Au siège du journal, rue de la République à Romainville (à l'époque rue de Bagnolet), les compagnons groupés autour de Libertad (André Lorulot qui reprend le journal en 1908, Rirette Maîtrejean en 1911, Émilie Lamotte, Mauricius...) combattaient « les vices, habitudes et préjugés », le tabac et l'alcool, le « culte de la charogne » et le conformisme résigné de celui qui vote, se rend à la caserne, se marie et travaille[3].
↑Ou l'anarchie selon la typographie officielle, l'usage de minuscules étant notamment expliqué dans le documentaire Les Bandits tragiques, la bande à Bonnot (Sélection Prix du film d'histoire documentaire, Pessac 2016), réalisé par Cédric Condon et diffusé sur France Télévisions.
Références
↑Jean Maitron, Un « anar », qu'est-ce que c'est ?, Le Mouvement social : bulletin trimestriel de l'Institut français d'histoire sociale, Éditions ouvrières, 1973-04, lire en ligne.
René Bianco, Répertoire des périodiques anarchistes de langue française : un siècle de presse anarchiste d’expression française, 1880-1983, Aix-Marseille, 1987 [lire en ligne].
Fragments d’Histoire de la gauche radicale, « L’anarchie (1905-1914) », sur archivesautonomies.org.
Article
Albert Libertad, Et que crève le vieux monde, , lire en ligne.
Audiovisuel
Anne Steiner, Les anarchistes, corpus individualistes, Dictionnaire biographique Maitron, Centre d'Histoire Sociale, , voir en ligne.