Catalogue complet et détaillé des œuvres de Gabriel Fauré (1845-1924). Classement chronologique.
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Clavier
pour piano / pour harmonium / pour orgue
pour piano à 4 mains / pour 2 pianos
Vocal
pour voix ou chœur a cappella
pour voix et piano / et harmonium / et orgue (sauf musique sacrée)
pour voix et instrument solo (autre que piano) / duo / trio / quatuor / quintette... / orchestre
musique sacrée avec voix ou chœur et piano / orgue / harmonium / duo / trio... / orchestre
Instrumental
musique sacrée sans voix, pour piano / orgue / harmonium / duo / trio... / orchestre
musique de chambre / Instrument solo (autre que piano) / duo / trio / quatuor / quintette / sextuor...
musique pour orchestre / pour grand orchestre
Scène
musique de scène / théâtre / ballet
opéra / opérette
Info
arrangement, orchestration ou recueil d'un autre auteur
œuvre perdue / œuvre inachevée / projet avorté
1900-1910 → Date de début et de fin de la composition.
(1910) → Date mise hors de la chronologie, pour les arrangements historiques ou remarquables listés à la suite de l’œuvre principale, pour plus de clarté.
1910? → Date estimée ou probable (ca.1910).
av.1910 → Date de composition inférieure à une date connue (date de l'édition ou du décès du compositeur par exemple).
(11) → Numérotation spécifique des mélodies.
[Nom] → Nom ou complément au nom d'une œuvre donné par un tiers (autre que Fauré).
[Andante?] → Pour les arrangements, indication non vérifiée et supposée identique à l’œuvre principale.
(0:00) → Durée moyenne du morceau (après analyse de plusieurs banques de données).
(0:00 à 0:00) → Durées moyennes minimale et maximale selon l'interprétation ou le tempo.
Texte grisé → Œuvre perdue, inachevée ou projet avorté dont il ne reste rien ou seulement quelques brouillons jamais publiés ni joués. Aide à la compréhension de l’œuvre de l'auteur et il est encore possible de découvrir abouties quelques-unes de ces partitions.
sol maj → La tonalité d'origine est en gras, les autres transcriptions indiquées sont celles choisies par Gabriel Fauré ou celles couramment éditées. Il en existe souvent plusieurs autres.
Éditions : → Liste des premières éditions et des recueils. Lien vers le manuscrit original (BnF) ou les premières de couverture originales ou vers le site IMSLP pour les partitions d'époque libre de droit ; les éditions de moins de 60 ans n'ont donc pas de lien.
Chronologie détaillée des œuvres et des principaux arrangements
La chronologie qui suit se base sur les documents d'archives, principalement de la BNF (Manuscrits, courriers, partitions d'époque...) mais aussi de différents fonds européens et mondiaux, publics et privés. La chronologie établie par Jean-Michel Nectoux a aussi été prise en compte, comme celle d'autres auteurs ou critiques. En cas de différence de datation, les avis sont indiqués. Par ailleurs, le choix a été fait de tenir compte de la date de fin de composition (en gras), date connue ou figurant sur les manuscrits envoyés aux éditeurs pour mise en page et édition.
Dans le cas de versions ultérieures révisées, d'orchestrations, d'arrangements réalisés par Gabriel Fauré ou un autre compositeur, il a été retenu de les énumérer en suivant l’œuvre principale (date entre parenthèses) à l’exception des œuvres profondément remaniées ou détournées (recyclage de « Jules César » par exemple) ou des œuvres qui ont donné lieu à des recompositions abouties (versions du « Requiem » par exemple). Dans tous les cas, des renvois (→) sont indiqués pour retrouver les œuvres sœurs antérieures ou postérieures ainsi que les recueils concernés.
1854-1865 - École Niedermeyer à Paris (École de musique classique et religieuse de Paris)
001 à 009
001Op.1 /1 (1)
Date
1861
(av.1898)
26 mai (1935)
Catégorie
pour voix et piano
pour piano
pour voix et orchestre
Œuvre détaillée
Le papillon et la fleur – Op.1, no 1
Allegro non troppo / Allegretto. (2:05 à 2:50) « La pauvre fleur disait au papillon céleste: - Ne fuis pas ! Vois comme nos destins sont différents. Je reste, Tu t'en vas ! »
Première mélodie de l'auteur, pour voix moyenne et piano, composée d'après un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les chants du crépuscule: no 27a, écrit en 1834 et publié en 1835).
Composition en ré bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton, elle a été transcrite en ut majeur pour l'édition et faciliter le travail d'accompagnement. Transcription en ré majeur pour soprano ou ténor[3].
Il existe, hormis ceux listés ci-dessous, d'autres arrangements dont : pour trompette et piano[4]. → no 1 du recueil « Deux mélodies, Op.1 ». → no 1 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Arr. François (Franz) Behr
Le papillon et la fleur – Op.1, no 1, mélodie, transcrite pour piano
[Allegro non troppo?]
Transcription pour piano seul de la mélodie par François (Franz) Behr (1837-1898) aussi connu sous le pseudonyme de Charles Godard[5].
→ Recueil « Dix Mélodies transcrites pour piano seul » de 1905.
Arr. Manuel Rosenthal
Le papillon et la fleur – Op.1, no 1, mélodie en mi ♭ majeur pour chant et orchestre
Allegro non troppo.
Orchestration avec voix par Manuel Rosenthal (1904-2003) en mi bémol majeur[6].
Paris : Manuscrit en location chez J.Hamelle, 1935
002 Op.1 /2 (2)
Date
1862?
(av.1905)
Catégorie
pour voix et piano
pour piano
Œuvre détaillée
Mai – Op.1, no 2
Allegretto. (1:50 à 2:30) « Puisque mai tout en fleurs, Dans les prés nous réclame, Viens ! Ne te lasse pas de mêler à ton âme »
Mélodie pour voix haute et piano, sur un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les chants du crépuscule: no 31).
Composée en sol majeur puis en la bémol majeur, pour soprano ou ténor, puis transcrite en fa majeur, pour mezzo-soprano ou baryton[7].
→ no 3 du recueil « Quatre mélodies » de G.Hartmann de 1871[8]. → no 2 du recueil « Deux mélodies, Op.1 ». → no 2 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Arr. Carlos de Mesquita
Mai – Op.1, no 2, mélodie, paraphrase pour piano
[Allegretto?]
Transcription pour piano solo, de la mélodie par Carlos de Mesquita (1864-1953). Elle figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903[9].
Pièce pour clavier, composée en fa majeur pour un exercice d'école en 1862, sur un sujet de Fernand Le Borne (1862-1929). Gabriel Fauré y a remporté un prix d'excellence. Sur les esquisses manuscrites figure également un « Kyrie » incomplet[11].
L’œuvre sera réutilisée pour la « Fugue, [Op.84, no 3] » du 30 juin 1869.
[Sans indication de tempo]. (3:15) « Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encore pleine, Puisque j'ai dans tes mains posé mon front pâli »
Mélodie pour voix élevée et piano, sur un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les chants du crépuscule: no 25, publié en 1835).
Œuvre inédite car refusée en 1864 par l'éditeur Antony Choudens. Elle sera retrouvée dans la collection privée de Thierry Bodin[12],[10]. Composition en ut majeur pour soprano ou ténor puis transcription en si bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton[13].
→ no 1 du recueil « Deux mélodies inédites » de 2010.
Ton.
do maj / si♭ maj
Éditions
Œuvre inédite
Collection Thierry Bodin
Paris : J.Hamelle / A.Leduc, 2010
006 Op.17 (tableau 1/2)
Date
1863?
no 1:10 août (1864) no 3: (av.1905)
(1885?)
(1892-1896)
Catégorie
pour piano
pour piano à 4 mains
pour violon, orchestre et harpe ou pour violoncelle, orchestre et harpe
Mélodies sans paroles en la bémol majeur, pour piano[14],[15].
Romance no 1 : Andante quasi allegretto, en la bémol majeur. (1:50 à 2:10)
Romance no 2 : Allegro molto, en la mineur. (2:20 à 2:45)
Romance no 3 : Andante moderato, en la bémol majeur. (2:10 à 2:50)
Il existe de nombreux arrangements récents de ces mouvements : Pour cor et piano[16], quatuor à cordes, ensemble de cuivres, guitare classique[17], flûte et piano[18], trompette et piano[19].
Arr. Gabriel Fauré et/ou Philippe Bellenot
Romances sans paroles – Op.17, nos 1 & 3, pour piano à quatre mains
Transcription de la première romance pour piano à quatre mains par Gabriel Fauré, à Tarbes, en 1864[20].
Pour la troisième romance, il y a des incertitudes quant à l'auteur, probablement Philippe Bellenot (1860-1928)[15].
Romance no 1 – (Fauré) Andante quasi allegretto.
Romance no 3 – (Bellenot?) Andante moderato.
Arr. Gabriel Fauré
Romance sans paroles – Op.17, no 3, pour violon (ou violoncelle), petit orchestre et harpe
Andante moderato.
Transcription de Gabriel Fauré pour violon solo (ou violoncelle solo) avec accompagnement d'un petit orchestre[21],[15]: flûte, hautbois, clarinette, basson, harpe et cordes.
Arr. Jules Delsart
[Deux] Romances sans paroles – Op.17, pour piano et violoncelle (ou violon)
Arrangement pour violon (ou violoncelle) et piano, par Jules Delsart (1844-1900) des trois romances, ou uniquement des nos 1 & 3 en 1896, car Gabriel Fauré pourrait être l'auteur de la seconde en 1899[22].
Romance no 1 – (Delsart) Andante quasi allegretto, en mi mineur. (1:50)
Romance no 2 – (Delsart?) Allegro molto, en la mineur. (2:15)
Romance no 3 – (Delsart) Andante moderato, en la majeur. (2:00)
D'autres auteurs ont réalisé des arrangements pour piano et violon (ou violoncelle, ou alto).
Ton.
la♭ maj
la♭ maj
mi min
Dédicace & annotations
no 1 :« à Mme Félix Lévy »
no 2 :« à Mlle Laure de Leyritz »
no 3 :« à Mme Florent Saglio »
Première
nos 1 & 2 : Paris : Société Nationale de Musique, Pauline Roger (p), 25 février 1881
no 3 : Paris : Société Nationale de Musique, Kasa Chatteleger (p), 19 janvier 1889
pour 2 violons et piano (ou harpe) ou pour violon, violoncelle et piano (ou harpe)
pour harpe
pour orgue
pour piano et orchestre
Œuvre détaillée
Arr. Jules Delsart
Romances sans paroles – Op.17, nos 1 & 3, violon et violoncelle et harpe ou piano
Transcription de la première romance pour un trio avec violon et violoncelle (ou 2 violons) et accompagnement de piano (ou harpe) par Jules Delsart (1844-1900)[23],[24].
Romance no 1 – (Delsart) Andante quasi allegretto, en mi mineur.
Romance no 3 – (Delsart?) Andante moderato.
Pas de certitudes sur l'auteur (Gabriel Fauré?) de la troisième romance arrangée[15].
(10:00) « Super flumina, Super flumina Babylonis, illic sedimus et flevimus cum recordaremur Sion »
Première œuvre pour chœur. À cinq voix mixtes SATBB (ou quatre voix mixtes SATB) et grand orchestre.
Composée pour le concours annuel de composition de l'École Niedermeyer (Mention très honorable obtenue). D'après le Psaume 136« Super flumina Babylonis »[28].
Première
Enregistrement: Paris : Salle Pleyel, Ugo Rabec (b), Maria-Virginia Savastano (s), Letitia Singleton (alt), Mathias Vidal (t), Chœur et Orchestre de Paris, Stephen Betteridge (dir), Paavo Jarvi (dir), 8 février 2011
Éditions
Œuvre inédite
Paris : 1997
008 sans Op.
Date
12 janvier 1864
Catégorie
pour piano à 4 mains
Œuvre détaillée
La chanson dans le jardin
[Allegretto moderato?]
Petite pièce pour piano à quatre mains, écartée pendant 30 ans et reprise avec quelques petites modifications de 1894 à 1896 pour la berceuse de « Dolly, Op.56 ».
→ no 1 de la suite pour piano à 4 mains « Dolly » de 1896.
Dédicace & annotations
« à Mlle Suzanne Garnier »
Éditions
Œuvre inédite
009 Op.5 /2 (4)
Date
5 mai 1864
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
Rêve d’amour – Op.5, no 2
Allegretto. (2:15 à 2:55) « S'il est un charmant gazon, Que le ciel arrose Où naisse en toute saison, Quelque fleur éclose »
Mélodie pour voix basse et piano, d'après un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les chants du crépuscule: Nouvelle chanson sur un vieil air, no 22, publié en 1834)[29].
Composée en mi bémol majeur pour contralto ou baryton ou baryton-basse puis transcrite en fa majeur pour soprano ou ténor[30].
Il existe des arrangements récents dont ceux pour clarinette et piano[31], pour flûte et piano[32].
→ no 2 du recueil « Trois mélodies, Op.5 ». → no 10 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Ton.
fa maj / mi♭ maj
Dédicace & annotations
« à Madame C. de Gomiecourt »
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Rose-Marguerite Baron (s), Gabriel Fauré (p), 12 décembre 1874
Exercice d'écriture pour piano, composé à l'École Niedermeyer à Paris. L’œuvre sera réutilisée pour la « Fugue, [Op.84, No.6] » du 30 novembre 1869[33].
Ton.
si min
Éditions
Œuvre inédite
011 sans Op.
Date
1864?
(1868)
Catégorie
pour piano à 4 mains
pour orchestre
Œuvre détaillée
Allegro de symphonie
[Allegretto moderato?]
Première version pour piano à 4 mains, qui sera modifiée pour une seconde version, « Intermède symphonique » en 1869.
Arr. Gabriel Fauré
Intermezzo de symphonie
[Allegretto moderato?]
Version pour orchestre de « l'Allegro de symphonie » jouée à Rennes, le 8 février 1868.
Ton.
« à Mme Brun »
Première
Rennes: 8 février 1868
Éditions
Œuvre inédite
Œuvre inédite
012 sans Op. (5)
Date
1865
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
Tristesse d’Olympio
Grave, alla breve allegro non troppo. (3:55 à 4:15) « Les champs n'étaient point noirs, les cieux n'étaient pas mornes Non, le jour rayonnait dans un azur sans bornes Sur la terre étendu »
Mélodie pour voix moyenne et piano, composée d'après un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les Rayons et les Ombres, No.34, écrit en 1840).
Composition en mi mineur et transcription en mi bémol mineur pour mezzo-soprano ou baryton. Transcription en fa dièse mineur pour soprano ou ténor[34].
→ No.2 du recueil « Deux mélodies inédites » de 2010.
Ton.
fa♯ min / mi min mi♭ min
Dédicace & annotations
« À mon ami Adam Laussel »
Éditions
Œuvre inédite
Paris : J.Hamelle / A.Leduc, 2010
013 Op.2 /1 (6)
Date
1865
(av.1898)
(1928?)
Catégorie
pour voix et piano
pour piano
pour piano et orchestre
Œuvre détaillée
Dans les ruines d’une abbaye – Op.2, No.1
Allegretto / Allegro non troppo. (1:35 à 2:30) « Seuls, tous deux, ravis, chantants, Comme on s'aime ! Comme on cueille le printemps, Que Dieu sème »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les Chansons des rues et des bois : 1.Jeunesse, 6.L'éternel petit roman, No.15, publié en 1865).
Composée en la majeur, pour soprano ou ténor. Transcription en la bémol majeur puis en sol majeur pour mezzo-soprano ou baryton[35].
Il existe des arrangements récents dont pour trompette et piano[36].
