Elle est instructeur à l'Université de Princeton et membre de l'Institute for Advanced Study[3] de septembre 2011 à mai 2012 avant de prendre un poste permanent au Massachusetts Institute of Technology en 2005[4]. Pendant son séjour au MIT, Wehrheim - qui est ouvertement gay - a codirigé la conférence de 2008 Celebration of Women in Mathematics[4] et a participé au recrutement d'étudiants et de chercheurs postdoctoraux d'horizons divers[5]. Depuis 2013, Wehrheim enseigne les mathématiques à l'Université de Californie à Berkeley[6].
Publications (sélection)
Benjamin Filippenko et Katrin Wehrheim, « A polyfold proof of the Arnold conjecture », Selecta Mathematica (New Series), vol. 28, no 1, , article no 11 (73 pages) (DOI10.1007/s00029-021-00680-z)
Katrin Wehrheim et Chris T. Woodward, « Pseudoholomorphic quilts », Journal of Symplectic Geometry, vol. 13, no 4, , p. 849–904 (DOI10.4310/JSG.2015.v13.n4.a3)
K. Wehrheim et C. Woodward: Quilted Floer cohomology. Geometry & Topology, 14:833–902, 2010.
Dusa McDuff et Katrin Wehrheim, « Smooth Kuranishi atlases with isotropy », Geometry & Topology, vol. 21, no 5, , p. 2725–2809 (DOI10.2140/gt.2017.21.2725)
Katrin Wehrheim et Chris T. Woodward, « Floer cohomology and geometric composition of Lagrangian correspondences », Advances in Mathematics, vol. 230, no 1, , p. 177–228 (DOI10.1016/j.aim.2011.11.009)
Récompenses et honneurs
Sa thèse de doctorat en mathématiques Anti-Self-Dual Instantons with Lagrangian Boundary Conditions a remporté la médaille de l'EPFZ en 2002[2]. En 2010, elle a reçu le Presidential Career Award PECASE des mains de Barack Obama lors d'une cérémonie à la Maison Blanche[7]. En 2012, elle est devenue membre de l'American Mathematical Society[8].
↑ a et bMurray, « A Celebration of Women in Mathematics at MIT », Notices of the AMS, American Mathematical Society, vol. 56, no 1, , p. 42-45 (lire en ligne).