La collégiale Saint-Laud du château a disparu en 1232, mais il existe toujours une église Saint-Laud qui en est l'héritière.
Privilèges par Louis XI
En , par ses lettres patentes, le roi Louis XI confirma ses privilèges[2]. De plus, le don octroyé par le comte d'Anjou fut également confirmé, le [3]. Avant sa mort encore, le roi assura sa protection royale à cette église ainsi qu'à Saint-Martin d'Angers, en confirmant ses privilèges en [4]. Elle abritait une célèbre relique, la Vraie-Croix de St-Laud d'Angers, chérie par Louis XI[5].
Desserte
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Évolution du vocable
La collégiale a toujours porté la dédicace de saint Laud.
Le chapitre est expulsé dans l'Esvière en 1232 à l'occasion de la construction du château. Il occupe alors l'ancienne église Saint-Germain, et est par conséquent quelquefois appelé Saint-Laud-en-Saint-Germain.
Évolution du statut durant la période d'activité
La collégiale Saint-Laud a toujours eu ce statut, avant comme après son transfert extra-muros. Cependant, elle n'a rien à voir avec la chapelle Sainte-Geneviève, même si celle-ci a pu également être appelée « Saint-Laud ».
Architecture
De 2017 à 2020, une restauration des parements extérieurs et des couvertures de l'édifice ont été réalisés[6].
Bibliographie
François Comte et Jean Siraudeau, « Documents d'évaluation du patrimoine archéologique des villes de France », « Angers », Centre National d'Archéologie Urbaine, Tours, 1990