→ No.1 du recueil « Deux mélodies, Op.2 ». → No.3 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Arr. François (Franz) Behr
Dans les ruines d’une abbaye – Op.2, No.1, mélodie, transcrite pour piano
Andante. (5:20 à 5:50) « Verbe égal au Très-Haut, notre unique espérance, Jour éternel de la terre et des cieux »
Œuvre en ré bémol majeur, sur des textes traduits du latin, de Jean Racine (1639-1699). Créée pour une compétition de composition à l'École Niedermeyer (Premier prix obtenu). Pour chœur SATB et orgue (ou piano)[38]. Il y a aussi une version pour 2 voix égales et orgue (ou piano)[39].
Après ceux détaillés ci-dessous, il existe de très nombreux autres arrangements dont : pour trompette et piano[36], pour 8 flûtes[40], pour 4 violoncelles et piano[41], pour orgue seule[42]...
→ No.10 du recueil « Écho des Maîtrises » de 1876. → No.1 du recueil « Musique religieuse », de 1911.
Arr. Gabriel Fauré
Cantique de Jean Racine – Op.11. Chœur, harmonium, quintette à cordes
Andante.
Arrangement de l'auteur pour chœur SATB, harmonium et accompagnement d'un quintette à cordes (2 violons, alto, violoncelle et contrebasse)[43].
Arr. ?
Cantique de Jean Racine – mélodie transcrite pour piano
Paris : Société Nationale de Musique, César Franck (dir), 15 mai 1875
Éditions
Œuvre inédite
014 Op.11 (tableau 2/2)
Date
(1906)
janvier (1907)
(av.1984)
Catégorie
pour chœur et orchestre
pour violon, violoncelle et piano
pour chœur et orchestre à cordes
Œuvre détaillée
Arr. Gabriel Fauré
Cantique de Jean Racine – Op.11. Chœur, orchestre
Andante. (4:25 à 6:30)
Arrangement de Gabriel Fauré, pour chœur SATB et orchestre symphonique : 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, harpe et cordes (violons I & II, altos, violoncelles et contrebasses)[44].
Arr. Henri Büsser
Cantique de Jean Racine – Op.11, piano trio
Andante. (4:10 à 5:10)
Arrangement en si mineur pour un trio avec violon, violoncelle et piano, de Henri Büsser (1872-1973)[45],[46].
Arr. John Rutter
Cantique de Jean Racine – Op.11, chœur, orchestre à cordes et harpe
Andante. (4:15 à 6:40)
Arrangement de John Rutter (1945-), pour chœur SATB (ou SSAA) et orchestre à cordes : 2 violons, 2 altos, 2 violoncelles et contrebasse, avec accompagnement de harpe (ou piano ou orgue).
Ton.
ré♭ maj
si min
ré♭ maj
Première
Paris : Société des Concerts du Conservatoire, Georges Marty (dir), 28 janvier 1906
Londres, Great Hall of University College School, John Rutter (dir), 1984
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1906?
Paris : J.Hamelle, 1908
Oxford University Press, 1997
015 sans Op.
Date
1865?
Catégorie
pour piano
Œuvre détaillée
Mazurka
[Moderato?]. (2:00)
Pièce en forme de Mazurka, pour piano, en si bémol majeur et inédite. À rapprocher de la « Mazurka, Op.32 » de 1875.
Ton.
si♭ maj
Éditions
Œuvre inédite
1866-1870 - Maître de chapelle et organiste de la paroisse St-Sauveur de Rennes
016 à 019
016 sans Op.
Date
1868
Catégorie
pour voix et orgue
Œuvre détaillée
Cantique à Saint Vincent de Paul
Pour voix et orgue, sans numéro d'opus, c'est la seconde œuvre religieuse en français. Œuvre inédite et manuscrit perdu[47].
Première
Rennes: Église Saint-Sauveur, 19 juillet 1868
Éditions
Œuvre inédite et perdue
017 sans Op.
Date
30 mars 1869
Catégorie
pour piano à 4 mains
Œuvre détaillée
Intermède symphonique
[Allegro molto vivo?]
Pièce pour piano à quatre mains en fa majeur, réutilisée pour la finale de la « Symphonie en fa majeur, Op.20 » de 1874, et l'ouverture de « Masques et bergamasques, Op.112 » de 1919.
Voir la première version pour piano à 4 mains, intitulée « Allegro de symphonie », composée vers 1864. Il existe aussi un arrangement de cette version pour orchestre « Intermezzo de symphonie » de 1868.
→ No.1 de « Masques et bergamasque, Op.112 ».
Ton.
fa maj
Dédicace & annotations
« à Valentine et Laure de Leyritz »
Éditions
Œuvre abandonnée et inédite
018 sans Op.
Date
27 avril 1869
Catégorie
pour piano
Œuvre détaillée
Cadence pour le Concerto No.3 en ut mineur Op.37, de L. van Beethoven
[Cadenza]. (2:30)
Cadence de Gabriel Fauré d'après le premier mouvement du « Concerto en ut mineur, Op.37 » de Ludwig van Beethoven (1770-1827). Édition posthume révisée en 1927 par Alfred Cortot (1877-1962). Des sources donnent 1889 comme date de composition, il semble que ce soit une confusion avec 1869[48],[49].
Pièce pour piano en do dièse mineur, sans numéro d'opus. Elle a été réutilisée dans la « Symphonie en fa majeur, Op.20 » de 1874 puis pour le septième mouvement de « Masques et bergamasques, Op.112 » de 1919[50].
→ No.7 de « Masques et bergamasque, Op.112 ».
Ton.
do♯ min
Première
Paris : Maison de la Radio, Louis-Claude Thirion (p), 15 novembre 1974
020 à 022
020 [Op.84/3]
Date
30 juin 1869
Catégorie
pour piano
Œuvre détaillée
Petite fugue pour piano – [Op.84, No.3]
Moderato, en la mineur. (2:15 à 3:15)
Pièce pour piano en la mineur, probablement la reprise d'une composition pour un concours de 1862, à l'École Niedermeyer « Fugue à 3 parties ». D'abord sans opus, elle sera incorporée en 1902 au cycle des « Pièces brèves »[51].
→ No.3 du recueil « Huit pièces brèves, Op.84 » de 1902.
Ton.
la min
Dédicace & annotations
« à Laure de Leyritz »
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Ricardo Viñes (p), 18 avril 1903
Pièce pour piano en mi mineur, certainement tirée de « l'Esquisse d'une fugue pour piano », travail de composition libre pour les exercices de 1864 à l'École Niedermeyer. D'abord sans opus, elle sera incorporée en 1902 au cycle des « Pièces brèves »[52].
→ No.6 du recueil « Huit pièces brèves, Op.84 » de 1902.
Ton.
mi min
Dédicace & annotations
« à Valentine de Leyritz »
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Ricardo Viñes (p), 18 avril 1903
1870 - Fondation de la Société Nationale de Musique à Paris
023 à 029
023 sans Op. (7)
Date
1870
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
L’aurore
Allegretto. (1:20 à 1:40) « L'aurore s'allume, L'ombre épaisse fuit Le rêve et la brume, Vont où va la nuit »
Mélodie pour voix élevée et piano, sur un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les Chants du Crépuscule: No.20, L'aurore s'allume, écrit en 1834).
Composition en la bémol majeur pour soprano ou ténor. Transcription en fa majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Œuvre posthume sans opus, à ne pas confondre avec la mélodie de 1884 « Aurore, Op.39, No.1 »[53].
Tempo animato quasi allegro / Tempo animato. (1:20 à 1:45) « Sur l'eau bleue et profonde, Nous allons voyageant, Environnant le monde D'un sillage d'argent »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Théophile Gautier (1811-1872). (Poésies diverses : écrit en 1841)[54].
Tonalité d'origine en mi bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. Transcriptions en fa majeur pour soprano ou ténor et en ré majeur pour contralto ou basse.
Il existe un arrangement récent pour clarinette et piano[55].
→ No.2 du recueil « Deux mélodies, Op.2 ». → No.4 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Arr. Carlos de Mesquita
Les matelots – Op.2, No.2, mélodie, paraphrase pour piano
[Tempo animato?]
Transcription pour piano seul de la mélodie par Carlos de Mesquita (1864-1953). Elle figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903.
Andante. (2:00 à 3:05) « Lydia sur tes roses joues Et sur ton col frais et si blanc, [Que le lait], roule étincelant, L'or fluide que tu dénoues »
Mélodie pour voix moyenne et piano, sur un poème de Leconte de Lisle (1818-1894). (Poèmes antiques: Études latines, No.17, publié en 1852)[56].
Composée en fa majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Transcriptions en sol majeur pour soprano ou ténor puis en ré bémol majeur et mi bémol majeur, pour contralto ou basse.
Il existe un arrangement récent pour chœur mixte SATB[57].
→ No.1 du recueil « Quatre mélodies » de G.Hartmann de 1871. → No.2 du recueil « Deux mélodies, Op.4 ». → No.8 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Arr. Renée Philippart
Lydia – Op.4, No.2, pour chant, piano et quatuor à cordes
[Andante?]
Arrangement pour voix moyenne, piano et quatuor à cordes de Renée Philippart (1905-1993). Probablement une commande de Charles Panzéra (1896-1976), célèbre baryton suisse qui a longtemps collaboré avec Gabriel Fauré[58].
Il existe aussi une version sans piano [1bis] de la même auteure.
→ Nos.1 et 1bis du recueil de 1941 « 4 mélodies orchestrées ».
Ton.
sol maj / fa maj / mi♭ maj ré♭ maj
Dédicace & annotations
« à Madame Marie Trélat » (mezzo-soprano à la SNM)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Marie Trélat (ms), Gabriel Fauré (p), 18 mai 1872
Allegretto vivo. (2:05 à 3:05) « A la très chère, à la très belle, Qui remplit mon cœur de clarté A l'ange, à l'idole immortelle, Salut en immortalité »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème de Charles Baudelaire (1821-1867). (Les Épaves: Galanteries, No.10, publié en 1866).
Composition en sol majeur, pour soprano ou ténor. Transcriptions en fa majeur et en mi bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton[59].
→ No.2 du recueil « Quatre mélodies » de G.Hartmann de 1871. → No.2 du recueil « Trois mélodies, Op.7 ». → No.16 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Ton.
sol maj / fa maj mi♭ maj
Dédicace & annotations
« à Monsieur Félix Lévy » (ténor à la SNM)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Félix Lévy (t), Gabriel Fauré (p), 22 mars 1873
Symphonie No.1 (Allegretto) – Suite d'esquisses à 2 pianos pour un 1er mouvement
Allegretto.
Composition en mi majeur pour 2 pianos d'un premier mouvement destiné à une suite pour orchestre, le futur Op.20, qui sera complété et achevé en 1873[60].
Ton.
mi maj
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Camille Saint-Saëns (p), Gabriel Fauré (p), 8 février 1873
Éditions
Œuvre écartée et inédite
028 Op.3 /1 (11)
Date
1871
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
Seule ! – Op.3, No.1
Andante / Andante grave. (2:30 à 4:05) « Dans un baiser l'onde au rivage, Dit ses douleurs Pour consoler la fleur sauvage, L'aube a des pleurs »
Mélodie pour voix basse et piano, sur un poème de Théophile Gautier (1811-1872). (Poésies diverses : publié en 1845).
Composée en mi mineur pour contralto ou baryton ou baryton-basse. Transcription en sol mineur pour mezzo-soprano ou soprano ou ténor[61].
Il existe un arrangement pour clarinette et piano[55].
→ No.4 du recueil « Quatre mélodies » de G.Hartmann de 1871. → No.1 du recueil « Deux mélodies, Op.3 ». → No.5 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Ton.
sol min / mi min
Dédicace & annotations
« à Monsieur E. Fernier »
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Marie Trélat (ms), Gabriel Fauré (p), 18 mai 1872
Andante sostenuto. (3:40 à 4:40) « Sentiers où l'herbe se balance, Vallons, coteaux, bois chevelus Pourquoi ce deuil et ce silence ? Celui qui venait ne vient plus ! »
Mélodie pour voix moyenne et piano, sur un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les Châtiments: 3.La famille est restaurée, No.11, publié en 1853).
Composée en la mineur, pour mezzo-soprano ou baryton puis transcrite en do mineur pour soprano ou ténor[62].
Il existe des arrangements récents dont ceux pour trompette et piano[4], pour clarinette et piano[31].
→ No.3 du recueil « Trois mélodies, Op.5 ». → No.11 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Andante non troppo. (2:05 à 2:40) « L'homme a, pour payer sa rançon, Deux champs au tuf profond et riche, Qu'il faut qu'il remue et défriche, Avec le fer de la raison »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Charles Baudelaire (1821-1867). (Les Épaves: Pièces diverses, No.29, publié en 1866).
Composition de l'introduction en do mineur (la suite en do majeur) pour mezzo-soprano ou baryton. Transcription de l'introduction en mi mineur (puis en mi majeur) pour soprano ou ténor[63].
→ No.2 du recueil « Trois mélodies, Op.8 ». → No.19 du « Premier recueil de mélodies » de 1879 et 1887 puis No.18 pour celui de 1908.
[Moderato]. (1:40 à 2:05) « Ave Maria, Ave Maria, gratia plena, Dominus tecum. Benedicta tu in mulieribus »
Cantate en la majeur pour chœur à trois voix d'hommes TTB (2 ténors et basse) avec accompagnement d'orgue. Œuvre posthume, composée en août 1871 à l'occasion de l'ascension des élèves de l'École Niedermeyer au Mont Saint-Bernard[65],[66].
Ton.
la maj
Dédicace & annotations
« Hommage au Grand-Saint-Bernard »
Première
Suisse: Chapelle de l'Hospice du Mont-Saint-Bernard, chœur de l'École Niedermeyer, 20 août 1871
Chanson du pêcheur (Lamento) – Op.4, No.1, mélodie transcrite pour piano
[Moderato?]
Réduction pour piano.
Arr. Renée Philippart
Chanson du pêcheur – Op.4, No.1, pour chant, piano et quatuor à cordes
[Moderato?]
Arrangement pour voix moyenne, piano et quatuor à cordes de Renée Philippart (1905-1993). Probablement une commande de Charles Panzéra (1896-1976), célèbre baryton suisse qui a longtemps collaboré avec Gabriel Fauré[58].
→ No.2 du recueil de 1941 « 4 mélodies orchestrées ».
Suite d'orchestre ou Symphonie en fa majeur – Op.20
Suite en fa majeur pour orchestre : 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 trompettes, 2 cors, timbales et cordes (violons I & II, altos, violoncelles et contrebasses)[77],[78].
Le premier mouvement, est une orchestration de l'Allegretto de la « Symphonie No.1 » pour 2 pianos de 1870[60]. Le troisième mouvement, provient du « Gavotte pour piano » de 1869 et servira encore pour « Masques et bergamasques, Op.112 » en 1919. Le dernier mouvement est un recyclage de « l'Intermède symphonique » de 1869, qui est lui-même une reprise de « l'Allegro de symphonie » de 1864.
Seules les partitions des premier et troisième mouvements ont survécu. Néanmoins, l’œuvre existe au complet dans la version de 1878 pour orgue et cordes[79].
I. Allegro [symphonique] (1870?) en fa majeur
II. Andante en si bémol majeur ? (perdu)
III. Gavotte (1869) , Allegro en fa majeur
IV. Finale (1864 & 1869) Allegro en fa majeur ? (perdu)
Ton.
fa maj
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Édouard Colonne (dir), 16 mai 1874
Allegretto moderato. (2:10 à 3:15) « Puisqu'ici-bas toute âme, Donne à quelqu'un Sa musique, sa flamme, Ou son parfum »
Duo pour deux sopranos (ou soprano et ténor) et piano, d'après un poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les voix intérieures: No.11, écrit en 1836 et publié en 1837).
