Un article du New York Times rédigé en 1984 utilise le terme de cowpunk pour catégoriser la musique influencée par le country et non encore associée aux groupes punk et new wave. L'article parle brièvement de l'histoire musicale, du moins celle des États-Unis, expliquant que pendant les années 1980, de nombreux groupes punk et new wave commençaient à acheter des albums de country, puis à faire des reprises rapides de leurs chansons préférées, et que les nouveaux groupes se sont formés et centrés sur cette idée. En 1984, des douzaines de groupes britanniques et américains commencent à « personnaliser la musique country pour la familiariser avec la génération MTV » ; par exemple, le groupe de pop orienté country Boothill Foot Tappers, le groupe de new wave Yip Yip Coyote et des groupes américains comme X, The Blasters, Meat Puppets, Rubber Rodeo, Rank and File, Jason and the Scorchers, et Violent Femmes[1].
↑(en) Gerald Haslam, Workin' Man Blues: Country Music in California (Berkeley: University of California Press, 1999) covers all of the major movements in California Country music from the Hollywood Cowboys to Country Rock. He also includes a chapter on the 1980s and the "Los Angeles renaissance" of country-styled "roots", rockabilly and cowpunk music and interviews members of The Blasters, Los Lobos, X/The Knitters, Lone Justice, Dwight Yoakam, Rosie Flores, Rank and File and The Beat Farmers. Kurt Wolff in The Rough Guide to Country Music (Londres : Rough Guides, 2000) also highlights chapters covering major California contributions to Country Music: Hollywood Cowboys, The Bakersfield Sound and Country Rock as well as California's contribution to Western Swing. Under chapters dealing with Dwight Yoakam and Alternative Country, Wolf mentions the influence of Los Angeles and its 1980s "roots" music scene.