Milbert visite ensuite les jeunes États-Unis.
Il est un des premiers à alerter sur les dégâts liés au développement. Il voyage beaucoup, et publie Itinéraire pittoresque du fleuve Hudson et des parties latérales de l'Amérique du nord en 1828[2]. Il écrit en particulier: « Il est un point où, dans chaque canton, le défrichement doit s'arréter, si l'on ne veut, en peu d'années, voir succéder à un pays verdoyant et fertile, une terre aride et dépouillée. »