Composition en ut majeur, puis transcription en ré bémol majeur pour duo de voix élevées. Transcription en si bémol majeur pour duo de voix moyennes.
La musique est une reprise d'une composition d'enfance de Gabriel Fauré pour un opéra juvénile, datant de 1863[82].
Il y a des arrangements récents dont ceux pour 2 flûtes et piano[83], pour 2 violons et piano[84], pour 2 trompettes et piano[85].
Tarentelle – Op.10, No.2, chant avec accompagnement d'orchestre
[Allegro vivo?]
Arrangement pour chant et orchestre symphonique par André Messager (1853-1929). Pour deux sopranos, flûte, hautbois, clarinette, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, timbales, triangle, tambour et cordes (3 violons I, 3 violons II, 2 altos, 2 violoncelles, 2 contrebasses)[91].
Andante con moto / Andante. (1:50 à 2:40) « Gondolier du Rialto, Mon château c'est la lagune Mon jardin c'est le Lido, Mon rideau le clair de lune »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème de Marc Monnier (1827-1885). (Poésies: 2.Musiques, No.6, écrit en 1872 et publié en 1878).
Composée en sol mineur pour soprano ou ténor, puis transcrite en fa mineur pour mezzo-soprano ou baryton (Andante)[92].
→ No.3 du recueil « Trois mélodies, Op.7 ». → No.17 du « Premier recueil de mélodies » de 1879 et 1887. → No.20 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1908.
Ton.
sol min / fa min
Dédicace & annotations
« à Madame Pauline Viardot » (mezzo-soprano et compositrice)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Clémence de Grandval (s), Gabriel Fauré (p), 20 mars 1875
Andantino / Adagio. (1:15 à 2:40) « Ici-bas! tous les lilas meurent, Tous les chants des oiseaux sont courts »
Mélodie pour voix moyenne et piano (pour mezzo-soprano ou baryton), d'après un poème de Sully Prudhomme (1839-1907). (Stances et Poèmes: 1.Stances, la vie intérieure, publié en 1866).
Composée en fa dièse mineur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcrite en sol mineur pour soprano ou ténor[93].
→ No.3 du recueil « Trois mélodies, Op.8 ». → No.20 du « Premier recueil de mélodies » de 1879 et 1887 puis No.19 pour celui de 1908.
Ton.
sol min / fa♯ min
Dédicace & annotations
« à Madame Georges Lecoq » (Mme Mac-Brid)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Rose-Marguerite Baron (s), Gabriel Fauré (p), 12 décembre 1874
Cadence pour le premier Concerto pour piano, K 37, de W. A. Mozart
Cadenza [Sans indication].
Cadence de Gabriel Fauré écrite en réalité d'après le premier mouvement de l'opéra de Hermann Friedrich Raupach (1728-1778), transcrit pour piano en fa majeur par Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791). Œuvre sans numéro d'opus et inédite[94].
Éditions
Œuvre inédite
044 Op.12
Date
1874-1875
Catégorie
pour chœur mixte et piano
Œuvre détaillée
Les djinns – Op.12, version pour chœur à quatre voix mixtes avec piano
Allegro. (4:25) « Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise Tout dort »
Première composition en fa mineur, pour chœur mixte SATB et piano, d'après le célèbre poème de Victor Hugo (1802-1885). (Les Orientales: No.28)[95].
Les djinns – Op.12, version pour chœur à quatre voix mixtes avec accompagnement d'orchestre
Moderato. (4:05 à 4:30) « Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise Tout dort »
Orchestration définitive en fa mineur de l’œuvre, pour chœur mixte SATB et orchestre symphonique : 3 flûtes, 2 hautbois, 3 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, 1 tuba, timbales, percussions et cordes.
Seule la partie pour chœur est d'origine. La partition de l'orchestre a été perdue chez l'éditeur J.Hamelle, mais réécrite par Gabriel Fauré fin 1898[96],[97].
Andante quasi allegretto. (1:45 à 4:50) « S'asseoir tous deux au bord du flot qui passe, Le voir passer Tous deux, s'il glisse un nuage en l'espace, Le voir glisser »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème de Sully Prudhomme (1839-1907). (Les vaines tendresses: No.4, écrit en 1872 et publié en 1878).
Composée en do dièse mineur pour soprano ou ténor, puis transcrite en do mineur pour mezzo-soprano ou baryton[98].
Il existe de nombreux arrangements récents dont un pour flûte et piano[32], pour 2 pianos, et pour 4 voix mixtes et piano[99].
→ No.1 du recueil « Trois mélodies, Op.8 ». → No.18 du « Premier recueil de mélodies » de 1879 et 1887 puis No.17 pour celui de 1908.
Arr. ?
Au bord de l'eau – Op.8, No.1, mélodie transcrite pour piano
[Andante quasi allegretto?]
Réduction pour piano qui figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903.
Romance – Op.28, pour violon avec accompagnement d'orchestre
Transcription de la romance pour violon avec accompagnement d'orchestre, mais l’œuvre manuscrite qui a été archivée en 1896 chez J.Hamelle, probablement pour être louée, a été perdue et n'a jamais été publiée[107],[108].
Arr. Philippe Gaubert
Romance – Op.28, pour violon et orchestre
Andantino molto moderato. (5:50)
Réorchestration avec violon par Philippe Gaubert (1879-1941) en 1913.
[Molto moderato?] « Libera me, Domine, de morte aeterna in die illa tremenda Quando coeli movendi sunt et terra »
Motet pour baryton et orgue, sans numéro d'opus. Il sera repris pour le sixième mouvement de la « Messe de Requiem, Op.48 » de 1888.
Ton.
ré min?
Éditions
Œuvre inédite
052 Op.7 /1 (23)
Date
1877
(av.1903?)
(av.1909?)
(av.1909?)
Catégorie
pour voix et piano
pour piano
pour violon et piano
pour violoncelle et piano
Œuvre détaillée
Après un rêve – Op.7, No.1
Andantino. (1:35 à 3:25) « Dans un sommeil que charmait ton image, Je rêvais le bonheur, ardent mirage »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après une poésie toscane d'un auteur anonyme italien « Levati sol que la luna è levata », traduite par Romain Bussine (1830-1899).
Composée en ut mineur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcrite en ré mineur pour soprano ou ténor ainsi qu'en si mineur pour alto ou baryton-basse[110].
Il existe beaucoup d'arrangements récents dont : pour trompette et piano[4], pour clarinette et piano[76], pour flûte et piano[32], pour violoncelle et guitare[111] et pour chœur à 4 voix mixtes et piano[112].
→ No.1 du recueil « Trois mélodies, Op.7 ». → No.15 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Arr. Arturo Luzzatti
Après un rêve – Op.7, No.1, mélodie transcrite pour piano seul
Andantino. (2:40 à 3:20)
Réduction en si mineur pour piano par Arturo Luzzatti(es) (1875-1959). Elle figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903[113],[114].
pour voix et orchestre ou pour violoncelle et orchestre
pour alto et piano
pour piano, violon et violoncelle
pour contrebasse et piano
Œuvre détaillée
Arr. Henri Büsser
Après un rêve – Op.7, No.1, arrangement pour orchestre
[Andantino?]. (2:30 à 3:30)
Orchestration en 1918 de Henri Büsser (1872-1973). Le manuscrit de la partie pour orchestre était en location chez J.Hamelle pour être jouée avec la partition pour voix moyenne de Gabriel Fauré.
Par ailleurs, l’œuvre est également proposée par Henri Büsser avec la partie de violoncelle de Pablo Casals intégrée[119],[120].
Arr. Paul-Louis Neuberth
Après un rêve – Op.7, No.1, pour alto et piano
Andantino. (2:45)
Transcription de la mélodie en ut mineur pour alto et piano, par Paul-Louis Neuberth (18??-19??)[121].
Arr. anonyme
Après un rêve – Op.7, No.1, pour piano et trio à cordes
[Andantino?]
Transcription pour piano et trio à cordes: violon, violoncelle et contrebasse ad libitum[122].
Arr. Frederick Zimmermann
Après un rêve – Op.7, No.1, pour contrebasse et piano
Andantino. (3:30)
Transcription de la mélodie en ut majeur pour contrebasse et piano, par Frederick Zimmermann(en) (1906-1967).
pour voix, piano et violoncelle ou pour voix, piano et viole d'amour ou pour voix, piano et alto
pour piano
Œuvre détaillée
Sérénade toscane – Op.3, No.2
Andante con moto quasi allegretto. (2:15 à 3:00) « Ô toi que berce un rêve enchanteur, Tu dors tranquille en ton lit solitaire »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après une sérénade toscane d'un auteur anonyme italien « O tu che dormie riposata stai », traduite par Romain Bussine (1830-1899).
Composée en si bémol mineur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcrite en ut mineur pour ténor ou soprano[123].
Il existe des arrangements récents comme pour trompette et piano[36] et pour flûte et piano[124].
→ No.2 du recueil « Deux mélodies, Op.3 ». → No.6 du « Premier recueil de mélodies » de 1879, 1887 et 1908.
Arr. Gabriel Fauré?
Sérénade toscane – Op.3, No.2, pour chant et piano avec accompagnement de violoncelle (ou viole d'amour ou alto)
[Andante con moto quasi allegretto?]
Transcription pour voix moyenne, violoncelle (ou viole d'amour ou alto) et piano. Probablement arrangé par Gabriel Fauré lors de la création du « premier quatuor pour piano et cordes, Op.15 » en 1880 avec Louis van Waefelghem à l'alto[125],[126].
Arr. Albert Landry
Sérénade toscane – Op.3, No.2, mélodie transcrite pour piano
[Andante con moto quasi allegretto?]
Réduction de la mélodie pour piano seul par Albert Landry (1866-1913). Elle figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903[127].
Ton.
do min / si♭ min
Première
« à Madame la Baronne de Montagnac » (née de Rosalès)
Cycle de trois mélodie composées dès 1878 pour voix élevée et piano (dans un premier manuscrit) puis pour voix moyenne et piano dans la première édition de 1880, d'après des textes de Charles Grandmougin (1850-1930)[132].
Rencontre – Op.21, No.1 Andante. (1:50 à 2:30) « J'étais triste et pensif quand je t'ai rencontrée, Je sens moins aujourd'hui mon obstiné tourment »
Première mélodie (26) composée en ré bémol majeur pour soprano ou ténor (manuscrit et édition), puis transcrite en si majeur pour baryton ou mezzo-soprano (édition)[133].
Il y a des arrangements modernes dont celui pour trombone et piano[134].
→ No.4 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Toujours – Op.21, No.2 Allegro con fuoco. (1:10 à 1:35) « Vous me demandez de ma taire, De fuir loin de vous pour jamais, Et de m'en aller, solitaire, Sans me rappeler qui j'aimais! »
Seconde mélodie (27) composée en fa dièse mineur pour soprano ou ténor (manuscrit) et transcrite en mi mineur pour mezzo-soprano ou baryton (édition). Puis retranscription en fa mineur pour soprano ou ténor (édition)[135].
Il existe des arrangements récents dont un pour clarinette et piano[136] et un pour flûte et piano[137].
→ No.5 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Adieu – Op.21, No.3 Moderato. (1:35 à 2:40) « Comme tout meurt vite, la rose Déclose Et les frais manteaux diaprés Des prés »
La dernière mélodie (28) a été composée en sol bémol majeur pour soprano ou ténor (manuscrit) puis transcrite en mi majeur pour mezzo-soprano ou baryton (édition) et enfin retranscrite en fa majeur pour soprano ou ténor (édition)[138].
Il existe des arrangements récents dont ceux pour clarinette et piano[139] et pour flûte et piano[140].
→ No.6 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Ton.
ré♭ maj ––––––– si maj
fa♯ min fa min ––––––– mi min
sol♭ maj fa maj ––––––– mi maj
Dédicace & annotations
« à Madame la Comtesse de Gauville »
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Mazalbert (Albert Mazel) (t), Gabriel Fauré (p), 22 janvier 1881
Andante, quasi allegretto. (1:35 à 2:30) « Ta rose de pourpre, à ton clair soleil, Ô Juin, étincelle enivrée, » Penche aussi vers moi ta coupe dorée, Mon cœur à ta rose est pareil »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Leconte de Lisle (1818-1894) (Poésies complètes de Robert Burns (traduites de l'écossais), éditées en 1843).
Composition en mi bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcription en sol bémol majeur pour soprano ou ténor[141].
Il existe des arrangements récents dont ceux pour chœur mixte et piano[142], pour clarinette et piano[76], pour flûte et piano[32] et pour trombone et piano[134].
→ No.1 du recueil « Trois mélodies, Op.18 ». → No.1 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. François Rasse
Nell – Op.18, No.1, pour chant et orchestre
[Andante, quasi allegretto?]
Orchestration en sol bémol majeur de François Rasse (1873-1955) réalisée à Bruxelles[143].
Allegro moderato. (1:30 à 2:05) « Voyageur, où vas-tu, marchant Dans l'or vibrant de la poussière? Je m'en vais au soleil couchant, Pour m'endormir dans la lumière »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème d'Armand Silvestre (1837-1901).
Composée en la mineur puis transcrite en sol mineur, pour soprano ou ténor. Transcription en fa mineur pour mezzo-soprano ou baryton puis en mi bémol majeur et ré mineur pour alto ou basse.
Il existe des arrangements récents pour clarinette et piano[31] et pour chœur mixte à 4 voix et piano[144].
→ No.2 du recueil « Trois mélodies, Op.18 ». → No.2 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. Édouard Mignan
Le voyageur – Op.18, No.2, partition d'orchestre pour mezzo-soprano en fa mineur
[Allegro moderato?]
Orchestration pour mezzo-soprano en fa mineur de Édouard Mignan (1884-1969)[145].
Arr. Francis Salabert
Le voyageur – Op.18, No.2, pour orchestre, avec piano conducteur
[Allegro moderato?]
Orchestration avec piano par Francis Salabert (1884-1946). Réalisé en 4 éditions : pour grand orchestre, orchestre moyen, second orchestre et quatuor[146].
Pièce pour piano, violon, alto et violoncelle en ut mineur. Le Finale a été réécrit dans une seconde version en 1883[151]. (29:00 à 34:00)
I. Allegro molto moderato en ut mineur (8:10 à 11:25)
II. Scherzo: Allegro vivo en mi bémol majeur (4:20 à 6:10)
III. Adagio en ut mineur (6:05 à 9:05)
IV. Finale: Allegro molto en ut mineur (7:20 à 8:50)
→ No.3 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Georges Humbert
Premier quatuor en ut mineur – Op.15, pour deux pianos à quatre mains
Transcription pour deux pianos à 4 mains du quatuor par Georges Humbert (1870-1936). Réduction de la partie des cordes pour un premier piano, suivi du second jouant la partition d'origine pour piano[152].
Arr. G. Ziégler
Premier quatuor en ut mineur – Op.15, pour piano à quatre mains
Réduction pour piano à 4 mains du quatuor par G. Ziégler[153].
Version 1 : Paris : Société Nationale de Musique, Ovide Musin (v), Louis van Waefelghem (alt), Ermanno Mariotti (vlc), Gabriel Fauré (p), 14 février 1880
Version 2 : Paris : Société Nationale de Musique, Lucien Lefort (v), Bernis (alt), Jules Loëb (vlc), Gabriel Fauré (p), 5 avril 1884
pour violon et orchestre ou pour violoncelle et orchestre
pour piano
pour harmonium
Œuvre détaillée
Berceuse – Op.16
Allegro moderato. (3:05 à 7:40)
Duo pour violon (ou violoncelle) et piano en ré majeur[157].
Il existe de nombreux arrangements dont les récents: pour trompette et piano[4], pour saxophone alto et piano[158], pour clarinette et piano[159], pour violoncelle et guitare[160], pour flûte et piano[161], pour quatuor à cordes[162], pour trio de flûtes, et pour flûte et harpe.
