La loi du (dite plan Freycinet) portant classement de 181 lignes de chemin de fer dans le réseau des chemins de fer d’intérêt général retient en no 21, une ligne de « Fère-Champenoise à Vitry-le-François »[2].
La ligne est déclarée d'utilité publique par une loi le [3]. Elle est concédée à titre définitif par l'État à la Compagnie des chemins de fer de l'Est par une convention signée entre le ministre des Travaux publics et la compagnie le . Cette convention est approuvée par une loi le suivant[4].
Si le profil est relativement plat de Fère-Champenoise à Sommesous, le tracé se fait plus vallonné de Sommesous à Vitry-le-François, la voie dégringolant en pente de 8 ‰ du point culminant, atteint peu après Poivres, jusqu'à Huiron.
Ouvrages d'art
Le seul ouvrage d'art notable est le tunnel de Glannes, d'une longueur de 701 m, situé entre Sompuis et Huiron.
Notes et références
↑Journal Officiel de la République Française du 17 septembre 1985 page 10654
↑« N° 8168 - Loi qui classe 181 lignes de chemin de fer dans le réseau des chemins de fer d'intérêt général : 17 juillet 1879 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 19, no 456, , p. 6 - 12 (lire en ligne).
↑« N° 8968 - Loi qui déclare d'utilité publique l'établissement d'un chemin de fer de Fère-Champenoise à Vitry-le-François : 12 février 1880 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 20, no 503, , p. 101 - 102 (lire en ligne).
↑« N° 14216 - Loi qui approuve la convention passée, le 11 juin 1883, entre le ministre des Travaux publics, et la Compagnie des chemins de fer de l'Est : 20 novembre 1883 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 28, no 834, , p. 345 - 352 (lire en ligne).
↑Journal Officiel de la République française du 2 février 1972 page 1277.