Eugène Stevens, né à Bruxelles le et mort à Ixelles le , est un juriste et avocat belge, auteur de pièces de théâtre, de revues satiriques, d’œuvres juridiques, et critique d’art, écrivant le plus souvent sous le nom d’Ernest Hallo, parfois aussi sous le nom d’Eugène Sandarre ou d’autres pseudonymes.
Biographie
Pierre Eugène Michel Stevens, dont le prénom usuel sera Eugène, naît à Bruxelles[1] le 8 février 1865.
Docteur en droit, il sera un avocat réputé à la Cour d'Appel de Bruxelles, assesseur du tribunal de consultation gratuite, membre du Conseil de l'Ordre (1921-1926), auditeur (17.11.1909) puis conseiller (18.11.1922) au Conseil Supérieur des Colonies, dramaturge et critique d'art.
Il est membre dès 1921, année de sa création par le général Louis Lemercier, le Prof. Valère Fallon, s.j., et le sénateur Vincent Volckaert du Conseil général de la Ligue des Familles Nombreuses, président du Fonds des Études, du Fonds du Logement, de la Commission des Agents de l’État, et de la Commission des Assurances de cette Ligue[2], collaborateur du Bulletin de la Ligue des Familles Nombreuses,
Il est l'avocat notamment du ministère des Chemins de Fer, Postes, Télégraphes, Téléphones et Marine puis l'avocat de la SNCB dont il rédigea les statuts, de plusieurs journaux dont La Nation belge[3], co-auteur d'un ouvrage de référence sur "Le contrat de transport".
Il est également l'auteur de revues (et longtemps revuiste du Jeune Barreau) et de comédies, dramaturge sous le nom d’Eugène Sandarre, le plus souvent sous le nom d’Ernest Hallo, auteur de centaines d’articles de presse[4], souvent humoristiques ou polémiques, le plus souvent sous son nom d’Eugène Stevens, mais aussi sous divers pseudonymes tels « Jacques », « Berchoux »[5], etc., rédacteur de nombreux articles de journaux, collaborateur du "Journal de Bruxelles" comme critique dramatique, du "National Bruxellois" (comme critique musical), collaborateur de la Conférence de Saint-Vincent de Paul, etc.
Il contribua aussi à la lutte contre les taudis et à l’amélioration des Logements ouvriers[6].
Eugène Stevens est mort à Ixelles le 10 décembre 1938. Son décès fit l’objet de nombreux articles de presse[7].
Résistant
Ardent patriote pendant la guerre 1914-18, il écrivait dans « La Libre Belgique » clandestine des articles qu’il faisait recopier par l’aînée de ses filles, pour ne pas être trahi par son écriture, avant de les faire parvenir à l’impression clandestine. Il faisait distribuer ce journal par ses enfants, poussant le landau de leur petit frère, sous le matelas duquel étaient cachés les journaux. Il cacha un grand nombre de cuivres réquisitionnables derrière une cloison construite à cet effet dans sa maison, 19 rue de Dublin à Ixelles. Il encouragea son fils Louis à passer aux Pays-Bas pour rejoindre les Alliés.
Rôle public
Quoique proche des futurs ministres Jules Renkin et Henry Carton de Wiart, il ne fit jamais de politique. Il eut cependant une querelle par journaux et droits de réponse interposés avec l’ex-abbé Adolf Daens.
Son œuvre juridique
En 1927, il commença à donner[Où ?] et écrivit un cours de Droit civil, publié en 1931[8].
En 1931, il a laissé un important ouvrage de doctrine, devenu et resté une référence[9], sur un sujet novateur pour l’époque : Le contrat de transport[10],[11].
