Le Code typographique, ou Nouveau Code typographique depuis 1997, est un code typographique publié pour la première fois en 1928[1] par la Société amicale des directeurs, protes et correcteurs d’imprimerie de France, et pour la dernière fois en 1997 par la CFE-CGC.
Description
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Réception critique
Selon Jacques André, le Code typographique fait partie des quatre ouvrages de référence en français avec, le Guide du typographe, le Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale et Le Ramat de la typographie ; il précise que : « Ces divers ouvrages sont, au niveau du détail, souvent incohérents, voire contradictoires. Un auteur a essayé d’en faire à la fois une analyse critique et une synthèse basée sur des principes globaux et non sur une collection de règles éparses. Son œuvre posthume et inachevée, a été mise récemment sur le web : Jean-Pierre Lacroux, Orthotypographie, 2007. »[2].
Une page du site Lemonde.fr mentionne le Nouveau Code, parmi une cinquantaine d'ouvrages, dans une liste « Où trouver des ouvrages de référence... ? »[3].
Éditions
1928 (1re édition), Bordeaux: Société amicale des directeurs, protes et correcteurs d’imprimerie de France
1932 (2e édition), Bordeaux : Société amicale des directeurs, protes et correcteurs d’imprimerie de France
1947 (4e édition), Bordeaux : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre et de la presse, 127 p.
1954 (5e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre et de la presse, XVI-123 p.
1957 (6e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre, de la presse et des industries graphiques, XVI-123 p.
1961 (7e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre, de la presses et des industries graphiques, XVI-123 p.
1965 (8e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre, de la presses et des industries graphiques, XV-124 p.
1968 (9e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre, de la presse et des industries graphiques, XVI-127 p.
1971 (10e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre, de la presse et des industries graphiques
1973 (11e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre, de la presse et des industries graphiques
1977 (12e édition), Paris : Syndicat national des cadres et maîtrises du livre, de la presse et des industries graphiques, 121 p.
1981 (13e édition), Paris : Fédération nationale du personnel d'encadrement des industries polygraphiques et de la communication (FIPEC), 121 p.
1983 (14e édition), Paris : Fédération nationale du personnel d'encadrement des industries polygraphiques et de la communication (FIPEC), 121 p.
1986 (15e édition), Paris : Fédération CGC de la communication, 120 p.
1989 (16e édition), Paris : Fédération CGC de la communication, 120 p.
1993 (17e édition), Paris : Fédération CGC de la communication, 120 p.
1997, (18e édition) Paris : Fédération de la communication, CFE-CGC, XIII-176 p.
↑Jacques André, Petites leçons de typographie, Rennes, Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (IRISA)-Le Jobet, version 1990 — pdf du 6 janvier 2017, 50 p. (lire en ligne [PDF]), p. 46-47.
Confédération française de l'encadrement-CGC. Fédération des industries polygraphiques et de la communication (Révisé, complété et modernisé par Robert Guibert. Titre de couverture : "Nouveau Code typo". - Précédemment paru sous le titre : "Code typographique".), Le Nouveau Code typographique : Les règles typographiques de la composition à l’usage des auteurs, des professionnels du livre et des utilisateurs d’ordinateurs, Paris, Confédération française de l’encadrement-CGC, (1re éd. 1928), 176 p. (ISBN978-2-9507157-1-5)
Code typographique : Choix de règles à l’usage des auteurs et professionnels du livre, Paris, fédération CGC de la communication, , 17e éd., 120 p. (ISBN2-9507157-0-2)
François Richaudeau, « Pour un nouveau code typographique simplifié », Communication et langages, no 115, , p. 58-80 (lire en ligne)