Très lié [7]au comte de Paris, petit-fils aîné du roi Louis-Philippe et chef de la maison d'Orléans, il échoue aux élections législatives de 1869 en Saône et Loire contre Eugène Schneider. Ce dernier, tout puissant maître des forges et président du Corps législatif, est cependant mis en ballottage. Une autre tentative électorale dans le même département, en , n'aura pas plus de succès.
Nommé préfet du Puy-de-Dôme en [8] pour contenir les poussées bonapartistes, il le reste jusqu'en . En , il se voit confier, sous le ministère Dufaure, la préfecture du Loiret, avec la confiance de Mac-Mahon, président de la République mais monarchiste, alors en difficulté. Il reste préfet du Loiret jusqu'en , où il est mis en disponibilité[9],[10].
En 1885, il est candidat à la députation dans le Loiret, mais toujours sans succès.
L'instauration définitive de la République puis la mort du Comte de Paris, prétendant au trône, marquent son retrait de la vie politique.