Il fut connu aussi pour avoir défendu maître Zwendelaer, un avocat membre de la garde civique qui, par défi, n’était pas venu à l’exercice en tenue, mais en redingote et chapeau buse (avec cependant les boutons, le fusil et le ceinturon réglementaires), prétextant que les lois et règlements ne prévoyaient pas que les exercices devaient se faire en tenue, seuls les boutons étant décrits. Zwendelaer, acquitté de désobéissance mais condamné à une amende, se pourvut en appel, puis en cassation, dût payer 25 francs symboliques, puis appliqua l’arrêt de Cassation en se présentant avec un ancien képi, etc. Ces procès défrayèrent la chronique[12], de même que celui où E. Stevens défendit le journal La Nation belge, qui était attaquée pour avoir relancé, finalement à juste titre, l’enquête bâclée sinon trouble de l’affaire du crime de Beernem[13]
Son œuvre littéraire
Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre et comédies[14], dont Le Turbot[15]ou L’Article 266[16], joué pour la première fois au Théâtre royal du Parc en 1904. Il écrivit aussi avec verve de nombreuses pièces pour les Revues de la Conférence du Jeune Barreau, dont son ami Henry Carton de Wiart fut secrétaire, puis président.
Comme critique, il est l’auteur de centaines d’articles de journaux, (notamment dans la Nation belge), publiant aussi des poèmes humoristiques, des pastiches, etc.
Il a laissé aussi divers articles notamment dans la revue Durendal[17], et dans Famille et Collège[18]
Vie privée
Ses parents étaient Michel Stevens, né en 1817 à Bruxelles et y décédé en 1899, sous-chef de bureau à l'administration communale de Bruxelles, et Marie Julie Deminjon, née en 1827 à Lyon, France, commerçante à Bruxelles, et morte en 1870. Ceux-ci s'étaient mariés à Bruxelles[19] en 1863. Outre Eugène, né en 1865, un autre enfant naîtra de ce mariage, Louis Stevens, qui sera jésuite et professeur au St Joseph's
College à Daarjeeling en Inde.
Eugène est orphelin de mère à l'âge de cinq ans, sa mère mourut en effet le 20 août 1870.
Son père, Michel Stevens, se remarie à Ixelles[20] en 1872 à Marie Dautzenberg (1821 - 1889), sœur du poète Johan Michiel Dautzenberg (ou Jean-Michel) (1808 - 1869). Celle-ci va élever Eugène Stevens, l'enfant du premier mariage de son mari. Marie Dautzenberg avait déjà contribué à l’éducation des enfants d’Henri Braquenié, fondateur de la société Braquenié et Cie(en) avec des manufactures notamment à Malines et Aubusson, et qui était l'ami de son frère le poète.
Gabrielle Braquenié (1852 - 1931), l'un des enfants d’Henri Braquenié (1815 - 1897), épousa Philippe Dautzenberg (1849 - 1935), fils de Jean-Michel Dautzenberg (1808 - 1869) et savant conchyliologue, qui va devenir dirigeant des Manufactures Braquenié. La fille aînée de ce couple, Mélanie Dautzenberg (1873 - 1951), devint l’épouse d’Eugène Stevens (1865 - 1938). Ceux-ci se marièrent à Paris[21], 7ème arrondissement, le 20 octobre 1892. Ils eurent seize enfants[22], douze garçons et quatre filles, parmi lesquels :
Jean (1893-1969), prisonnier de guerre 1914-18, évadé, avocat, secrétaire général près les Tribunaux Arbitraux Mixtes qu’il suivit à Paris, président de l'Association des Avocats inscrits à un Barreau étranger et des Juristes étrangers en France, vice-président de l'Association des Anciens Combattants Belges en France. Son fils Jean-Claude, explorateur et conférencier, après un séjour en Equateur, aurait contribué à repopulariser la culture du colza en Europe occidentale. (à vérifier)
Marie-Antoinette (1894-1923), résistante en 1914-18
Louis (1895-1960), combattant en 1914, franchit en cachette la frontière des Pays-Bas pour rejoindre les forces combattantes sur l’Yser, évadé en 1940 du camp de Torhout, épouse Denise, fille de Georges Richard
Jeanne (1898-1976), écrivaine de livres pour enfants, sous le pseudonyme de Jacques Dastières, notamment de Pireli l'Oiseau d'or, illustré par Pierre Ickx , Roitelet, coll. « Durendal », 1937[23], ou Le mystérieux Prince Holkar, Dupuis.
