Greffier de justice, il achève sa carrière au poste supérieur de greffier en chef de la Cour d'appel de la Réunion. Il est admis à la retraite en à l'issue de 48 ans et 11 mois de services[1]. À son décès, il occupe l'emploi d'archiviste colonial.
Focard prit la défense d'Edmond Albius en 1863 lorsque Jean Michel Claude Richard tenta de s'attribuer la paternité de la découverte faite par le jeune esclave[3], un procédé permettant de cultiver la vanille[4], puis proposa dans un journal de lancer une cotisation en sa faveur[5].
↑ a et bDécret de liquidation de pension civile du 4 avril 1893.
↑Archives nationales d'outre-mer, état-civil numérisé de Saint-Denis de la Réunion, acte de décès No554 de l'année 1901, vue 430 de la numérisation. Célibataire, Focard meurt à son domicile rue Sainte-Marie.
Philipp Krämer, « Une touche de noir, une touche de blanc. Volcy Focard explique la créolisation à La Réunion », Semestriel, histoire épistémologie langage, (OCLC8675296318, DOI10.1051/hel/201506)