Il joue un rôle clef pendant la guerre franco-allemande de 1870, car il verrouille les accès vers Asnières, Argenteuil et Colombes[2]. Pour cette raison, il est bombardé par des canons situés au pont d'Asnières, au pont de Clichy, et à la gare de Levallois.
Son altitude relativement peu élevée dans la vallée de la Seine le fait être durement touché lors de la crue du fleuve en 1910.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le , des affrontements y ont lieu lors de la Libération de Paris[3].
Il donne son nom à l’église Saint-Joseph-des-Quatre-Routes d'Asnières, toute proche[4]. Sa notoriété locale en fait un toponyme fréquemment employé dans les activités commerciales des environs[5],[6].
La desserte par ce mode est revenue quasiment un siècle plus tard avec la mise en service de la station Asnières - Quatre Routes sur la ligne 1 du tramway[9],[10]le 12 octobre 2019, prolongé depuis Les Courtilles.