Le R.P. Jacques Stevens s.j. (1900-1990), docteur en philosophie et lettres, auteur d'études, essais pédagogiques[24], biographies et romans, rédacteur et éditeur de 137 « Feuilles de contact » de l’Association des Anciens du Collège Saint-Michel (1953-73), metteur en scène de diverses pièces, dont le « Mariage de Télémaque »[25]
André (1901-1980), parachutiste pendant la guerre 1940-45, inventeur d’un système de tir pour jeep[26] et auteur d’une publication privée « My life and adventures »
Pierre (1903-1984), colon au Congo belge (unique colon de l’île de M’Bié en son temps), puis fonctionnaire, filleul d’Emma, femme du ministre Jules Renkin. Pendant son service militaire dans la Ruhr occupée partiellement par les forces belges, il mena l’arrestation et l’emprisonnement du bourgmestre d’Osterfeld, Johannes Kellinghaus
Paul (1905-1985), parti aux USA, épousa Jeannett St John Alexander, fille du sénateur. Il est le père de Renée Schoen-René, professeur à Hobart College, Geneva (N.-Y.), USA
Roger (1906-1968), prêtre, professeur, aumônier à Bruxelles puis à la Providence de Soeur Claire, dans l’armée française, puis curé en France.
Henri, administrateur-délégué de la S.A. Diffusion et Publicité et de l'Auto-Journal
Albert, filleul du roi Albert (Ier) de Belgique, décédé accidentellement dans les rochers de Cauterets[27] en 1926[28], inhumé au cimetière de Lourdes.
Suzanne-Madeleine (Mady), épouse de René Philips, avocat à la Cour de Cassation, membre du Conseil de l’Ordre des Avocats, auteur juridique et collaborateur du "Journal des Tribunaux", collaborateur de la Revue pratique des sociétés, et co-auteur (avec Me Veldekens) de la partie sur la prescription traitée dans le Répertoire pratique du droit belge, collaborateur aux travaux préparatoires du nouveau Code judiciaire, auteur d’un essai critique Le Catholicisme libéral[29] (Pendant la guerre il vint en aide et logea un agent de Londres).
Charles-Désiré (1917-1995), évadé avec son frère Louis du camp de Torhout en 1940, prêtre, vicaire à la cathédrale de Bruxelles, curé à Rofessart, Limelette, puis Bierges, depuis 1966 responsable des émissions religieuses radios à la radio-télévision belge (INR, RTB) ainsi que des messes télévisées. (1975-1984).
Distinctions honorifiques
Commandeur de l'ordre de Léopold, officier de l’ordre de la Couronne, titulaire de la médaille Pro Ecclesia et Pontifice
Notes et références
↑Bruxelles, acte de naissance n° 691 du 10 février 1865 de Pierre Eugène Michel Stevens, né le huit du mois à deux heures de l'après-midi, rue de la Madelaine n° 15, fils de Michel Stevens, sous-chef de bureau, né à Bruxelles, et de Marie Julie Deminjon, conjoints, domiciliés même maison, sur déclaration du père âgé de 47 ans.
↑Au cours des étés 1916 et 1917, il accepta la demande du propriétaire de l’imposant château de Bonlez pour l’habiter avec sa famille très nombreuse afin que ce château ne soit pas réquisitionné par l’occupant allemand.
↑Il était spécialisé dans les procès de presse, selon La Nation belge du 11 décembre 1938.
↑Il écrivit dans Le Réveil, Le Démocrate, Le Devoir, La Patrie, Le XXe Siècle, Le Messager de Bruxelles, Le petit Belge, etc. Il fut aussi longtemps critique dramatique au Journal de Bruxelles, dit l’art du Pourquoi Pas, critique musical au National Bruxellois, collaborateur du Sifflet, etc.
↑Sans doute en référence à l’humoriste et poète français Joseph de Berchoux (1760-1838), qui a écrit « Sachez rire de tout et n'offenser personne. »
↑Notamment La Libre Belgique, 11 décembre 1938, Le National Bruxellois, 11 décembre 1938, La Nation Belge, 14 décembre 1938, le Bulletin de la Ligue des Familles Nombreuses, janvier 1939.