→ No.7 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Gabriel Fauré
Berceuse – Op.16, pour violon solo (ou violoncelle solo) avec accompagnement d'orchestre
Allegro moderato. (3:30 à 5:25)
Orchestration de Gabriel Fauré pour violon solo et orchestre: flûte, clarinette, cor et cordes (violons I. et II. alto, violoncelle et contrebasse[163].
Arr. Albert Benfeld (Albert Kopff)
Berceuse – Op.16, transcription pour piano
[Allegro moderato?]
Transcription pour piano par Albert Kopff (1846-1907) connu sous le pseudonyme d' Albert Benfeld[164].
Il existe aussi l'arrangement récent, pour piano solo, de Péter Nagy et Zoltan Jeney[165].
Arr. H.P. Toby
Berceuse – Op.16, transcrite pour harmonium
[Allegro moderato?]
Transcription pour harmonium par H.P. Toby (18??-19??)[166].
pour violon, orchestre et piano ou pour violoncelle, orchestre et piano
pour orgue
Œuvre détaillée
Arr. Youro Tkaltchitch
Berceuse – Op.16, transcription pour violoncelle (avec piano)
[Allegro moderato?]. (3:20)
Partie pour violoncelle, transcrite par Youro Tkaltchitch (1877-1957).
Arr. Francis Salabert
Berceuse – Op.16, pour violon solo (ou violoncelle solo ad lib.), avec accompagnement d'orchestre et piano conducteur
[Allegro moderato?]
Orchestration avec violon (ou violoncelle), orchestre (de brasserie?) et piano conducteur par Francis Salabert (1884-1946). Réalisé en 3 éditions : pour grand orchestre, orchestre moyen et second orchestre[170].
Concerto pour violon et orchestre – Op.14, en ré mineur
Œuvre pour violon et orchestre. Le premier mouvement a été réutilisé pour « l'Allegro du Quatuor à cordes, Op.121 » de 1924. Pour violon solo, 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, timbales et cordes (violons I. & II, alto, violoncelle et contrebasse).
Le second mouvement est perdu, il semble avoir été utilisé pour « l'Andante pour violon, Op.75 » de 1897. Le dernier mouvement a rapidement été abandonné, il ne reste que quelques brouillons[172].
I. Allegro en ré mineur. (15:15 à 17:00)
II. Andante – [perdu]
III. Finale – [abandonné]
Ton.
ré min
Première
No.2 : Paris : Société Nationale de Musique, Ovide Musin (v), André Messager (dir), 27 décembre 1878
Andante cantabile, en fa dièse majeur. (12.05 à 17:15)
Ballade instrumentale pour piano, en un seul mouvement et en fa dièse majeur. Originellement conçue en trois morceaux[173].
[I. Andante cantabile] en fa dièse majeur. (2:55)
[II. Allegro] en mi bémol mineur. (7:30)
[III. Andante] en fa dièse majeur. (5:15)
Arr. Gabriel Fauré
Ballade – Op.19, pour piano avec accompagnement d'orchestre
Andante cantabile, en fa dièse majeur.
Partition d'orchestre de Gabriel Fauré d'avril 1881. Concerto pour piano solo et orchestre: 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors et cordes (violons I. & II, altos, violoncelles et contrebasses)[174].
Arr. Isidor Philipp
Ballade – Op.19, réduction pour deux pianos
Andante cantabile.
Réduction de la partie de l'orchestre pour un second piano, par Isidor Philipp (1863-1958), à jouer avec la partition initiale de Gabriel Fauré[175].
Andante. (2:05 à 4:10) « Le long du Quai, les grands vaisseaux, Que la houle incline en silence »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Sully Prudhomme (1839-1907). (Stances et Poèmes: 1.Stances, 4.Mélanges, No.16: Le long du quai, publié en 1866).
Composée en si bémol mineur pour baryton et mezzo-soprano, puis transcrite en ut mineur pour soprano ou ténor[176].
Il existe des arrangements récents dont deux pour 4 voix mixtes et piano[99],[177], pour flûte et piano[137], pour clarinette et piano[136].
→ No.1 du recueil « Trois mélodies, Op.23 ». → No.7 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. Luigi Luzzatti
Les berceaux – Op.23, No.1, mélodie transcrite pour piano seul
[Andante?]
Réduction pour piano par Luigi Luzzatti (1841-1927). Elle figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903[178].
Il existe également la réduction pour piano solo d'Émile Naoumoff (1962-) éditée en 1999.
Arr. Cornelis Liégeois
Les berceaux – Op.23, No.1, pour violoncelle (ou violon) avec accompagnement de piano
[Andante?]
Transcription de la mélodie pour violon ou violoncelle et piano par Cornelis Liégeois (1860-1921)[179].
Ton.
do min / si♭ min
Dédicace & annotations
« à Mlle Alice Boissonnet » (De La Touche, cantatrice)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Jane Huré (s), Gabriel Fauré (p), 9 décembre 1882
Les berceaux – Op.23, No.1, mélodie orchestrée avec mezzo
[Andante?]
Orchestration de la partie pour piano par Raoul Brunel (1864-1944) pour accompagnement du chant pour mezzo-soprano[180].
Arr. Aimé Steck
Les berceaux – Op.23, No.1, harmonisation pour quatre voix mixtes, a cappella ou avec piano
[Andante?]
Transcription par Aimé Steck (1892-1966) pour chœur mixte SATB de la partie chantée seule. À jouer avec la partie pour piano ou sans, a cappella[181].
Éditions
Manuscrit, 1942, en location chez J.Hamelle
Paris : J.Hamelle, 1955
065 Op.23 /2 (33)
Date
1879?
Décembre (1923)
(1928?)
Catégorie
pour voix et piano
pour voix et orchestre
pour piano et orchestre
Œuvre détaillée
Notre amour – Op.23, No.2
Allegretto. (1:35 à 2:10) « Notre amour est chose légère, Comme les parfums que le vent »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème de Armand Silvestre (1837-1901). (Les ailes d'or: Poésies nouvelles, 5.Vers pour être chantés, No.14, publié en 1880).
Composée en mi majeur pour soprano ou ténor, puis transcrite en ré majeur pour mezzo-soprano ou baryton[182].
→ No.2 du recueil « Trois mélodies, Op.23 ». → No.8 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. Henri Büsser
Notre amour – Op.23, No.2, partition d'orchestre pour soprano en mi majeur
[Allegretto?]
Orchestration de la partie piano en accompagnement d'un soprano par Henri Büsser (1872-1973)[183],[184].
Arr. Francis Salabert
Notre amour – Op.23, No.2, pour orchestre avec piano conducteur
[Allegretto?]
Arrangement pour orchestre (de brasserie?) et piano, par Francis Salabert (1884-1946)[185].
Première version manuscrite pour violoncelle et orgue de la « Romance, Op.69 » de 1894 arrangée pour violoncelle et piano. Selon d'autres sources, la composition daterait plutôt de 1880 à 1890[186],[187].
Duo en ut mineur, pour violoncelle et piano, transcrit par la suite pour violon et piano puis pour violoncelle et orchestre[188].
Il existe de nombreux arrangements récents dont ceux pour cor et piano[189], pour trombone et piano[190], pour trompette et piano[191], pour saxophone alto et piano[192], pour violoncelle solo et septuor de violoncelles[193], pour contrebasse et piano[194].
→ No.8 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Gabriel Fauré
Élégie – Op.24, transcription pour violon et piano
Molto adagio.
Duo en ut mineur, transcrit pour violon et piano par l'auteur.
Arr. Arturo Luzzatti
Élégie pour violoncelle – Op.24, transcription pour piano
[Molto adagio?]
Réduction pour piano d'Arturo Luzzatti(es) (1875-1959), qui figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903[195].
Ton.
do min
do min
Dédicace & annotations
« à M. Jules Loëb »
« à M. Jules Loëb »
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Jules Loëb (vlc), Gabriel Fauré (p), 15 décembre 1883
Élégie – Op.24, pour violoncelle (ou violon) avec accompagnement d'orchestre
Molto adagio. (5:20 à 8:10)
Concerto en ut mineur de Gabriel Fauré en 1895 pour violoncelle solo (ou violon solo) et accompagnement d'orchestre: 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors et cordes[196].
Arr. Edgard Hamelle
Élégie – Op.24, arrangée pour chant avec accompagnement de piano
[Molto adagio?]
Transformation en mélodie pour voix et piano par Edgard Hamelle (18??-1956), sur des textes anglais de Margaret E.Rands (pas de version française?)[197],[198].
Ton.
do min
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Pablo Casals (vlc), Gabriel Fauré (dir), 26 avril 1901
Adagio. (1:50 à 3:00) « Je veux que le matin l'ignore, Le nom que j'ai dit à la nuit, et qu'au vent de l'aube, sans bruit, Comme une larme il s'évapore »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème d'Armand Silvestre (1837-1901).
Composée en ré bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcrite en fa majeur (puis mi bémol majeur) pour soprano ou ténor. Transcription en ut majeur pour alto ou basse[200].
Il existe quelques arrangements récents dont pour violoncelle, piano et orgue[201], pour chœur à 4 voix mixtes et piano[202], pour flûte et piano[140].
→ No.3 du recueil « Trois mélodies, Op.23 ». → No.9 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. François Rasse
Le secret – pour soprano et orchestre
[Adagio?]
Orchestration en mi bémol majeur avec soprano de François Rasse (1873-1955), peut-être commandée par J.Hamelle vers 1924 avec l'orchestration de « Nell »[203].
Ton.
fa maj mi♭ maj / ré♭ maj / do maj
mi♭ maj
Dédicace & annotations
« à Mlle Alice Boissonnet » (De La Touche, cantatrice)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, André Quirot (b), Gabriel Fauré (p), 6 janvier 1883
Première version d'une messe pour « l'Association des Pêcheurs de Villerville », pour chœur de femmes SSA, solistes, harmonium et accompagnement de violon solo. Collaboration entre André Messager (1853-1929) qui a composé les mouvements 1 et 4, et Gabriel Fauré, qui a composé les mouvements 2, 3 et 5[204].
I. Kyrie. (Messager) Moderato.
II. Gloria. (Fauré) Allegro moderato.
III. Sanctus. (Fauré) Andante.
IV. O salutaris. (Messager) Andante.
V. Agnus Dei. (Fauré) Andante.
Ton.
mi♭ maj
Première
Calvados : Église de Villerville, 4 septembre 1881
Éditions
Œuvre inédite
070A sans Op.
Date
(1882)
(av.2001?)
Catégorie
pour voix et orchestre de chambre
pour voix et piano
Œuvre détaillée
Arr. André Messager et Gabriel Fauré
Messe des pêcheurs de Villerville – pour petit orchestre
Seconde version de la messe, toujours pour chœur de femmes et solistes, orchestrée par André Messager (1853-1929), sauf pour le 5e mouvement, orchestré par Gabriel Fauré.
Pour chœur de femmes SSA, flûte, hautbois, clarinette, harmonium et cordes (violons I. & II, altos, violoncelles et contrebasses)[204].
I. Kyrie. (Arr. Messager) Moderato. (4:00 à 4:50)
II. Gloria [Benedictus]. (Arr. Messager) Allegro moderato. (4:30)
III. Sanctus. (Arr. Messager) Andante. (1:50)
IV. O salutaris. (Arr. Messager) Andante. (2:30 à 2:55)
V. Agnus Dei. (Arr. Fauré) Andante. (2:40)
→ Voir en 1906, une troisième et dernière version pour orgue : la « Messe basse », composée de 4 mouvements, tous écrits par Fauré.
Arr. Odette Gartenlaub
Messe des pêcheurs de Villerville – pour chant et piano
Réduction pour chœur de femmes SA et piano de la messe par Odette Gartenlaub (1922-2014). Pas de date précise de composition mais publiée avec l'édition de la seconde version de la messe, en 2001, par Heugel[205],[206].
Ton.
mi♭ maj
mi♭ maj
Première
Calvados: Église de Villerville, 10 septembre 1882
Andante moderato. (3:30 à 4:05) « Au bord du clair ruisseau Croît la fleur solitaire Dont la corolle brille au milieu des roseaux »
Mélodie en mi bémol majeur pour chœur SA et mezzo-soprano solo et piano[211] (ou duo avec soprano et alto accompagnées d'un piano) sur le poème d'un auteur anonyme[212].
Il existe un arrangement pour chœur et harpe.
Arr. Gabriel Fauré?
Le ruisseau – Op.22, chœur à deux voix avec accompagnement de deux flûtes et quintette à cordes
[Andante moderato?]
Arrangement pour chœur de femme accompagné de deux flûtes et quintette à cordes, probablement de Gabriel Fauré. Œuvre perdue.
Ton.
mi♭ maj
« à Madame Pauline Roger » (professeur de chant et mère de Thérèse Roger, une amie et élève de Fauré)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Pauline Roger (dir chœur), Gabriel Fauré? (p), 14 janvier 1882
Paris : Société Nationale de Musique, 2 avril 1887
Allegro moderato / Andantino. (1:40 à 2:35) « J'aime tes yeux, j'aime ton front, Ô ma rebelle, ô ma farouche J'aime tex yeux, j'aime ta bouche, Où mes baisers s'épuiseront »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème d'Armand Silvestre (1837-1901). (Le pays de roses : Poésies nouvelles 1880-1882, 1.Vers pour être chantés).
Composée en fa majeur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcrite en sol majeur (Andantino) pour soprano ou ténor[213].
Il existe des arrangements récents pour chœur de femmes et piano[214] ou chœur mixte et piano[215] et pour flûte et piano[124].
→ No.1 du recueil « Deux mélodies, Op.27 ». → No.10 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. Francis Salabert
Chanson d'amour – pour orchestre avec piano conducteur
Allegretto vivo. (1:35 à 2:30) « Il était une Fée, D'herbe folle coiffée, Qui courait les buissons, Sans s'y laisser surprendre »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème d'Armand Silvestre (1837-1901). (Les ailes d’or : Poésies nouvelles 1878-1880, 5.Vers pour être chantés, No.31, publié en 1880).
Composition en ré majeur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcription en fa majeur pour ténor ou soprano[218].
→ No.2 du recueil « Deux mélodies, Op.27 ». → No.11 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Ton.
fa maj / ré maj
Dédicace & annotations
« à Madame Edmond Fuchs » (cantatrice et professeur de chant)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Maurice Bagès de Trigny (t), Gabriel Fauré (p), 12 mai 1888
Paris : chœur de la Société Chorale d'Amateurs, André Quirot (b), Gabriel Fauré (p), César Franck (p), M. Maton (p), Antonin Guillot de Sainbris (dir), 8 mars 1883
Paris : Société Nationale de Musique, Chœur Guillot de Sainbris, Mme Castillon, Mme Storm, Numa Auguez (bar), M Dupas (t), les mêmes aux pianos?, 3 avril 1886
Andante quasi allegretto. (3:20 à 4:10) « Inhumaines qui, sans merci, Vous raillez de notre souci, Aimez ! Aimez quand on vous aime ! »
Mélodie en ré mineur pour quatuor de solistes (soprano, alto, ténor et basse) ou chœur SATB et piano, d'après un poème d'Armand Silvestre (1837-1901)[226].
Il existe des arrangements dont celui pour clarinette et piano[31].
Arr. Gabriel Fauré
Madrigal – Op.35, chant et orchestre
[Andante quasi allegretto?]. (3:35 à 4:20)
Orchestration avec solistes et/ou chœur. Cette version sera reprise pour le Madrigal de la comédie musicale « Masques et bergamasques » de 1919[227].
→ No.3 de « Masques et bergamasques, Op.112 » de 1919.
