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Denzil Wraight s'intéresse notamment aux pianos de Cristofori construits durant la décennie de 1720 et dont seuls subsistent trois :
Un instrument de 1720 est situé au Metropolitan Museum of Art, à New York. Cet instrument a été modifié de façon significative par des constructeurs qui ont suivi : la table d'harmonie a été remplacée en 1938, et la gamme a été décalée d'environ une demi-octave. Bien qu'il soit possible de jouer de ce piano, selon le facteur Denzil Wraight : « sa condition originale […] a été totalement perdue », et il ne peut en aucun cas indiquer comment il sonnait lorsqu'il était neuf[2].
Aline Zylberajch lui commande une copie de piano forte Cristofori afin d'interpréter les sonates de Domenico Scarlatti[3]. Il reconstitue également un instrument de Ferrini, l’un des disciples de Cristofori, pour un enregistrement du disque Discovering the piano (Handel, Scarlatti, Soler, Platti...) par Linda Nicholson[4], de même qu'un Walter fortepiano pour Emilia Fadini, entre autres travaux[1].
Publications
(en) The New Grove Dictionary of Music and Musicians (édité par Stanley Sadie), Londres, Macmillan, seconde édition, 29 vols. 2001, 25000 p. (ISBN978-0-19-517067-2, lire en ligne) :
(en) Denzil Wraight, « Related instruments : 2, The Arpicordo », dans Stanley Sadie (éd.), Early Keyboard instruments, MacMillan, coll. « The Grove Musical Instruments Series », (1re éd. 1980), 313 p. (ISBN0-393-02554-3), p. 176–178.
(en) Edwin Ripin, Howard Schott, John Barnes, Grant O'Brien, William Dowd, Denzil Wraight, Howard Ferguson et John Caldwell, Early keyboard instruments, New York, W. W. Norton & C°, coll. « The New Grove Musical Instruments Series », , 3e éd., 313 p. (ISBN0-393-30515-5)
Références
↑ a et b« BIOGRAPHY », sur denzilwraight.com (consulté le ).