↑Eugène STEVENS, avocat à la Cour d'appel de Bruxelles, Droit civil, Les Obligations, Bruxelles, I.S.N. rue de Louvain, 21, , 82 p.
Jules Berten, La prescription pénale s'applique-t-elle à l'action en réparation de lésions corporelles fondée sur la responsabilité contractuelle présumée du transporteur, Revue Générale des Assurances et des Responsabilités (1962).
Paul Dirickx, docteur en droit, Les limites de la responsabilité contractuelle dans le transport de personnes par chemin de fer, Nouveaux arguments pour une interprétation stricte in ; Revue Générale des Assurances et des Responsabilités, Larcier, 1981.
Dr. D. Goedhuis, National Air legislations and the Warsaw Convention, Springer, 21 novembre 2013
Wouter Verheyen, De expressvervoerovereenkomst : (g)een sui generis-contract, Revue de Droit Commercial Belge - Tijdschrift voor Belgisch Handelsrecht, Larcier, novembre 2014
↑Eugène STEVENS, "Du contrat de transport" in : Les Novelles, Corpus Juris Belgici, Droit commercial, Tome I, Bruxelles, Ed. Edmond Picard, , 259 p., pp 577 à 835
↑Eugène Stevens et R. Henning, Le contrat de transport, Bruxelles, Ed. Lesigne,
↑Faits évoqués notamment, en français dans La Chronique (Gazette quotidienne) du Lundi 26 janvier 1914, Edition A, N° 25, p.2, et du 27 janvier 1914, dans le XXe siècle du 17 mars 1914, et dans la Gazette de Charleroi du 9 août 1914, et en néerlandais dans le journal de Denderbode du 22 mars 1914, p. 2, et rappelé dans le journal Volkstem du 17 juin 1914, mais aussi dans beaucoup d’autres quotidiens.
↑Stevens est longuement cité dans M. Remy et Saintair, Le Crime de Beernem, Impr. S. Vancampenhout, Bruxelles, 1929.
↑Il est cité comme auteur de théâtre dans G. Goemans et L. Demeur, La littérature française en Belgique, 2e éd., Ed. A. Hatier, Paris, 1932 (de son vivant) et dans C. Hanlet, Les Ecrivains Belges Contemporains de langue française, 1800-1946, T. 2, éd. H. Dessain, Liège, 1946 qui cite les noms de trois de ses pièces.
↑Ernest Hallo, Le Turbot, Bruxelles, Lyon-Claesen, , 104 p. (lire en ligne)
↑Ernest HALLO, L’article 266, comédie vaudeville en trois actes, Bruxelles, Ed. Oscar Schepens et Cie, et Impr. Polleunis & Ceuterick, Louvain, , 93 p.
↑Notamment le Numéro 11, novembre 1899, p. 831 à 849 : Conférence. La revue Durendal faisait aussi la publicité de certaines de ses œuvres : Le N° 5 de mai 1898 notamment fait la publicité de sa comédie en un acte et en vers Entre trois feux. Eugène Stevens reçut une épée miniature-coupe-papier marquée Durendal en remerciement pour sa collaboration à cette revue.
↑Eugène Stevens, « La lecture en famille », Fédération des collèges belges de la Companie de Jésus, Tome I, N°4, Ed. Goemaere, Imprimeur du Roi, Bruxelles., , p. 119 à 123
↑Bruxelles, acte de mariage n° 741 du 11 juin 1863. Le contrat de mariage fut passé pardevant le notaire Ectors à Anderlecht le 6 juin 1863. Michel Stevens, né le 7 septembre 1817 à Bruxelles, résidant à la rue de la Putterie n° 78 à Bruxelles, sous-chef de bureau à l'administration communale de Bruxelles, est le fils des feus Pierre Joseph Stevens et Anne Thérèse Josephe Penders. Marie Julie Deminjon, née le 14 janvier 1827 à Lyon, résidant à la rue de la Madelaine n° 15 à Bruxelles, commerçante, est la fille de feu Simon Deminjon et de Julie Chapuis, résidant à Bruxelles, sans profession et consentant par acte. Les témoins étaient Louis Piré, 36 ans, résidant à Ixelles, professeur à l'Athénée, Philippe Levrat, 80 ans, résidant à Bruxelles, docteur en médecine, chevalier de la légion d'honneur, Pierre Stevens, frère du marié, 41 ans, résidant à Bruxelles, négociant, Ernest Bayon, cousin de la mariée, 42 ans, résidant à Bruxelles, négociant.