Allegro / Allegro energico. (1:20 à 2:10) « Emporte ma folie, Au gré du vent, Fleur en chantant cueillie Et jetée en rêvant »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème d'Armand Silvestre (1837-1901).
Composée en fa mineur puis en la bémol majeur pour soprano ou ténor et transcrite en ré dièse mineur pour baryton ou mezzo-soprano[232].
→ No.2 du recueil « Quatre mélodies, Op.39 ». → No.13 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. Francis Salabert
Fleur jetée – Op.39, No.2, pour orchestre avec piano conducteur
[Allegro?]
Arrangement pour orchestre (de brasserie?) et piano, par Francis Salabert (1884-1946)[233].
Arr. Henri Büsser
Fleur jetée – arrangement pour orchestre
[Allegro?]. (0)
Orchestration en la bémol majeur de Henri Büsser (1872-1973). Le manuscrit de la partie pour orchestre était en location chez J.Hamelle pour être jouée avec la partition d'origine pour ténor ou soprano[234].
Petite pièce en la majeur pour violoncelle avec accompagnement de piano. Il existe également une transposition pour violon et piano, probablement réalisée par Gabriel Fauré[243],[244].
→ No.9 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Gabriel Fauré?
Papillon – Op.77, pour violoncelle et orchestre à cordes
[Allegro vivo?]
Version avec accompagnement d'un orchestre à cordes[245],[244].
Arr. Georges Boskoff
Papillon – Op.77, transcription pour le piano
[Allegro vivo?]
Réduction pour piano par Georges Boskoff (1882-1960). Elle figure dans les catalogues de l'éditeur dès 1903[246],[247].
Œuvre en ré mineur pour orchestre, inédite et détruite. On retrouve les thèmes des deux premiers mouvements dans la « Sonate pour violoncelle No.1, Op.109 » et dans la « Sonate pour violon No.2, Op.108 ».
I. – Allegro deciso.
II. – Andante.
III. – Finale.
Ton.
ré min
Première
Paris : Société nationale de musique, Orchestre des Concerts Colonne, Édouard Colonne (dir), 15 mars 1885
Andante. (2:10 à 2:55) « La nuit, sur le grand mystère, Entr'ouvre ses écrins bleus, Autant de fleurs sur la terre, Que d'étoiles dans les cieux ! »
Mélodie pour voix basse et piano, d'après un poème d'Auguste Villiers de l'Isle-Adam (1838-1889). (Contes cruels: Conte d'Amour, No.1: Éblouissement).
Composition en mi bémol majeur puis fa dièse majeur pour contralto ou basse, puis transcription en sol majeur et la bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton, et enfin, transcription en si bémol majeur et ut majeur pour soprano ou ténor[252],[253].
Il existe des arrangements récents dont ceux pour clarinette et piano[55], pour flûte et piano[124] et pour 4 voix mixtes et piano[99].
→ No.2 du recueil « Deux mélodies, Op.43 ». → No.17 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. Gustave Samazeuilh
Nocturne, version pour chant et cordes
[Andante?]
Orchestration pour cordes de Gustave Samazeuilh (1877-1967) réalisée au début du siècle. Le manuscrit était en location chez l'éditeur[254].
Ton.
do maj si♭ maj / la♭ maj sol maj / fa♯ maj mi♭ maj
Andantino quasi allegretto. (2:30 à 3:25) « Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et bergamasques »
Menuet pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Paul Verlaine (1844-1896). (Fêtes galantes: No.1, publié en 1869).
Composition en si bémol mineur pour baryton ou mezzo-soprano. Transcription en ut mineur pour soprano ou ténor[258].
Il existe des arrangements récents dont ceux pour trompette et piano[36], pour chœur à 4 voix mixtes et piano[259], pour saxophone alto et piano[260], pour flûte et piano[124].
→ No.2 du recueil « Deux mélodies, Op.46 ». → No.19 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897 et 1908.
Arr. Gabriel Fauré
Clair de lune – version orchestrée
[Andantino quasi allegretto?]. (3:10)
Orchestration en ut mineur avec voix élevée, qui sera reprise (avec ténor) pour « Masques et bergamasques »[261],[262].
→ No.6 de « Masques et bergamasques, Op.112 » de 1919.
Arr. Mel Bonis
Clair de lune – mélodie transcrite pour piano
Andantino quasi allegretto.
Réduction pour piano en si bémol mineur par la compositrice Mel Bonis (1858-1937). L’œuvre apparait dans les catalogues de l'éditeur dès 1905[263].
Voir également la réduction récente éditée en 1999 pour piano solo d'Émile Naoumoff (1962-).
Clair de lune – mélodie transcrite pour violon ou violoncelle avec piano
Andantino quasi allegretto.
Arrangement en si mineur pour violon (ou violoncelle) avec accompagnement de piano par Albert Périlhou (1846-1936)[264].
Arr. Joseph Noyon
Clair de lune – mélodie transcrite pour chœur à trois voix
[Andantino quasi allegretto?]
Transcription pour trois voix de femmes (soprano, mezzo-soprano et alto) par Joseph Noyon (1888-1962)[265],[266].
Arr. Renée Philippart
Clair de lune – pour chant, piano et quatuor à cordes
[Andantino quasi allegretto?]
Arrangement pour voix moyenne, piano et quatuor à cordes de Renée Philippart (1905-1993). Probablement une commande de Charles Panzéra (1896-1976), célèbre baryton suisse qui a longtemps collaboré avec Gabriel Fauré[58].
→ No.3 du recueil de 1941 « 4 mélodies orchestrées ».
Œuvre en fa dièse mineur, composée dans un premier temps pour petit orchestre seul : 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors et cordes[267],[268].
Ton.
fa♯ min
Première
Paris : Les Concerts Lamoureux, Charles Lamoureux (dir), 25 novembre 1888
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1901
100A Op.50 (tableau (1/3)
Date
été 1887
Catégorie
pour chœur et piano
ou pour chœur et orchestre ou pour chœur, orchestre (ballet)
Œuvre détaillée
Pavane – Op.50, quatuor vocal ou chœur avec piano ou orchestre
Allegretto molto moderato / Allegretto moderato. (sauf extraits: 4:25 à 8:15) « C'est Lindor ! c'est Tircis ! et c'est tous nos vainqueurs ! C'est Myrtil, c'est Lydé ! Les reines de nos cœurs ! »
Enfin, en 1891, une première version chorégraphiée sera réalisée pour la comtesse Greffulhe (1860-1952) et une seconde version suivra en 1917 sur une chorégraphie de Léonide Massine (1896-1979) pour les Ballets russes de Serge de Diaghilev (1872-1929).
En 1919, Gabriel Fauré réorchestrera l’œuvre, mais sans voix, pour le huitième mouvement de « Masques et bergamasques, Op.112 ».
Il existe de très nombreux arrangements récents dont : pour quatuor de clarinettes[271], pour 4 flûtes[272], pour harpe seule[273], pour trompette et piano (ou orgue)[274], pour orgue seule[275], pour quintette à vents (flûte, hautbois, clarinette, cor et basson)[276], pour saxophone alto et piano[277], pour une ou deux guitares[278], pour ensemble de cuivres (4 trompettes, 2 cors, 3 trombones et 1 tuba)[279], pour quatuor de saxophones[280], pour mandoline et mandole[281], pour violoncelle et guitare[282], pour flûte et piano[283], pour orchestre d'harmonie[284], pour douze flûtes[285], pour sept saxophones[286], pour six flûtes à bec[287], etc.
→ No.8 de « Masques et bergamasques, Op.112 » de 1919.
Réduction en fa dièse mineur pour piano sur un tempo plus rapide, par Gabriel Fauré[288].
Plusieurs autres arrangeurs ont aussi réduit l’œuvre pour piano solo, parfois dans la même tonalité, parfois en si bémol majeur. Voir l'arrangement récent de Roy Howat et Wendy Hiscoks[116].
Arr. A. Benfeld (Albert Kopff)
Pavane – Op.50, pour piano à quatre mains
Allegretto molto moderato.
Arrangement pour piano à 4 mains par Albert Kopff (1846-1907) connu sous le pseudonyme d' A.Benfeld[289].
Arr. Henri Büsser
Pavane – Op.50, piano trio
[Andante molto moderato?]. (5:10)
Arrangement pour un trio avec violon, violoncelle et piano, de Henri Büsser (1872-1973)[290].
Arrangement pour un duo avec flûte et piano, de Henri Büsser (1872-1973)[291].
Il existe aussi l'arrangement récent de Roy Howat[116].
Arr. Henri Büsser
Pavane – Op.50, pour violoncelle ou alto et piano
Andante molto moderato. (5:45)
Arrangement pour un duo de violoncelle (ou alto) et piano, de Henri Büsser (1872-1973), sur une nouvelle commande de J.Hamelle pour son catalogue[292].
Arr. Adolphe Soyer
Pavane – Op.50, transcrite pour musique militaire
[Allegretto molto moderato?]
Transcription d'Adolphe Soyer (18??-1919) pour orchestre militaire en si bémol majeur[293].
Arr. ?
Pavane – Op.50, arrangée à deux voix, avec piano
Allegretto moderato.
Arrangement anonyme pour deux voix avec accompagnement de piano[294].
Il existe aussi une version récente du duo arrangée par Roy Howat (1951-) pour soprano et ténor ou alto et baryton avec flûte et piano[295].
Moderato. (3:20) « O salutaris Hostia, Quæ cæli pandis ostium 'Bella premunt hostilia, Da robur, fer auxiliu'm »
Motet pour baryton et orgue (ou piano), probablement une reprise du « O Salutaris » perdu de 1878. Composition en si majeur puis ré bémol majeur pour baryton ou mezzo-soprano, puis transcription en la majeur pour basse ou alto[296],[297].
→ No.1 du recueil « Deux chants sacrés, Op.47 ». → No.2 du recueil « Musique religieuse », de 1911.
Arr. Gabriel Fauré
O salutaris – Op.47, No.1, pour baryton, orgue et cordes
[Moderato?]
Arrangement en si majeur par Gabriel Fauré pour baryton, orgue et cordes (violons, altos, violoncelles et contrebasses). Possible transposition en si bémol majeur[298].
Arr. Gabriel Fauré
O salutaris – Op.47, No.1, pour chant accompagné de deux cors, harpe et quintette à cordes
Moderato. (3:25)
Arrangement pour baryton avec accompagnement de 2 cors, harpe et quintette à cordes en si bémol majeur par Gabriel Fauré[297].
Œuvre pour chœur et petit orchestre composée d'octobre 1887 à janvier 1888, avec cinq premiers mouvements (correspondant aux mouvements I, III, IV, V et VII de la version complète ultérieure). Pour chœur, soprano solo, harpe, timbales, orgue et cordes (violon solo, altos, violoncelles et contrebasse)[300].
I. Introït & Kyrie (I.) Largo, en ré mineur. « Requiem aeternam dona eis, Domine Et lux perpetua luceat eis »
II. Sanctus (III.) Andante moderato, en mi bémol majeur. « Sanctus, Sanctus, Sanctus, Dominus Deus Sabaoth Pleni sunt coeli et terra gloria tua »
III. Pie Jesu (IV.) Adagio, en si bémol majeur. « Pie Jesu domine, donna eis requiem donna eis requiem »
IV. Agnus Dei & Lux Aeterna (V.) Andante, en fa majeur. « Agnus dei, qui tollis peccata mundi, donna eis requiem »
V. In Paradisum (VII.) Andante moderato, en ré majeur. « In Paradisum deducant te angeli in tuo adventu suscipiant te martyres et perducant te »
→ Voir en 1893 la première version complète [v1], dite « version de 1893 » ainsi que la version définitive réorchestrée en 1900 [v2], dite « version de concert ».
Ton.
ré min
Première
Paris : Église de la Madeleine, Louis Aubert (s, enfant), 16 janvier 1888
Souvenirs de Bayreuth – Fantaisie en forme de quadrille sur les thèmes favoris de la Tétralogie de R. Wagner
Cinq pièces brèves (sans titres), pour piano à 4 mains coécrites par Gabriel Fauré et André Messager (1853-1929), après le voyage des deux musiciens en 1883 à Bayreuth, en Allemagne.
Suite pour orchestre, de la musique de scène pour chœur de femmes SA, 3 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, 3 timbales, cymbales antiques, triangle, tambour de basque, tambour militaire, 2 harpes, violon solo, violoncelle solo et cordes (violons, altos, violoncelles et contrebasses)[304].
Prologue: à Rome, une rue donnant sur le forum, une boutique, des maisons...
No.1: Fanfare, marche et chœurs Andante quasi allegretto, en si bémol majeur. (7:05) « Nous sommes les heures guerrières Nous présidons aux durs travaux Quand Bellone ouvre les barrières »
Acte V :à Rome, le triclinium de César
Scène 1 – No.2: Chœur Allegretto, en ré majeur. (2:30) « L'hyver s'enfuit, le printemps embaumé Revient suivi des amours et de flore »
No.3 : Air de danse Allegro, en sol majeur. (2:15)
Scène 3 – No.4: Mélodrame et Chœur Allegro moderato, en ré majeur. (2:30) « De roses vermeilles Nos champs sont fleuris Et le bras des treilles Tend à nos corbeilles Ses raisins mûris »
Scène 5 – No.5: Mélodrame et Chœur Andante molto moderato, en mi bémol majeur. (3:20) « César a fermé la paupière, Au jour doit succéder la nuit Que s'éteigne toute lumière, Que s'évanouisse tout bruit »
Ton.
si♭ maj
Dédicace & annotations
« à Ernest Dupuy »
puis plus tard « à Paul Porel »
Première
Pour petit orchestre : Paris : Théâtre de l'Odéon, Gabriel Fauré (dir), 8 novembre 1888
Pour grand orchestre : Paris : Société nationale de musique, Gabriel Fauré (dir), 6 avril 1889
No.1: Prologue: fanfare, marche et chœurs [Andante quasi allegretto?]
No.2: Chœur [Allegretto?]
No.3: Air de danse [Allegro molto?]
No.4: Mélodrame et Chœur [Allegro moderato?]
No.5: Mélodrame et Chœur [Andante?]
Arr. Francis Salabert
Caligula – Op.52, pour orchestre avec piano conducteur
Transcription et arrangement pour orchestre et piano, par Francis Salabert (1884-1946). Réalisé en 4 éditions : pour grand orchestre, orchestre moyen, second orchestre et quatuor[309].
Molto moderato. (2:10 à 2:35) « Pleurons nos chagrins, chacun le nôtre, Une larme tombe, puis une autre »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème de Jean Richepin (1849-1926). (La Mer: 4.Étant de quart, No.17, publié en 1886).
Composée en ut mineur pour soprano ou ténor et transcrite en si bémol mineur pour mezzo-soprano ou baryton[310].
→ No.1 du recueil « Quatre mélodies, Op.51 ». → No.20 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897. → No.1 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Au cimetière – Op.51, No.2 Son corps, près des amis, Est mis dans l'herbe et dans les chants »
Mélodie pour voix élevée et piano, d'après un poème de Jean Richepin (1849-1926). (La Mer: 5.Les gas, No.3, publié en 1886).
Composée en mi mineur pour soprano ou ténor puis en ut mineur pour baryton ou mezzo-soprano[311].
Il existe des arrangements récents dont our trompette et piano[4] et pour flûte et piano[32].
→ No.2 du recueil « Quatre mélodies, Op.51 ». → No.21 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897. → No.2 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Arr. Henri Büsser
Au cimetière – Op.51, No.2, pour mezzo-soprano ou baryton et orchestre
[Andante?]
Orchestration de Henri Büsser (1872-1973) réalisée entre 1900 et 1930, probablement vers 1918. Le manuscrit de la partie pour orchestre était en location chez J.Hamelle pour être jouée avec la partition pour voix moyenne de Gabriel Fauré[312].
