consulté le 5 novembre 2022).
↑ Victoria Koussa, « Propos racistes à l'Assemblée nationale : victime d'insultes et de menaces, le député Carlos Martens Bilongo compte porter plainte », sur France Info, 8 novembre 2022.
↑ H.G. et AFP, « Conférence perturbée à Bordeaux: les députés Louis Boyard et Carlos Martens Bilongo portent plainte », sur BFMTV, 8 décembre 2022.
↑ « Mort de Nahel : LFI ne veut pas réagir après l’agression du député Martens Bilongo à Nanterre », sur Libération (consulté le 4 juillet 2023)
↑ « « Trace ta route » : venu en soutien, le député LFI Carlos Martens Bilongo pris à partie à Nanterre », Ouest France,‎ 28 juin 2023 (lire en ligne [doc])
↑ « Mineur tué à Nanterre: le député LFI Carlos Martens Bilongo pris à partie par des émeutiers », sur Figaro Live, 29 juin 2023 (consulté le 4 juillet 2023)
↑ « Un député LFI s'entraîne à la boxe avec des militants antifascistes », sur LEFIGARO, 2 octobre 2023 (consulté le 4 octobre 2023)
↑ « Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête, notamment pour "blanchiment de fraude fiscale" », sur Franceinfo, 11 mai 2023 (consulté le 11 mai 2023).
↑ AFP, « Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête pour blanchiment de fraude fiscale », sur Le Monde.fr, 11 mai 2023 (consulté le 11 mai 2023).
↑ AFP, « Carlos Martens Bilongo : soupçons de fraude fiscale pour le député LFI », sur Sud Ouest, 11 mai 2023 (consulté le 11 mai 2023).
↑ « Pourtant propriétaire, le député LFI Carlos Martens Bilongo a bénéficié d'un logement social qu'il sous-louait à sa sœur », sur LEFIGARO, 17 mai 2023 (consulté le 23 septembre 2023)
↑ « Le député LFI Carlos Martens Bilongo a bénéficié d'un logement social qu'il sous-louait à sa sœur », sur ladepeche.fr (consulté le 23 septembre 2023)
↑ ^{a b et c} « Propriétaire de deux appartements, le député LFI Carlos Martens Bilongo a bénéficié d'un logement social », sur BFMTV (consulté le 17 mai 2023)
↑ ^{a et b} « On vous résume l'affaire Carlos Martens Bilongo, le député LFI soupçonné de blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux », sur Franceinfo, 18 mai 2023 (consulté le 18 mai 2023)

Liens externes

Ressources relatives à la vie publique :
- Assemblée nationale
- Haute Autorité pour la transparence de la vie publique

[1] Martens Carlos Bilongo à l'Etat-civil (acte de naissance n° 00006/1991, Villiers-le-bel)

[:0-2] « M. Carlos Martens Bilongo - Val-d'Oise (8e circonscription) - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le 3 juillet 2022)

[tomber_Pupponi-3] {a et b} Julie Olagnol, « Législatives dans le Val-d’Oise : Carlos Martens Bilongo, cet enfant de Villiers-le-Bel qui a fait tomber Pupponi », sur leparisien.fr, 20 juin 2022 (consulté le 5 juillet 2022).

[:4-4] {a et b} « Législatives dans le Val-d'Oise : succès historique pour la gauche avec deux députés sortants élus au premier tour », sur Le Parisien

[JA-5] Manon Laplace et Olivier Marbot, « Rachel Keke, Nadège Abomangoli, Carlos Martens Bilongo… Qui sont les nouveaux députés français d’origine africaine ? », sur JeuneAfrique.com, 21 juin 2022 (consulté le 5 juillet 2022)

[6] « Carlos Martens Bilongo, député insoumis : "Moi, je suis là pour le combat" », sur Radio France, 1^er juillet 2022 (consulté le 5 juillet 2022)

[:1-7] {a b et c} Rachid Laïreche, « Carlos Martens Bilongo, rester lui-même », sur Libération (consulté le 6 novembre 2022)

[viadeo-8] {a et b} « Carlos Martens BILONGO (AZ Métal) », sur viadeo.journaldunet.com (consulté le 17 juillet 2022)

[9] « Législatives 2022 : la majorité présidentielle va-t-elle conserver son hégémonie dans le Val-d'Oise ? », sur France 3 Paris Ile-de-France (consulté le 17 juillet 2022)

[10] « Carlos Martens Bilongo - Activité Parlementaire », sur Datan.fr (consulté le 17 juillet 2022)

[11] « Carlos Martens Bilongo », sur Projet Arcadie (consulté le 17 juillet 2022)

[coach_AN-12] Maïram Guissé, « Villiers-le-Bel : le coach sportif d’Aya Nakamura, c’est lui », sur leparisien.fr, 8 mars 2019 (consulté le 12 mai 2023)

[13] « Villiers-le-Bel : « le sport permet de rassembler, de briser les barrières » », sur Le Parisien, 28 juin 2017 (consulté le 12 mai 2023)

[14] « 5 choses à savoir sur Carlos Martens Bilongo, député LFI visé par une enquête pour blanchiment de fraude fiscale », sur LCI, 12 mai 2023 (consulté le 12 mai 2023)

[15] Alexandre-Reza Kokabi et NnoMan, « Les habitants de Gonesse refusent le bétonnage des terres », sur Reporterre, 26 mai 2021 (consulté le 5 juillet 2022)

[16] Thomas Hoffmann, « Législatives 2022. 8 circonscription du Val-d'Oise : Carlos Martens Bilongo éjecte François Pupponi de son siège », sur actu.fr, 21 juin 2022 (consulté le 5 juillet 2022).

