Esu (Cameroun)

	Esu
Administration
Pays	Cameroun
Région	Nord-Ouest
Département	Menchum
Démographie
Population	14 240 hab. (2005)
Géographie
Coordonnées	6° 34′ 00″ nord, 10° 05′ 00″ est
Altitude	1 054 m;
Localisation
	Esu
	Esu
	Esu
	modifier

Cet article est une ébauche concernant une localité camerounaise.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Esu est une localité du Cameroun située dans la région du Nord-Ouest, le département du Menchum et l'arrondissement de Fungom (commune de Zhoa), à proximité du lac Nyos et de la frontière avec le Nigeria. C'est aussi le siège d'une chefferie traditionnelle de 2^e degré^[2].

Population

Lors du recensement de 2005, Esu comptait 14 240 habitants^[1].

Histoire

Après l'explosion de gaz carbonique du lac Nyos qui fit de nombreuses victimes le 21 août 1986, des rescapés ont été accueillis dans des camps construits notamment à Esu^[3].

Notes et références

↑ ^{a et b} Troisième recensement général de la population et de l'habitat (3^e RGPH, 2005), Bureau central des recensements et des études de population du Cameroun (BUCREP), 2010.
↑ « Chefferie Esu », in Annuaire des chefferies traditionnelles, Ministère de l'Administration territoriale et de la Décentralisation, 2012, consulté le 30 juin 2018
↑ Edmond Kamguia K., « 29 ans après Nyos : la vie renaît après la tragédie », in La Nouvelle Expression, sur camerpost.com, 22 août 2015 [1]

Liens externes

(en) Zhoa, sur le site Communes et villes unies du Cameroun (CVUC)
(en) Zhoa Council Development Plan, PNDP, February 2012, 153 p.

Portail du Cameroun

[RG-1] {a et b} Troisième recensement général de la population et de l'habitat (3^e RGPH, 2005), Bureau central des recensements et des études de population du Cameroun (BUCREP), 2010.

[2] « Chefferie Esu », in Annuaire des chefferies traditionnelles, Ministère de l'Administration territoriale et de la Décentralisation, 2012, consulté le 30 juin 2018

[3] Edmond Kamguia K., « 29 ans après Nyos : la vie renaît après la tragédie », in La Nouvelle Expression, sur camerpost.com, 22 août 2015 [1]

[1]

[2]

[3]