Il travaille ensuite dans l’industrie médico-pharmaceutique, qu’il quitte en 2004 pour se consacrer à l’écriture[1],[2],[3]. Pour cela, il suit durant plusieurs mois une formation à l’Escale littéraire, département de littérature abrité par l’EICAR (École internationale de création audiovisuelle et de réalisation) et dirigé par Bernard Lecherbonnier[4]. Sous la tutelle de Bernard Lehembre, il y écrit son premier roman et y rencontre l’écrivain Christian Oster, de l’expérience et de l’accompagnement duquel il bénéficie[2].
La même année, Laurent Bonelli, qui dirige la librairie Virgin Megastore des Champs-Élysées, tout en étant force de proposition pour les éditions Robert Laffont, repère le premier manuscrit de Laurent Bettoni et le publie sous le titre Ma place au paradis, en avril 2005[2],[3],[5],[6] .
Cinq mois plus tard, Laurent Bettoni obtient son diplôme de lecteur-correcteur, ce qui lui permettra de travailler en presse écrite (groupe Figaro, Ushuaïa magazine…) ainsi que dans l’édition (éditions Flammarion, Albin Michel, Hachette, Michel Lafon…). De 2008 à 2013, il aura également en charge la publication de revues médicales chez John Libbey Eurotext.
En 2006, il participe à l’écriture de projets cinématographiques et de bibles de séries télévisées pour la société Aubes productions, aux côtes de Delphine de Vigan et Jean-Marc Parisis.
Cette expérience lui donne l’idée de mener une activité d’accompagnateur littéraire en parallèle à l’écriture de ses propres livres, et c’est ainsi qu’il fonde une structure appropriée[3],[9],[12]. Dans ce cadre, il apporte son concours à Louisiane C. Dor pour Les méduses ont-elles sommeil ? (Gallimard), distingué par le prix Renaudot poche en 2017 (Folio)[9],[13], à Laure Margerand pour le Jardin des étoiles mortes et Les 5 Parfums de notre histoire[14] (tous deux parus chez J’ai lu), à Guillaume Chérel pour Un bon écrivain est un écrivain mort (Mirobole éditions)[15], ainsi qu’à de nombreux auteurs autoédités ou pour le compte de maisons d’édition traditionnelles.
De 2013 à 2015, il prend la direction éditoriale de la maison La Bourdonnaye[16],[17],[18].
En 2016, il fonde son propre label, les indés (édition numérique ainsi que papier, par impression à la demande), dont la vocation première est de faire découvrir aux lecteurs des talents encore méconnus de la scène littéraire francophone, issus pour bon nombre de l’autoédition[3],[9],[21],[22],[23],[24].
Par ailleurs, il signe régulièrement des chroniques littéraires pour plusieurs magazines et revues : Service littéraire, La Fringale culturelle, IDBOOX, Wiib, Meet le mag, La Cause littéraire[13],[25],[26].
Suite royale, Visit Europe/Éditions Apogée, « Intrigues en voyage », 2019
L’Homme de Vinci, Visit Europe/Éditions Apogée, « Intrigues en voyage », 2019
Nouvelles
Le Bois flotté, parue dans Femme actuelle jeux, N°26, mars-avril 2016, disponible sous le titre Le Bois mort, les cow-boys et le indies (format numérique), 2012
Récits jeunesse
Léo et l’araignée, les cow-boys et les indies (format numérique), 2012
Léo et le monstre sans visage, les cow-boys et le indies (format numérique), 2012
Récits radiophoniques
Léo et l’araignée, France Musique, Contes du jour et de la nuit, 2013
Léo et le monstre sans visage, France Musique, Contes du jour et de la nuit, 2014
Le Bois mort, France Musique, Contes du jour et de la nuit, 2015