Natif de l'Irlande du Nord, Duncan émigre au Bas-Canada en 1825[1]. En 1830, il s'installe à Montréal[2] et effectue à l'occasion des voyages à Québec[3] et à Niagara. Il fonde avec Cornelius Krieghoff, la Société des artistes de Montréal en 1847. Jacques Viger lui confie certaines commandes dont les aquarelles de son album[4]. Il réalise de nombreuses vues de Montréal : plusieurs de ses aquarelles servirent à illustrer des magazines dont le Canadian Illustrated News (Montréal) et l’Illustrated London News. En 1864, il prend part à une entreprise commerciale, la Duncan and Company, firme d’imprimeurs lithographes, graveurs et dessinateurs.
Galerie
Un tas de glace devant l'édifice du marché, Montréal (Québec), vers 1854, collection Peter Winkworth. Bibliothèque et Archives Canada, e000996227
Une partie des chutes Chaudière vues de Hull, Canada-Est, Bibliothèque et Archives Canada 1970-188-2153; W.H. Coverdale collection Canadiana
Congrégation Notre-Dame, Montréal
Une exposition de ses œuvres montrant le Montréal des années 1830 à 1880 intitulée "Montreal en devenir est exposé dans le cadre du musée McCord Stewart sur Sherbrook street west.
Publications
Hochelaga depicta : the early history and present state of the city and island of Montreal, 1839 [5]
↑(en) Jon Caulfield, « Three Preconfederation Painters of the Canadian City, Part II, James Duncan », Urban History Review / Revue d'histoire urbaine, vol. 16, no 2, , p. 190–195 (ISSN0703-0428 et 1918-5138, DOI10.7202/1017789ar, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Patricia Ann Todd et Patricia Ann Todd, « James D. Duncan, 1806-1881 : catalogue of works and introduction to his art », Thèse, Concordia University, (lire en ligne, consulté le )
↑Jules Bazin, « L’album de Consolation de Jacques Viger », Vie des arts, no 17, , p. 26–30 (ISSN0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
↑« BAnQ numérique », sur numerique.banq.qc.ca (consulté le )