Entre 1975 et 1989, il occupe plusieurs postes importants à l'Université de Montréal, étant président du syndicat général des professeurs, jusqu'en 1979, puis membre du conseil d'administration et du comité exécutif de l'université.
Il a déjà été condamné pour alcool au volant après s'être aventuré en sens inverse sur une bretelle d'autoroute[2].
Au cours de sa carrière politique, Gautrin a été membre de plusieurs commissions, dont la commission sur l'éducation et la commission sur le budget. Il a entre autres été vice-président de la délégation pour les relations avec la Belgique. Après avoir occupé le poste de ministre délégué au gouvernement en ligne durant un an, il a servi à titre de ministre des Services gouvernementaux entre février 2006 et avril 2007.
En , le premier ministre mandate Henri-François Gautrin d'effectuer des consultations publiques concernant la numérisation des rapports humains et sur l'incidence que cela peut avoir sur la société québécoise, et en particulier pour le gouvernement[3]. En , Le Devoir obtient une copie du rapport préliminaire de Gautrin indiquant que le gouvernement devrait entamer rapidement un virage numérique[3]. Le rapport complet sera déposé en mai de la même année[4].
Publication
Henri-François Gautrin, Gouverner ensemble : Comment le Web 2.0 améliorera-t-il les services aux citoyens?, Ministère du Conseil exécutif, Gouvernement du Québec, , 207 p. (lire en ligne)
Notes et références
↑Assemblée nationale du Québec, « Henri-François Gautrin », sur assnat.qc.ca, Gouvernement du Québec, 26 janvier 2012 (dernière modification).