La ligne de Fontenay-le-Comte à la ligne d'Angers à Niort, à ou près Benet, est déclarée d'utilité publique par une loi le [1].
Une loi du , autorise le ministre des Travaux publics à entreprendre des travaux de superstructure d'un « chemin de fer de Fontenay-le-Comte à Benet » inclut dans une liste de chemins de fer énoncés dans des lois du 16 et . Les dépenses seront imputées sur les crédits du chapitre « Travaux de chemins de fer décrétés et non concédés »[2].
L'adjudication pour la construction des stations et dépendances de Fontenay-le-Comte, Saint-Martin-de-Fraigneau et Nieul-Oulmes, a lieu le . La dépense est estimée à 411 618,52 francs[3].
Le ministre des travaux publics autorise l'ouverture de l'exploitation de la ligne, longue de 20,082 kilomètres, à partir du [4]. La ligne fut prise quotidiennement par les ouvriers l'usine Rousseau de Saint-Liguaire[5].
La gare fut fermée au trafic des voyageurs le 2 mars 1969 en même temps que la gare de Fontenay-le-Comte et fut remplacée par des autocars. Elle fut fut fermée au trafic de marchandises le 23 septembre 1996[5].
↑« N° 4893 - Loi qui déclare d'utilité publique l'établissement de divers chemins de fer : 31 décembre 1875 », Bulletin des lois de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale, xII, vol. 11, no 285, , p. 1288 - 1290 (lire en ligne).
↑France, « 14 = 16 juin 1878 _ Loi qui autorise ... », Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements, et avis du Conseil d'État / J. B. Duvergier, , p. 333 (lire en ligne, consulté le ).