Inspecteur de l'académie de Paris à partir de 1917, Il est nommé en inspecteur général de l'Instruction publique, inspecteur général de l'enseignement du second degré, puis de l'Éducation nationale, jusqu'en 1938[2],[3].
Parodi écrit de nombreux articles pour divers recueils, traduit les œuvres choisies de Berkeley qu'il publie en 1895. Il fait paraître ses propres premiers ouvrages en 1909 et 1910 : Traditionalisme et démocratie, puis Le Problème moral et la pensée contemporaine. Il dirige la Revue de métaphysique et de morale[3].
↑ ab et c« Mort du philosophe DOMINIQUE PARODI », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑ a et b« Parodi, Dominique (1870-1955) », BNF12401436.
Voir aussi
Bibliographie
René Poirier, Notice sur la vie et les travaux de Dominique Parodi (1870-1955), Paris, Institut de France, Académie des sciences morales et politiques, 1959, 29 pages ; lue dans la séance du .
André Lalande, « Dominique Parodi (1870-1955) » in Revue de Métaphysique et de Morale, no 4, octobre-.
Jean Nabert, « Dominique Parodi (1870-1955) » in Les Études philosophiques, no 1, 1956.
Dictionnaire des philosophes, Presses universitaires de France, 1984.