En 2017, elle est choisie comme conférencière par l'Institut Australien de Physique en raison de ses contributions scientifiques notables au sujet des traces observables de l'évolution de l'Univers[3].
En 2018, elle est membre du jury du Nature Research Awards for Inspiring Science and Innovating Science de la revue Nature[4].
Elle publie son livre The End of Everything (Astrophysically Speaking)[6], dans lequel elle explore cinq hypothèses sur la fin de l'Univers[7].
À côté de ses activités de recherche, elle développe une intense activité de vulgarisation scientifique à travers des conférences grand public[8], des articles[9] et entretiens[10] dans la presse, ainsi qu'à travers son compte Twitter[11], qui est l'un des comptes d'astrophysique les plus influents sur le réseau[12]. Elle est également engagée dans la lutte contre le réchauffement climatique[13],[10], contre les discriminations dans le milieu académique[14] et pour la visibilité bisexuelle[15].
↑(en) Katie Mack, The End of Everything (Astrophysically Speaking), 240 pages, août 2020, Scribner (éditions Simon & Schuster) aux États-Unis et Allen Lane en Grande Bretagne, réimprimé mai 2021 chez Penguin Book ; traduit en français : Comment tout finira (astrophysiquement parlant), 272 pages, septembre 2021, éditions Quanto (Presses polytechniques et universitaires romandes) présentation en ligne.