Arr. Ferdinando Ronchini
Au cimetière – Op.51, No.2, transcription pour piano, violon ou violoncelle
[Andante?]. (3:55)
Transcription de la mélodie pour violon (ou violoncelle) et piano par Ferdinando Ronchini (1865-1938)[313].
Arr. Francis Salabert
Au cimetière – Op.51, No.2, transcription pour orchestre avec piano conducteur
[Andante?]
Arrangement pour orchestre et piano, par Francis Salabert (1884-1946). Réalisé en 4 éditions : pour grand orchestre, orchestre moyen, second orchestre et quatuor[314].
Ton.
mi min / do min
Dédicace & annotations
« à Madame Maurice Sulzbach » (Marguerite Ida Premsel)
Première
Paris : Société nationale de musique, Maurice Bagès (t), Gabriel Fauré (p), 2 février 1889
Andante quasi allegretto. (1:50 à 2:55) « Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Paul Verlaine (1844-1896). (Romances sans paroles: Ariettes oubliées, No.3, publié en 1874).
Composée en ré mineur pour mezzo-soprano ou baryton et transcrite en mi mineur pour soprano ou ténor[315].
Il existe des arrangements récents dont pour trompette et piano[36], pour clarinette et piano[55] et pour chœur à 4 voix mixtes et piano[316].
→ No.3 du recueil « Quatre mélodies, Op.51 ». → No.22 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897. → No.3 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
pour chœur, orgue et petit ensemble ou pour chœur et orgue
pour chant et orgue ou pour chant et piano
pour chœur et orchestre
Œuvre détaillée
Il est né le divin enfant, (Noël populaire)
[sans indication]. (1:35 à 2:55) « Il est né le divin enfant, Jouez hautbois, Résonnez musette, Il est né le divin enfant, Chantons tous son avènement »
Cantate en si bémol majeur pour chœur d'enfants à l'unisson (à une voix), avec accompagnement d'orgue, harpe, hautbois, 2 violoncelles et contrebasse. Variation et harmonisation sur le thème populaire[317],[318].
Arr. Gabriel Fauré
Il est né le divin enfant – pour chant et orgue
[sans indication?]. (1:40)
Réduction pour chant (soliste ou chœur à une voix) avec accompagnement d'orgue (ou de piano).
Arr. Joseph Noyon
Il est né le divin enfant – pour chœur à quatre voix mixtes et orchestre
[sans indication?]. (3:25)
Arrangement pour chœur mixte et orchestre, par Joseph Noyon (1888-1962), d'après la première version avec petit ensemble[319].
Andante. (1:55 à 2:35) « Ecce fidelis servus et prudens, Quem constituit Dominus super familiam suam »
Trio de solistes (soprano, ténor et baryton) ou chœur à trois voix STB avec accompagnement d'orgue (avec contrebasse jouée en pédale d'orgue) en si bémol majeur. Motet composé pour la fête de Saint Joseph du 19 mars[320],
[321].
→ No.4 du recueil « Musique religieuse », de 1911.
Pour ténor solo (mélodies Nos.1 & 3) et petit orchestre : 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 2 harpes, timbales, triangle, violon solo et cordes (violons I. et II. altos, violoncelles et contrebasses)[322],[323].
Il existe une partie additionnelle pour harmonium (manuscrit de 1889), destinée aux troisième et cinquième tableaux, afin de renforcer l'orchestre lors de la première au Théâtre de l'Odéon[324]. Version pour grand orchestre (suite) composée en 1890.
Acte I. Premier tableau : Place à Venise, la maison de Shylock. Deuxième tableau : Venise, la nuit sur le canal, des gondoles.
Scène 1 – No.1: Prélude et Chanson – (Lancelot) Allegro moderato, en si bémol majeur. (2:35 à 3:20) « Oh ! les filles ! Venez, les filles aux voix douces ! C'est l'heure d'oublier l'orgueil et les vertus »
Scènes 1 & 2 – No.2: Fanfares et Entr'acte Andante moderato, en la majeur. (3:10 à 3:55)
Acte II. Troisième tableau : Belmont, chez Portia, sa chambre.
Scène 1 – No.3: Madrigal – (Aragon) Allegretto, en fa majeur. (1:15 à 1:50) « Celle que j'aime a de beauté Plus que Flore et plus que Pomone, Et je sais pour l'avoir chanté, Que sa bouche est le soir d'automne »
Quatrième tableau : Une rue à Venise, la maison d'Antonio. Cinquième tableau : Belmont, chez Portia, la salle d'honneur.
Scène 3 – No.4: Épithalame Adagio, en ut majeur. (3:00 à 4:20)
Acte III. Sixième tableau : La salle du Grand Conseil. Septième tableau : La nuit, clair de lune, le jardin de Portia
Scène 2 – No.5: Nocturne Andante molto moderato, en ré majeur. (2:20 à 3:10)
No.6: Final Allegretto vivo, en fa majeur. (3:30 à 3:55)
Première : Paris : Théâtre de l'Odéon, Albert Lambert (act, Shylock), Réjane (act, Portia), Adolphe Candé (act, Antonio), Gabriel Fauré (dir), 17 décembre 1889
Création de la suite pour grand orchestre par Gabriel Fauré en 1890[325].
Des extraits seront utilisés pour « Émeraudes » la première partie du spectacle « Joyaux » de George Balanchine (1904-1983). Ballet en 3 parties sur des musiques de Fauré, Tchaïkovsky et Stravinsky, créé à New York le 13 avril 1967[326].
I. Prélude et Chanson Allegro moderato, en si bémol majeur. (2:00 à 3:55) « Oh ! les filles ! Venez, les filles aux voix douces ! C'est l'heure d'oublier l'orgueil et les vertus »
II. Entr'acte Andante moderato, en la majeur. (3:35 à 3:55)
III. Madrigal Allegretto, en fa majeur. (1:10 à 3:40) « Celle que j'aime a de beauté Plus que Flore et plus que Pomone, Et je sais pour l'avoir chanté, Que sa bouche est le soir d'automne »
IV. Épithalame Adagio, en ut majeur. (3:30)
V. Nocturne Andante molto moderato, en ré majeur. (2:35 à 3:15)
VI. Final Allegretto vivo, en fa majeur. (3:25 à 4:00)
Ballet : New York: State Theater, New York city ballet, George Balanchine (arg), 13 avril 1967
Éditions
Paris : J.Hamelle
113B Op.57 /1 (48)
Date
(1891)
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
Arr. Gabriel Fauré?
Chanson (de Shylock) – Op.57, No.1
Allegro moderato / Allegretto. (1:30 à 2:20) « Oh ! les filles ! Venez, les filles aux voix douces ! C'est l'heure d'oublier l'orgueil et les vertus »
Réduction de la première mélodie, sur un texte d'Edmond Haraucourt (1856-1941), pour ténor et piano pour l'édition Allegro moderato de 1891. Puis en deux tons, pour l'édition Allegretto de 1897 et 1908 (recueil No.3).
Il s'agit probablement d'une réduction pour chant et piano de Gabriel Fauré.
Composée en si bémol majeur pour ténor ou soprano puis transcrite en la bémol majeur pour baryton ou mezzo-soprano et en sol majeur pour basse[327] ou alto.
Il existe un arrangement récent, pour clarinette et piano[76].
→ No.5 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Allegretto. (1:10 à 1:40) « Celle que j'aime a de beauté Plus que Flore et plus que Pomone, Et je sais pour l'avoir chanté, Que sa bouche est le soir d'automne »
Réduction de la première mélodie pour voix et piano. Sur un poème d'Edmond Haraucourt (1856-1941). (Rondeau galant: Seul, 3.La Possession, publié en 1891).
Il s'agit probablement d'une réduction pour chant et piano de Gabriel Fauré.
Composition en fa majeur pour ténor ou soprano. Transcription en mi bémol majeur pour baryton ou mezzo-soprano[328].
→ No.6 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Arr. Léon Boëllmann
Shylock – Op.57, transcription pour piano à quatre mains
Transcription de la partition d'orchestre (mouvements II. IV. V. et VI.), pour piano à 4 mains par Léon Boëllmann (1862-1897). Les 2 autres mouvements sont les réductions de 1891 pour ténor et piano solo[329],[330].
I. Prélude et Chanson – (1891) Allegro moderato, en si bémol majeur. (2:15)
II. Entr'acte Andante, en la majeur. (3:25)
III. Madrigal – (1891) Allegretto, en fa majeur. (1:40)
IV. Épithalame Adagio non troppo, en ut majeur. (3:05)
V. Nocturne Andante molto moderato, en ré majeur. (2:15)
VI. Final Allegro vivo, en fa majeur. (3:20)
Arr. Gabriel Fauré
Nocturne de Shylock – Op.57, No.5, pour violon (ou flûte) avec accompagnement de piano
Andante molto moderato.
Arrangement en ré majeur pour violon (ou flûte) et piano, de Gabriel Fauré du mouvement No.5[331].
Arr. Gustave Samazeuilh
Shylock – Op.57, réduction pour chant et piano
Réduction de la suite d'orchestre pour piano à 2 mains de Gustave Samazeuilh (1877-1967), pour accompagner les parties originales de chant et piano de 1891[332],[333].
I. Prélude et Chanson (1891, Gabriel Fauré?) Allegro moderato, en si bémol majeur. (2:20)
II. Entr'acte [Andante moderato?]
III. Madrigal (1891, Gabriel Fauré?) Allegretto, en fa majeur. (1:40)
Moderato. (1:35 à 3:50) « Si la voix d'un enfant peut monter jusqu'à Vous, Ô mon Père, Écoutez de Jésus, devant Vous à genoux, La prière ! »
Cantique pour voix moyenne et orgue (ou piano), d'après un poème de Stéphan Bordèse (1847-1919).
Composée en mi bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton, puis transcrite en fa majeur pour ténor ou soprano et en ré bémol majeur pour alto ou basse[338].
Il existe des arrangements récents dont : pour trompette et piano[36], pour clarinette et piano[55] et pour chœur à 4 voix mixtes et piano[339].
→ No.1 du recueil Op.2 de 1887 : « Deux mélodies ». → No.16 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897.
Arr. Gabriel Fauré
En prière – pour chant et orchestre
[Moderato?]
Version orchestrée avec chant par Gabriel Fauré, pour 2 flûtes, hautbois, 2 clarinettes, basson, 4 cors, harpe et cordes[340].
Il existe des arrangements récents dont pour flûte et orchestre, et pour hautbois (ou trombone) et ensemble à cordes[341].
Arr. ?
En prière – mélodie transcrite pour piano
[Moderato?]
Réduction pour piano.
Ton.
fa maj / mi♭ maj / ré♭ maj
Dédicace & annotations
« à Madame Leroux-Ribeyre » (Rachel, pianiste)
Première
Paris : Concerts Colonne, Blanche de Montalant (ms), Édouard Colonne (dir), 28 décembre 1890
pour piano et violon (ou violoncelle) ou pour harpe et violon (ou violoncelle)
pour voix, piano et cordes
pour voix, piano et cordes ou pour voix, harpe et cordes
Œuvre détaillée
Arr. Henri Büsser
En prière – transcription pour piano (ou harpe) et violon (ou violoncelle)
[Moderato?]
Arrangement pour piano (ou harpe) accompagné d'un violon (ou violoncelle), de Henri Büsser (1872-1973)[342].
Arr. Gabriel Fauré
En prière – arrangement pour trio à cordes, piano et voix
[Moderato?]
Transcription pour 2 violons et alto avec piano et chant. Partition manuscrite écrite vers 1900 par Gabreil Fauré pour cordes, sans les parties pour piano et voix[343].
Arr. Renée Philippart
En prière – pour chant, piano (ou harpe) et quatuor à cordes
[Moderato?]
Arrangement pour voix moyenne, piano (ou harpe) et quatuor à cordes de Renée Philippart (1905-1993). Probablement une commande de Charles Panzéra (1896-1976), célèbre baryton suisse qui a longtemps collaboré avec Gabriel Fauré[58].
→ No.4 du recueil de 1941 « 4 mélodies orchestrées ».
Andante. (1:55 à 3:50) « Tantum ergo, Sacramentum, Veneremur cernui Et antiquum documentum Novo cedat ritui »
Cantate en la majeur, sur une hymne de Thomas d'Aquin (1225-1274), pour ténor ou soprano solo et chœur mixte SATBB avec accompagnement d'orgue, de harpe (ou piano) et contrebasses (ou pédale d'orgue)[344].
→ No.5 du recueil « Musique religieuse », de 1911.
Arr. Gabriel Fauré
Tantum ergo – Op.55, pour solo, chœur mixte, avec accompagnement de harpe, orgue et quintette à cordes
[Andante?]. (4:25)
Version (première?) avec accompagnement de quintette à cordes réalisée par Gabriel Fauré (Partition manuscrite)[345].
Ton.
la maj
la maj
Dédicace & annotations
« à l'abbé J. Panis »
Première
St-Gervais : Société nationale de musique, Fritz Warmbrodt (t), M. Frank (harp), 22 janvier 1891
Andante moderato. « La terre nue et sans chemin, Où se traîne le peuple humain Va s'épanouir sous ta main Comme un lis altéré d'aurore »
Prologue en sol mineur, pour la pièce d'Edmond Haraucourt (1856-1941), pour chœur mixte SATTB et orchestre. À l'origine, il devait servir à un concert spirituel sur les textes de l'auteur, lus par Sarah Bernhardt et Albert Lambert, au « Cirque d'hiver » le 4 avril 1890, mais le projet d'orchestration fut abandonné. Le manuscrit a permis à Sylvia Kahan[346] de reconstituer le prélude et de le publier en 1999[347],[348],[349].
Pour chœur SATB, 2 flûtes, 2 hautbois, cor anglais, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, trompette, 3 trombones, timbales et cordes (violons I & II, altos, violoncelles et contrebasses).
Arr. Sylvia Kahan
La Passion – réduction pour piano
Andante moderato.
Réduction pour piano par Sylvia Kahan (1952-) réalisée en parallèle à la restitution de l’œuvre originale.
Ton.
sol min
sol min
Dédicace & annotations
Paris : Société nationale de musique, Salle Érard, Vincent d'Indy (dir), 21 avril 1890
Éditions
Manuscrit, 1890
Œuvre inédite
Ed. Sylvia Kahan
Amsterdam: Gordon & Breach, 1999
Ed. Sylvia Kahan
Amsterdam: Gordon & Breach, 1999
118 Op.51 /4 (50)
Date
août 1890
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
La rose (Ode anacréontique) – Op.51, No.4
Andante. (2:05 à 3:00) « Je dirai la rose aux plis gracieux, La rose est le souffle embaumé des Dieux »
Composition en fa majeur pour soprano ou ténor puis transcription en mi bémol majeur pour baryton ou mezzo-soprano[350].
Il existe des arrangements récents dont our clarinette et piano[76].
→ No.4 du recueil « Quatre mélodies, Op.51 ». → No.23 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897. → No.4 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
No.1 : 7 juin 1891 No.2 : 20 juin 1891 No.3 : 23 juillet 1891 No.4 : août 1891 No.5 : septembre 1891
Catégorie
bgcolor="#C5DAEB" |pour voix et piano
Œuvre détaillée
Cinq mélodies, dites « de Venise » – Op.58
Cycle de cinq mélodies pour voix et piano, composées à Venise (Nos.1 & 2) puis à Paris, sur des poèmes de Paul Verlaine (1844-1896)[351].
Mandoline – Op.58, No.1
Allegretto moderato. (1:35 à 2:40) « Les donneurs de sérénades Et les belles écouteuses Échangent des propos fades Sous les ramures chanteuses »
Première mélodie (No.54). (Fêtes galantes: No.15, publié en 1869).
