Mimi (Catherine Spaak), jeune veuve et femme « innocente », découvre petit à petit la vie secrète de son défunt mari. Après s'être renseignée en lisant une traduction de Psychopathia sexualis de Richard von Krafft-Ebing, elle décide alors de rattraper le temps perdu en multipliant les rencontres. Celle avec le docteur Carlo de Marchi (Jean-Louis Trintignant) l’entraînera très loin...
Ce film va un peu au-delà de la comédie érotique italienne où un public masculin peut satisfaire son appétit pour les formes féminines qui commencent à se dévoiler au cinéma depuis les années 1960. En effet, il pose la question de la possible égalité entre femmes et hommes face aux désirs, voire face aux perversions. En ce sens, ce film est un essai féministe[1].
La version française a été raccourcie à l'époque de 4 minutes par rapport à la version italienne[1].
Notes et références
↑ a et bNotes de production de l'édition DVD de 2012, collection « Les maîtres italiens », éditions SND/M6 vidéo.