[17] Hugo Robert, « Législatives : dans le Val-d'Oise, le camp présidentiel résiste à la vague Nupes », sur Les Échos, 20 juin 2022 (consulté le 17 juillet 2022).

[18] « Val-d'Oise - 8e circonscription: Résultats des élections législatives 2022 - en direct », sur Franceinfo (consulté le 17 juillet 2022).

[19] « Fiche de synthèse : Les services des comptes rendus - Rôle et pouvoirs de l'Assemblée nationale - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le 4 novembre 2022).

[20] « Compte-rendu de la séance du jeudi 03 novembre 2022 », sur Assemblée nationale (consulté le 4 novembre 2022).

[21] Ludwig Gallet, « Un député RN accusé d’avoir tenu des propos racistes, la séance interrompue à l’Assemblée », sur leparisien.fr, 3 novembre 2022 (consulté le 3 novembre 2022).

[22] Mathieu Dejean et Ellen Salvi, « « Retourne en Afrique » : à l’Assemblée, le RN montre son vrai visage », sur Mediapart, 3 novembre 2022 (consulté le 3 novembre 2022).

[23] « "Qu'il(s) retourne(nt) en Afrique" : la séance des questions au gouvernement suspendue après la sortie raciste d'un député RN à l'Assemblée nationale », sur Franceinfo, 3 novembre 2022 (consulté le 4 novembre 2022).

[24] « "Qu'il(s) retourne(nt) en Afrique" : que s'est-il vraiment dit lors des échanges à l'Assemblée impliquant le député RN Grégoire de Fournas ? », sur Franceinfo, 4 novembre 2022 (consulté le 5 novembre 2022).

[25] Victoria Koussa, « Propos racistes à l'Assemblée nationale : victime d'insultes et de menaces, le député Carlos Martens Bilongo compte porter plainte », sur France Info, 8 novembre 2022.

[26] H.G. et AFP, « Conférence perturbée à Bordeaux: les députés Louis Boyard et Carlos Martens Bilongo portent plainte », sur BFMTV, 8 décembre 2022.

[27] « Mort de Nahel : LFI ne veut pas réagir après l’agression du député Martens Bilongo à Nanterre », sur Libération (consulté le 4 juillet 2023)

[28] « « Trace ta route » : venu en soutien, le député LFI Carlos Martens Bilongo pris à partie à Nanterre », Ouest France,‎ 28 juin 2023 (lire en ligne [doc])

[29] « Mineur tué à Nanterre: le député LFI Carlos Martens Bilongo pris à partie par des émeutiers », sur Figaro Live, 29 juin 2023 (consulté le 4 juillet 2023)

[30] « Un député LFI s'entraîne à la boxe avec des militants antifascistes », sur LEFIGARO, 2 octobre 2023 (consulté le 4 octobre 2023)

[31] « Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête, notamment pour "blanchiment de fraude fiscale" », sur Franceinfo, 11 mai 2023 (consulté le 11 mai 2023).

[32] AFP, « Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête pour blanchiment de fraude fiscale », sur Le Monde.fr, 11 mai 2023 (consulté le 11 mai 2023).

[33] AFP, « Carlos Martens Bilongo : soupçons de fraude fiscale pour le député LFI », sur Sud Ouest, 11 mai 2023 (consulté le 11 mai 2023).

[34] « Pourtant propriétaire, le député LFI Carlos Martens Bilongo a bénéficié d'un logement social qu'il sous-louait à sa sœur », sur LEFIGARO, 17 mai 2023 (consulté le 23 septembre 2023)

[35] « Le député LFI Carlos Martens Bilongo a bénéficié d'un logement social qu'il sous-louait à sa sœur », sur ladepeche.fr (consulté le 23 septembre 2023)

[:2-36] {a b et c} « Propriétaire de deux appartements, le député LFI Carlos Martens Bilongo a bénéficié d'un logement social », sur BFMTV (consulté le 17 mai 2023)

[:3-37] {a et b} « On vous résume l'affaire Carlos Martens Bilongo, le député LFI soupçonné de blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux », sur Franceinfo, 18 mai 2023 (consulté le 18 mai 2023)

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Carlos Martens Bilongo

Jeunesse et activités professionnelles

Naissance et famille

Formation

Parcours professionnel

Engagement associatif et politique

Militant associatif

Parcours politique

Enquête pour fraude fiscale

Publications et œuvres

Notes et références

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