Durant son enfance, sa famille s’installe à Blauzac, où son père Fernand, d'origine arabe[1], exploite une propriété viticole d’une douzaine d’hectares, qu’il reprend à l’âge de 18 ans et qu’il développe et fait prospérer pendant 43 ans[réf. nécessaire]. Celui-ci est maire de la commune de la Libération jusqu'en 1965.
En 2004, Denis Bouad est élevé au rang de chevalier du mérite agricole.
En 1999, il devient président de Groupama Gard, mandat qu’il occupera jusqu’en 2017. À partir de 2009 jusqu’à 2017, il est également élu vice-président de Groupama Méditerranée.
Il préside également le conseil d’administration du centre hospitalier du Mas Careiron à Uzès de 2004 à 2015.
Il est, lors des élections législatives de 2007, suppléant de Patrice Prat, en dissidence vis-à-vis du candidat officiel du PS dans la 3e circonscription Alexandre Pissas[7].
Après le renouvellement de 2008, il devient quatrième vice-président du conseil général du Gard. En 2011, il est nommé premier vice-président, et se voit confier la délégation au développement économique et à l'emploi.
En 2012, à la suite de l’indisponibilité du président Damien Alary, il assure l'intérim de la présidence[8].
Lors des élections départementales de 2015 dans le Gard[9],[10], avec comme remplaçant Jacques Bollègue, maire de La Calmette et en tandem avec Bérengère Noguier, ancienne conseillère générale du canton de St-Chaptes jumelé avec celui d’Uzès par le nouveau découpage électoral, il est élu représentant du nouveau canton d'Uzès.
Dans la foulée, le 2 avril 2015, il est élu président du conseil départemental du Gard[11] et président d’Habitat du Gard. À partir d’octobre 2018, il siège également au conseil fédéral des Offices Publics de l’Habitat[12].
En 2020, il porte un budget qui prévoit 135 millions d'euros d'investissement pour le Gard[11].