Les journalistes francophones et étrangers couvrant les remises de prix de la saison littéraire parisienne auraient repris son usage dès les années 1960[réf. nécessaire].
Roger Peyrefitte dans son livre L'Illustre Écrivain, paru en 1982 (page 162), attribue l'invention de cette expression au journaliste et écrivain Bernard Frank.
Galligrasseuil apparaît aussi en 1989 dans l'ouvrage satirique Paris, France[6] du journaliste et écrivain québécois Louis-Bernard Robitaille[7]. L'expression sera reprise en 1996 dans la nouvelle Français, Françaises de l'écrivaine québécoise Monique Proulx[8].
Notes et références
↑(en) Entrée « Galligrasseuil » dans (en) Éléanor Levieux et Michel Levieux, Insiders' French. Beyond the Dictionary, Chicago, University of Chicago Press, , 270 p. (ISBN0-226-47502-6, lire en ligne), entrée disponible en ligne sur (en) « Sample entries from Insiders' French », sur University of Chicago Press
↑Par exemple, Le Canard enchaîné, du , article de Frédéric Pages sur le jury Goncourt : « Car le Goncourt ne récompense pas un écrivain, comme un vain peuple le pense, mais un éditeur. Le trio Gallimard-Grasset-Le Seuil, surnommé "Galligrasseuil", fait la loi. », cité par « pièce jointe (Canard enchaîné) », sur Académie de Rennes