↑Ixelles, acte de mariage n° 91 du 16 mai 1872. Le contrat de mariage a été passé pardevant le notaire Ectors à Anderlecht le 15 mai 1872. Michel Stevens, né à Bruxelles le 7 septembre 1817 né à Bruxelles, résidant à Bruxelles, sous-chef de bureau à l'administration communale de Bruxelles, veuf de Marie Julie Deminjon, morte le 20 août 1870, est le fils des feus Pierre Joseph Stevens et Thérèse Josephe Penders. Marie Catherine Dautzenberg, née le 12 septembre 1821 à Heerlen, dans la province de Limbourg, aux Pays-Bas, résidant à Ixelles, rue Keyenveld n° 78, rentière, est la fille des feus Jean Gaspar Dautzenberg et Marie Ide Diederen. Les témoins étaient Philippe Dautzenberg, cousin de la mariée, 22 ans, résidant à Paris, France, industriel, Pierre Stevens, frère du marié, 49 ans, résidant à Bruxelles, lithographe, Gustave Carron, cousin du marié, 34 ans, résidant à Bruxelles, employé, Louis Alexandre Henri Joseph Piré, cousin de la mariée, 44 ans, résidant à Ixelles, professeur à l'Athénée.
↑Paris, 7e arr., acte de mariage n° 696 du 20 octobre 1892. Eugène Stevens est qualifié d'avocat à la Cour de Bruxelles, demeurant à Saint-Josse-ten-Noode. Mélanie Marie Henriette Dautzenberg est née à Paris, 2e arr., le 26 février 1873, sans profession, demeurant avec ses père et mère au n° 213 de la rue de l'Université, fille mineure de Philippe Dautzenberg, négociant, et de Gabrielle Marie Julie Braquenié, son épouse, présents et consentants. Contrat de mariage passé pardevant Me Bourdel, notaire à Paris, le 17 octobre 1892.
↑Et non pas dix-sept, comme écrit erronément dans l’article « Me Eugène Stevens est mort » de la Nation Belge du 11 décembre 1938.
↑Jacques Dastières, Pireli l'Oiseau d'Or, illustré par Pierre Ickx, Roitelet, coll. « Durendal »,
↑R.P. Jacques Stevens, s.j., Antennes, les plus beaux Livres du Jeune Homme, Bruxelles, au moins 3 éditions, la 3e chez Goemaere, imprimeur du Roi, Bruxelles, 1947
↑Voir la jeep commando dite du Colonel Blondeel, Musée de l’Armée et d’Histoire militaire, WHI, Bruxelles
↑Une plaque « 12-4-26/ ALBERT STEVENS/Bruxelles/ IN MEMORIAM » y fut apposée.
↑Notre pèlerinage à Lourdes, traduction et adaptation par Robert HEREMANS du livre de F. M. Drève, des Missionnaires de Mill Hill (Londres), Our Pilgrimage in France, 11 février 1930, Ed. JEC, abbé E. Van Hoecke, Ixelles, lui consacre une page de dédicace (pg 4) du cercle jéciste qui portait le nom d’Albert Stevens.
↑René Philips, Le catholicisme libéral, Bruxelles, Editions de la « Cité chrétienne », 28 rue du Marché du Parc,
Voir aussi
Bibliographie
George Garnir, Léon Souguenet et Louis Dumont-Wilden (Les trois Moustiquaires), « Eugène Stevens », Pourquoi Pas ?, vol. 15e année, no 560, , p. 431-432 (lire en ligne [Avec un portrait dessiné d'Eugène Stevens en couverture], consulté le ).