Composition en sol majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Puis transcription en si bémol majeur puis en la bémol majeur, pour soprano ou ténor et enfin en fa majeur pour basse ou alto[352].
→ No.7 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
En sourdine – Op.58, No.2
Andante moderato. (2:15 à 4:05) « Calmes dans le demi-jour, Que les branches hautes font, Pénétrons bien notre amour, De ce silence profond »
Deuxième mélodie (No.55). (Fêtes galantes: No.21, Calmes dans le demi‑jour, publié en 1869).
Composition en mi bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Puis transcription en la bémol majeur puis en fa dièse mineur pour soprano ou ténor[353].
→ No.8 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
No.1 : 7 juin 1891 No.2 : 20 juin 1891 No.3 : 23 juillet 1891 No.4 : août 1891 No.5 : septembre 1891
Catégorie
bgcolor="#C5DAEB" |pour voix et piano
Œuvre détaillée
Green – Op.58, No.3
Andante con moto. (1:40 à 2:05) « Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous »
Troisième mélodie (No.56). (Romances sans paroles: Aquarelles, No.1, publié en 1872).
Composition en sol bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Puis transcription en la bémol majeur pour soprano ou ténor[354].
Il existe des arrangements récents dont, pour flûte et piano[32].
→ No.9 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
A Clymène – Op.58, No.4
Andantino. (2:25 à 3:30) « Mystiques barcarolles, Romances sans paroles, Chère, puisque tes yeux, Couleur des cieux »
Quatrième mélodie (No.57). (Fêtes galantes: No.16, publié en 1869).
Composition en mi mineur puis en mi bémol majeur, pour soprano ou ténor. Puis transcription en ré mineur pour mezzo-soprano ou baryton[355].
→ No.10 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
C'est l'extase – Op.58, No.5
Adagio non troppo. (2:15 à 4:05) « C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois, Parmi l'étreinte des brises »
Dernière mélodie (No.58). (Romances sans paroles: Ariettes oubliées, No.1, C'est l'extase langoureuse, publié en 1872).
Composition en ré bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Puis transcription en mi bémol majeur pour soprano ou ténor[356].
→ No.11 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
janvier 1877-1893 V. originale : d'octobre 1887 à janvier 1888 Version 1 :
No.6 : 1877 et 1893 No.2 : printemps 1889 à 1891
Catégorie
pour soprano, baryton, chœur, orgue et orchestre
Œuvre détaillée
Requiem, en ré mineur – Op.48 [v1], messe des morts
Première version (de 1893) :
Les mouvements II. et VI. sont ajoutés à la version originale [vo] de 1888, du printemps 1889 à janvier 1893, pour former la première version achevée de la messe, dite « version de 1893 »[360]. Par ailleurs, le mouvement VI est un recyclage du « Libera me » de 1877.
Pour chœur, soprano solo, baryton solo, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, harpe, timbales, orgue et cordes (violon solo, altos, violoncelles et contrebasse)[300].
I. Introït & Kyrie – (1887) Largo, en ré mineur. (6:00 à 7:20) « Requiem aeternam dona eis, Domine Et lux perpetua luceat eis »
II. Offertoire – (1889) Adagio molto, en si mineur. (8:00 à 8:55) « O Domine, Jesu Christe, Rex gloriae, libera animas defunctorum de ore leonis »
III. Sanctus – (1888) Andante moderato, en mi bémol majeur. (2:05 à 4:35) « Sanctus, Sanctus, Sanctus, Dominus Deus Sabaoth Pleni sunt coeli et terra gloria tua »
IV. Pie Jesu – (1888) Adagio, en si bémol majeur. (3:25 à 4:10) « Pie Jesu domine, donna eis requiem donna eis requiem »
V. Agnus Dei & Lux Aeterna – (1888) Andante, en fa majeur. (3:15 à 6:05) « Agnus dei, qui tollis peccata mundi, donna eis requiem »
VI. Libera me – (1877-1893) Moderato, en ré mineur. (4:25 à 4:35) « Libera me, Domine, de morte aeterna in die illa tremenda »
VII. In Paradisum – (1887) Andante moderato, en ré majeur. (3:25 à 6:30) « In Paradisum deducant te angeli in tuo adventu suscipiant te martyres et perducant te »
Seconde version :
Voir ci-dessous la « version pour concert » réorchestrée par Jean Roger-Ducasse en 1900.
→ Voir en 1888 la version originale comportant 5 mouvements.
Ton.
ré min
Dédicace & annotations
Paris : Église de la Madeleine, Gabriel Fauré (dir), 21 janvier 1893
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1893
120A Op.48 [v2]
Date
Version 2 : (1899-1900)
(1900?)
(1931?)
(1999)
Catégorie
pour soprano, baryton, chœur, orgue et grand orchestre
pour chœur, voix et piano
pour voix et orgue
pour piano
Œuvre détaillée
Arr. Jean Roger-Ducasse
Requiem, en ré mineur – Op.48 [v2], pour grand orchestre
Seconde version :
Adaptation de la messe pour grand orchestre, dite « version de 1900 », ou « version de concert »[361]. Réorchestrée par Gabriel Fauré et/ou par son élève préféré, Jean Roger-Ducasse (1873-1954). Il semble en effet, que ce dernier, à la suite de la demande de l'éditeur J.Hamelle d'une version pour grand orchestre, ait été chargé de l'adaptation et de l'édition. C'est la version la plus connue et la plus jouée.
Il existe quelques arrangements récents, dont une réduction pour chœur et orgue ou piano[362], à cappella ou avec piano ou orgue[363], pour orgue seule[364],[365].
I. Introït & Kyrie Largo, en ré mineur. (4:20 à 8:10) « Requiem aeternam dona eis, Domine Et lux perpetua luceat eis »
II. Offertoire Adagio molto, en si mineur. (5:55 à 10:40) « O Domine, Jesu Christe, Rex gloriae, libera animas defunctorum de ore leonis »
III. Sanctus Andante moderato, en mi bémol majeur. (1:40 à 4:00) « Sanctus, Sanctus, Sanctus, Dominus Deus Sabaoth Pleni sunt coeli et terra gloria tua »
IV. Pie Jesu Adagio, en si bémol majeur. (2:25 à 4:45) « Pie Jesu domine, donna eis requiem donna eis requiem »
V. Agnus Dei & Lux Aeterna Andante, en fa majeur. (3:05 à 7:05) « Agnus dei, qui tollis peccata mundi, donna eis requiem »
VI. Libera me Moderato, en ré mineur. (3:40 à 6:10) « Libera me, Domine, de morte aeterna in die illa tremenda »
VII. In Paradisum Andante moderato, en ré majeur. (2:45 à 7:05) « In Paradisum deducant te angeli in tuo adventu suscipiant te martyres et perducant te »
Arr. Jean Roger-Ducasse
Requiem – Op.48, pour chant et piano (ou orgue)
Réduction de la messe par Jean Roger-Ducasse (1873-1954), pour soli soprano et baryton, chœur mixte SATB et piano ou orgue[366],[367].
Voir les extraits publiés en 1901 et 1902 des « Pie Jesu »[368] et « In Paradisium »[369].
Il existe une version du « Pie Jesu » pour chant et piano sur des textes en français d'Amédée-Louis Hettich (1856-1937), publiée en 1932.
Projet de musique de scène pour la pièce de Molière (1622-1673), sur commande de Raoul Porel (directeur de la salle). La représentation prévue pour avril 1893 au théâtre de l'Eden fut finalement annulée en raison de la faillite de la salle de spectacle. La pièce sera finalement jouée à l'Odéon la même année, mais probablement sans la musique de Gabriel Fauré.
Certains morceaux ont été recyclés par la suite dont l'interlude pour la « Sicilienne, Op.78 » pour violoncelle et piano puis pour « Pelléas et Mélisande, Op.80 » de 1909
Première annulée : Paris : Théâtre l'Eden, avril 1893
Éditions
Œuvre inachevée et inédite
121A Op. post (69)
Date
27 février 1893
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
Sérénade du Bourgeois gentilhomme
[Sans indication]. (1:15 à 1:30) « Je languis nuit et jour, et ma peine est extrême. Depuis qu'à vos rigueurs vos beaux yeux m'ont soumis »
Mélodie (Sérénade) pour voix élevée et piano, initialement composée pour une musique de scène, d'après les textes de Jean-Baptiste Pocquelin, dit Molière (1622-1673). Opus posthume. (Le Bourgeois gentilhomme: Acte I, scène 2)[373].
Composition en fa mineur pour soprano ou ténor puis transcription en mi bémol mineur et ré mineur pour baryton ou mezzo-soprano. Opus posthume.
Probable extrait du « Bourgeois gentilhomme » en fa majeur pour orchestre de chambre. Pour flûte, hautbois, clarinette et cordes (violons I & II, alto, violoncelle et contrebasse)[375].
No.7: 9 août 1892 no 1 : 17 septembre 1892 no 4 : 1892 no 6 : 1892 no 2 : 1893 no 8 : 20 mai 1893 no 3 : 20 juillet 1893 no 5 : 4 décembre 1893 no 9 : février 1894
Cycle de neuf mélodies pour voix haute (ténor) et piano, d'après le recueil de 1870 du même nom, de Paul Verlaine (1844-1896). Dédicace à Emma Bardac dont Fauré venait de tomber amoureux et qui l'assista dans la composition en chantant et travaillant les nouvelles créations[377],[378].
Une Sainte en son auréole... – Op.61, no 1 Allegretto con moto. (1:55 à 2:50) « Une Sainte en son auréole, Une Châtelaine en sa tour »
Première mélodie (No.59). (La bonne chanson: No.8, publié en 1870).
Composition en la bémol majeur pour soprano ou ténor. Puis transcription en sol mineur pour mezzo-soprano ou baryton. Un extrait sera développé à l'automne 1917 pour le morceau pour harpe seule[379].
→ Pour harpe « Une châtelaine en sa tour, Op.110 » de 1917.
Deuxième mélodie (No.60). (La bonne chanson: No.4, publié en 1870).
Composition en sol majeur pour soprano ou ténor. Puis transcription en fa dièse mineur pour mezzo-soprano ou baryton[380].
La lune blanche luit dans les bois... – Op.61, No.3 Andantino. (1:25 à 2:50) « La lune blanche Luit dans les bois, De chaque branche Part une voix Sous la ramée... »
Troisième mélodie (No.61). (La bonne chanson: No.6, publié en 1870).
Composition en fa dièse majeur pour soprano ou ténor. Puis transcription en mi majeur pour mezzo-soprano ou baryton[381].
No.7 : 9 août 1892 no 1 : 17 septembre 1892 no 4 : 1892 no 6 : 1892 no 2 : 1893 no 8 : 20 mai 1893 no 3 : 20 juillet 1893 no 5 : 4 décembre 1893 no 9 : février 1894
Catégorie
bgcolor="#C5DAEB" |pour voix et piano
Œuvre détaillée
J'allais par les chemins perfides... – Op.61, No.4 Allegretto quasi andante. (1:40 à 2:10) « J'allais par les chemins perfides, Douloureusement incertain. »
Quatrième mélodie (No.62). (La bonne chanson: No.20, publié en 1870).
Composition en fa dièse mineur pour soprano ou ténor. Transcription en mi mineur pour baryton ou mezzo-soprano[382].
J'ai presque peur, en vérité... – Op.61, No.5 Allegro molto. (2:00 à 2:30) « J'ai presque peur, en vérité Tant je sens ma vie enlacée »
Cinquième mélodie (No.63). (La bonne chanson: No.15, publié en 1870).
Composition en mi mineur pour soprano ou ténor. Puis transcription en ré bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton[383].
Avant que tu ne t'en ailles... – Op.61, No.6 Quasi adagio. (2:25 à 3:30) « Avant que tu ne t'en ailles, Pâle étoile du matin »
Sixième mélodie (No.64). (La bonne chanson: No.5, publié en 1870).
Composition en ré bémol majeur pour soprano ou ténor. Puis transcription en si majeur pour mezzo-soprano ou baryton[384].
No.7 : 9 août 1892 No.1 : 17 septembre1892 No.4 : 1892 No.6 : 1892 No.2 : 1893 No.8 : 20 mai 1893 No.3 : 20 juillet 1893 No.5 : 4 décembre 1893 No.9 : février 1894
Catégorie
bgcolor="#C5DAEB" |pour voix et piano
Œuvre détaillée
Donc, ce sera par un clair jour d'été... – Op.61, No.7 Allegro non troppo. (2:15 à 2:55) « Donc, ce sera par un clair jour d'été Le grand soleil, complice de ma joie »
Septième mélodie (No.65). (La bonne chanson: No.19, publié en 1870).
Composition en si bémol majeur pour soprano ou ténor. Puis transcription en la bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton[385].
N'est-ce pas ? – Op.61, No.8 Allegretto moderato. (1:10 à 2:50) « N'est-ce pas? en dépit des sots et des méchants Qui ne manqueront pas d'envier notre joie »
Huitième mélodie (No.66). (La bonne chanson: No.17, publié en 1870).
Composition en sol majeur pour soprano ou ténor. Puis transcription en fa dièse mineur et fa majeur pour mezzo-soprano ou baryton[386].
L'hiver a cessé – Op.61, No.9 Allegro. (1:40 à 3:30) « L'hiver a cessé, la lumière est tiède Et danse, du sol au firmament clair »
Neuvième mélodie (No.67). (La bonne chanson: No.21, publié en 1870).
Composition en si bémol majeur pour soprano ou ténor. Puis transcription en la bémol majeur et sol majeur pour mezzo-soprano ou baryton[387].
La bonne chanson – Op.61, avec accompagnement de quintette à cordes et piano
Arrangement pour voix élevée (ou moyenne), piano, deux violons, alto, violoncelle et contrebasse, réalisé par Gabriel Fauré pour un concert privé donné en 1898 à Londres[388],[389].
Deux éditions distinctes, pour voix élevée et voix moyenne, ont récemment été éditées[390].
No.1: Une Sainte en son auréole Allegretto, en sol mineur. (2:10 à 2:40)
No.2: Puisque l'aube grandit Allegro, en fa dièse mineur. (1:40 à 2:10)
No.3: La lune blanche luit dans les bois Andantino, en fa dièse majeur. (2:20 à 3:05)
No.4: J'allais par des chemins perfides Allegretto quasi andante, en fa dièse mineur. (1:35 à 2:05)
No.5: J'ai presque peur, en vérité Allegro molto, en mi mineur. (2:10 à 2:35)
No.6: Avant que tu ne t'en ailles Quasi adagio, en ré bémol majeur. (2:20 à 2:50)
No.7: Donc, ce sera par un clair jour d'été Allegro non troppo, en si bémol majeur. (2:20 à 2:55)
No.8: N'est-ce pas ? Allegretto moderato, en sol majeur. (2:05 à 2:40)
No.9: L'hiver a cessé Allegro, en si bémol majeur. (2:55 à 3:30)
Arr. Gustave Samazeuilh
Une Sainte en son auréole – Op.61, No.1, version pour chant et cordes
[Allegretto?]
Orchestration pour cordes de Gustave Samazeuilh (1877-1967) réalisée au début du siècle. Le manuscrit était en location chez l'éditeur[254].
Arr. Maurice le Boucher
La bonne chanson – Op.61
Arrangement de 1933 pour chant et orchestre symphonique par Maurice le Boucher (1882-1964), élève de Gabriel Fauré. La mode était alors aux mélodies accompagnées d'un orchestre[391],[392].
No.1: Une Sainte en son auréole [Allegretto?]
No.2: Puisque l'aube grandit [Allegro?]
No.3: La lune blanche luit dans les bois [Andantino?]
No.4: J'allais par des chemins perfides [Allegretto quasi andante?]
No.5: J'ai presque peur, en vérité [Allegro molto?]
No.6: Avant que tu ne t'en ailles [Quasi adagio?]
