Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Elle a toujours été active dans la vie de la cité, au point de s'opposer aux Médicis dans le premier quart du XVIe siècle.
Parmi les membres de cette famille, Nicolò Federico Soderin, actif dans le négoce quitta Florence pour Venise en 1465. Antonio Soderin, son neveu, imita son exemple en quittant Florence pour Chypre avec ses trois fils Nicolò, Federico et Francesco. La famille contribua à financer la République dans sa guerre contre Selim II. Les deux frères aînés perdirent la vie lors de la défense de Nicosie ; le troisième fut réduite en esclavage par les Turcs victorieux. En considération des mérites de cette famille pendant la guerre de Candie, elle fut agrégée à la noblesse vénitienne en 1656.
Les armes des Soderini sont écartelées, au premier et dernier de l'Empire, savoir une Aigle de sable en champ d'or, au second et troisième de gueules à trois têtes ou rencontres de Cerf d'or armées de leurs bois.
G.Bettinelli, Dizionario Storico-Portatile Di Tutte Le Venete Patrizie Famiglie, Venezia, , 168 p. (lire en ligne).
Casimir Freschot, Nouvelle relation de la Ville et République de Venise, Utrecht, Guillaume van Poolsum, (lire en ligne).
Repertorio Genealogico delle Famiglie confermate nobili e dei titolati nobili esistenti nelle provincie Venete, Francesco Schröder, Venise, 1830, typografia Alvisopoli.
Saggio sulla Storia Civile, Politica, Ecclesiastica e sulla Corografia e Topografia degli Stati della Reppublica di Venezia ad uso della Nobile e Civile Gioventù, Ab. D. Cristoforo Tentori Spagnuolo, Venise, Éd. Giacomo Storti, 1785.