Catherine École-Boivin, née à Cherbourg[1] le [2] est une biographe et romancière française, titulaire d'un doctorat de l'Université de Paris.
Biographie
Originaire de la Hague, Catherine École Boivin est historienne de formation, Docteure en Sciences Humaines, Psychopathologie et Psychanalyse de l'Université de Paris : plurilinguisme, dont les langues régionales et écriture de soi. Elle est également professeure de lettres-histoire en Loire Atlantique.
Elle conte dans ses livres « les mémoires des humbles et de ceux à qui on n'a pas donné la parole durant leur vie ». Son premier livre Jeanne de Jobourg, paroles d'une paysanne du Cotentin a eu un succès en Basse-Normandie[3]. Suivi de plusieurs autres depuis dont plusieurs autour de la personnalité de Paul Bedel, agriculteur du cap de la Hague mis en lumière par un documentaire en 2006.
Elle reçoit le prix littéraire du Centre régional du livre de Basse-Normandie dit "Reine Mathilde", pour son roman chez Albin Michel Les Bergers blancs, l'histoire des bergers guérisseurs aux pieds nus en 2012[4], et le Prix OUEST[5] 2019[6] pour La Metallo (Albin Michel, 2018).
Mémoires d'Arsène Lepoittevin, né à Valognes en 1922, dernier survivant des prisons vichystes d'El Hank et Kénitra au Maroc, membre de l'Empire Britannique, titulaire de la médaille militaire, des évadés, des résistants, des internés, officier de la légion d'honneur (préf. amiral Jacques Launay), Ouest-France,