No.7: Donc, ce sera par un clair jour d'été [Allegro non troppo?]
No.8: N'est-ce pas ? [Allegretto moderato?]
No.9: L'hiver a cessé [Allegro, en si bémol majeur?]
Reconstruction en la mineur d'une chanson grecque de l'antiquité (IIIe av. J.-C.), découverte à Delphes par l'École française d'Athènes, restituée par Henri Weil (1818-1909) et traduite par Eugène d'Eichtal (1844-1936).
Accompagnement de 1894 par Gabriel Fauré pour une voix et petit ensemble (flûte, 2 clarinettes et harpe) sur une transcription de Théodore Reinach (1860-1928)[395],[396].
Version originale (v1) : Première version de 1894 en la mineur. « Ton kitharisei kluton »
Andante moderato. (6:40) « Dieu dont la lyre est d'or, O fils du grand Zeus ! Sur le sommet de ces monts neigeux »
Version révisée (v2) : Révision de 1914 avec nouvel incipit. « Khairèth' Helikôna bathudendron »
Andante moderato. (6:40) « O Muses de l'Hélicon aux bois profonds, Filles de Zeus retentissant, Vierges aux bras glorieux »
Arr. Gabriel Fauré & Théodore Reinach
Hymne à Apollon – Op.63bis, pour chant et piano
Réduction en la mineur pour voix et piano en 1894. Également révisée en 1914[397].
Version originale (v1) :
Andante moderato. (6:40) « Dieu dont la lyre est d'or, O fils du grand Zeus ! Sur le sommet de ces monts neigeux »
Version révisée (v2) :
Andante moderato. (6:40) « O Muses de l'Hélicon aux bois profonds, Filles de Zeus retentissant, Vierges aux bras glorieux »
Ton.
la min
la min
Dédicace & annotations
« à Théodore Homolle » (archéologue et helléniste)
« à Théodore Homolle » (archéologue et helléniste)
Première
Paris : École des Beaux-Arts, Jeanne Remacle (s), M. Frank (harp), Gabriel Fauré (harm), 12 avril 1894
Première version terminée en 1894, après une tentative en 1890, mais non éditée car Gabriel Fauré n'était pas encore satisfait. La seconde version de 1905 (Op.89) sera achevée et éditée. Pour piano, 2 violons, alto et violoncelle[399].
I. Molto moderato en ré mineur.
II. Adagio en sol majeur.
III. Finale: Allegretto moderato en ré majeur.
→ Voir le « Quintette pour piano et cordes No.1, Op.89 » pour la version définitive.
Motet composé en la majeur, pour ténor (ou soprano) solo, chœur mixte SATB et orgue[406],[407].
Ton.
la maj
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1922
132 Op. Post.
Date
1894?
Catégorie
pour 2 voix et orgue ou pour 2 voix avec harpe et orgue ou pour 2 voix avec harpe, orgue et/ou cordes
Œuvre détaillée
Ave Maria, en fa majeur
[Sans indication de tempo] « Ave Maria gratia plena, Dominus tecum, dominus tecum »
Cantate en fa majeur pour baryton (ou basse) et ténor avec orgue. Existe aussi avec orgue et accompagnement de harpe (ad.lib.). Existerait aussi avec accompagnement supplémentaire d'un quintette à cordes (quelques parties sont incorporées au manuscrit de 1894). Œuvre posthume[408],[409].
Quasi adagio / Lento andante. (1:40 à 3:00) « Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Paul Verlaine (1844−1896). (Sagesse, vol.3: No.6, écrit en 1880 et publié en 1881).
Composée en mi bémol mineur pour mezzo-soprano ou baryton et transcrite en mi mineur pour soprano ou ténor puis en ré bémol mineur ou ut mineur pour alto ou basse[411].
→ No.1 du recueil de 1896 « Deux mélodies, Op.83 ». → No.24 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897. → No.14 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Arr. Florent Schmitt
Prison – Op.83, No.1, pour mezzo-soprano et orchestre
Andante / Andante molto moderato. (2:05 à 2:50) « Voici que les jardins de la nuit vont fleurir, Les lignes, les couleurs, les sons deviennent vagues »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Albert Victor Samain (1858-1900). (Au jardin de l'Infanteː Élégie, publié en 1893).
Composition en ré bémol majeur pour baryton ou mezzo-soprano puis transcription en mi bémol majeur pour ténor ou soprano[413].
Il existe un arrangement récent pour deux pianos.
→ No.2 du recueil de 1896 « Deux mélodies, Op.83 ». → No.25 du « Deuxième recueil de mélodies » de 1897. → No.15 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Arr. ?
Soir – Op.83, No.2, mélodie transcrite pour piano seul
[Andante?]
Réduction pour piano, par un arrangeur inconnu, indiquée dans les catalogues Hamelle dès 1903.
Arr. Louis Aubert
Soir – Op.83, No.2, partition d'orchestre, ton de soprano ou ténor.
[Andante?]
Orchestration en mi bémol majeur par Louis Aubert (1877-1968) de la partie pour piano, avec chant (soprano ou ténor). Pas de date précise, probablement commandé par Hamelle vers la fin des années 1920 ou début des années 1930, afin de répondre au goût du public pour les mélodies avec orchestre[414].
Ton.
mi♭ maj / ré♭ maj
mi♭ maj
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Thérèse Roger (s), Gabriel Fauré ou Édouard Risler (p), 3 avril 1897
Soir – Op.83, No.2, transcription pour orchestre avec piano conducteur
[Andante?]
Arrangement pour orchestre et piano, par Francis Salabert (1884-1946). Réalisé en 3 éditions : pour grand orchestre, orchestre moyen et quatuor[415].
Arr. ?
Soir – Op.83, No.2, méditation, pour violon ou flûte, avec accompagnement de piano.
[Andante?]
Deux parties pour flûte ou violon avec accompagnement de piano arrangées par un auteur inconnu[416].
Voir l'arrangement similaire et récent de Eldred Spell[417].
Éditions
Paris : Ed.Salabert, 1928
Paris : J.Hamelle, 1928
136 Op.67 /1
Date
25 mars 1895
(1900-30?)
(1925?)
Catégorie
pour voix et orgue ou pour voix et piano
pour chœur et orgue (et cordes) ou pour chœur et piano (et cordes)
pour chœur et orgue
Œuvre détaillée
Salve Regina – Op.67, No.1
Quasi adagio. (2:45) « Salve Regina Mater misericordiae vita dulcedo et spes nostra salve »
Motet pour voix moyenne et orgue (ou piano) sur le cantique de Jean Racine (1639-1699)[418].
Composé en mi bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Transcription en sol bémol majeur puis fa majeur pour soprano ou ténor.
→ No.1 du recueil « Deux motets, Op.67 » de 1905 → No.8 du recueil « Musique religieuse », de 1911.
Arr. Henri Büsser
Salve Regina – Op.67, No.1, pour 2 à 4 voix, avec piano ou orgue (et violon ou violoncelle ad libitum)
Quasi adagio
Transcription du motet par Henri Büsser (1872-1973), pour chœur SATB ou SA avec accompagnement de piano ou d'orgue et parties TB pour accompagnement de violon ou violoncelle ad libitum[419],[420].
Arr. Anatole Levergeois
Salve Regina – Op.67, No.1, adaptation latine à quatre voix. Chant seul
[Quasi adagio?]
Arrangement de la partie chant pour quatre voix SATB par Anatole Levergeois (18??, 1972)[421].
Cycle de onze variations avec thème (Marche funèbre) pour piano[423]. (12:30 à 17:10)
Thème Quasi adagio, en ut dièse mineur. (2:10)
Variation I. Lo stesso tempo. (1:00)
Variation II. Più mosso. (0:45)
Variation III. Un poco più mosso. (0:30 à 0:40)
Variation IV. Lo stesso tempo. (0:50 à 1:05)
Variation V. Un poco più mosso. (0:50)
Variation VI. Molto adagio. (1:30 à 2:05)
Variation VII. Allegretto moderato. (0:45)
Variation VIII. Interlude: Andante molto moderato. (1:25 à 1:40)
Variation IX. Quasi adagio. (1:30)
Variation X. Scherzo: Allegro vivo. (1:10)
Variation XI. Épilogue: Andante molto moderato espressivo, en ut dièse majeur. (2:00 à 2:50)
Arr. Désiré Émile Inghelbrecht
Thème et variations – Op.73, musique de scène pour orchestre
Thème Quasi adagio, en ut dièse mineur. (1:35)
Variations I à XI – (14:00)
Orchestration pour ballet, du thème et des onze variations, par Désiré Émile Inghelbrecht (1880-1965). Pour flûte, hautbois, cor anglais, 2 clarinettes, basson, 2 cors, trompette, célesta (ad lib.), harpe (ou piano) et cordes (violons I & II, altos, violoncelles et contrebasses)[424].
L’œuvre a été réalisée pour le ballet en un acte « Rayon de Lune », sur une chorégraphie, des décors, des costumes et un argument de Carina Ari (1897-1970). Création à l'Opéra de Paris le 7 décembre 1928[425],[426].
Andante quasi allegretto. (2:30 à 3:10) « Larmes aux fleurs suspendues, Larmes de sources perdues, Aux mousses des rochers creux »
Mélodie pour duo de mezzo-soprano (ou soprano) et baryton avec piano, d'après un poème d' Albert Victor Samain (1858-1900). (Au jardin de l'Infanteː Larmes, publié en 1893).
Composée en mi bémol majeur pour mezzo-soprano et baryton puis transcrite en fa majeur pour soprano et ténor[428],[429].
Il existe quelques arrangements récents : pour 2 violons et piano[430], pour 2 flûtes et piano[431].
Ton.
fa maj / mi♭ maj
Dédicace & annotations
« à Mlle Camille Landi et M. David Bispham »
Première
Londres : Camille Landi (s), David Bispham (bar), 1er mai 1896
1893-1896 No.1 : 12 janvier 1864 révisé en 1893 No.2 : juin 1894 No.3 : 1er janvier 1895 No.4 : 1896 No.5 : 1896 No.6 : 1896
Catégorie
pour piano à 4 mains
Œuvre détaillée
Dolly – Op.56, six pièces pour piano à quatre mains
Suite de six pièces de caractère, pour piano à 4 mains en mi majeur. Œuvre dédicacée à Hélène Bardac (1892-1985), au surnom de « Dolly », la fille d'Emma Bardac, une cantatrice dont Gabriel Fauré est tombé amoureux durant l'été 1892[432].
La No.1 « Berceuse », est une reprise de la pièce inédite pour piano à 4 mains « La chanson dans le jardin » de 1864, révisée et renommée en 1893. La No.2 a été composée pour les 2 ans de Dolly en juin 1894, et la No.3 pour le nouvel an 1895 avec des passages repris de la « première sonate pour violon, Op.13 » de 1876. La pièce No.4 a pour origine le nom du chien des Bardac, « Ketty », ainsi le manuscrit de la partition s'intitule « Ketty-valse ». (14:40 à 17:30)
Il existe de nombreux arrangements, hormis ceux listés ci-dessous : pour 2 flûtes et piano[433], pour 2 harpes[434], pour trompette et orgue[435], pour quatuor de harpes[436], pour saxophone soprano et piano[437], pour chœur SATB et piano[438]...
No.1: Berceuse Allegro moderato, en mi majeur. (1:50 à 3:30)
No.2: Mi-a-ou Allegro vivo, en fa majeur. (1:30 à 2:15)
No.3: Le jardin de Dolly Andantino, en mi majeur. (2:05 à 3:00)
No.4: Kitty-valse Tempo di valse, en mi bémol majeur. (2:00 à 2:55)
No.5: Tendresse Andante, en ré bémol majeur. (2:40 à 3:55)
No.6: Le pas espagnol Allegro, en fa majeur. (1:55 à 2:30)
→ Kitty-valse: No.5 du recueil « Valses et Mazurka pour piano » de 1930.
Ton.
mi maj
Dédicace & annotations
« à Mademoiselle Hélène Bardac » (Dolly, fille d'Emma Bardac)
Dolly – Op.56, six pièces pour piano à quatre mains orchestrées
Orchestration par Henri Rabaud (1873-1949) d'après une transcription de L. Blémont. Pour 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, timbales, grosse caisse, cymbales, tambour de basque, triangle, harpe et cordes (2 violons, alto, violoncelle et contrebasse)[442].
L’œuvre pour orchestre sera adaptée pour un ballet sur un argument de Louis Laloy (1874-1944), en 1913[443].
No.1: Berceuse Allegro moderato, en mi majeur. (2:30)
No.2: Mi-a-ou Allegro vivo, en fa majeur. (2:10)
No.3: Le jardin de Dolly Andantino, en mi majeur. (2:20 à 3:10)
No.4: Kitty-valse Tempo di valse, en mi bémol majeur. (2:35 à 3:25)
No.5: Tendresse Andante, en ré bémol majeur. (3:20 à 4:35)
No.6: Le pas espagnol Allegro, en fa majeur. (2:10 à 2:45)
Arr. Micheline Kahn
Dolly – Op.56, Nos.1 & 3, Trois morceaux transcrits pour harpe
Deux transcriptions pour harpe seule par Micheline Kahn (1889-1987) des première et troisième pièces. L'arrangement No.2, celui de la « Sicilienne, Op.78 » complète cette édition de trois morceaux pour harpe[444].
No.1: Berceuse [Allegro moderato?], en mi majeur. (2:50)
No.3: Le jardin de Dolly [Andantino?], en mi majeur.
Arr. Claude Fiévet
Dolly – Op.56, No.2, Mi-a-ou, pour violon et piano
[Allegro vivo?], en fa majeur.
Arrangement de Claude Fiévet (1865-1938) pour violon et piano de la seconde pièce de l’œuvre de Gabriel Fauré[445].
Berceuse (de Dolly) – Op.56, No.1, arrangement pour chant, violon et piano
[Allegro moderato?]
Arrangement de la berceuse de Gabriel Fauré, par Evgenij Ottovič Gunst (1877-1938) pour voix, violon et piano[447].
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1932
Paris : J.Hamelle, 1932
142 Sans Op.
Date
1897
Catégorie
pour piano
Œuvre détaillée
Prélude pour piano, en ut majeur
[sans indication?] (0:30)
Pièce brève pour piano composée pour un tome de la collection « Études d'octaves » d'Isidore Philipp (1863-1958)[448].
Titre complet de la méthode pour piano : « Études d'octaves, d'après Bach, Clementi, Cramer et Chopin, suivies d'études et de préludes originaux de Th. Dubois, Em. Bernard, A. Duvernoy, G. Fauré, G. Mathias, I. Philipp, R. Pugno, Ch. M. Widor ».
Ton.
do maj
Éditions
Paris : A.Durand, 1897
143 Sans Op.
Date
juillet 1897
Catégorie
pour 2 violoncelles
Œuvre détaillée
Morceau de lecture – pour deux violoncelles
Allegretto moderato. (1:00)
Pièce en ré majeur, pour le concours du Conservatoire national de musique de Paris de juillet 1897, pour violoncelle solo et second violoncelle en accompagnement[449].
→ No.13 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Ton.
ré maj
Dédicace & annotations
Paris : Concours du Conservatoire, juillet 1897
Éditions
Œuvre inédite
144 Op.75
Date
juillet 1878-1897
(1925?)
Catégorie
pour violon et piano
pour violoncelle et piano
Œuvre détaillée
Andante – Op.75, pour violon et piano
Andante molto moderato. (4:10 à 6:10)
Œuvre pour piano et violon en si bémol majeur, probablement une reprise de l'Andante du « Concerto pour violon, Op.14 » de 1878[450].
→ No.12 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. J. Moreno
Andante – Op.75, transcription pour violoncelle et piano
[Andante molto moderato?]
Transcription par J. Moreno (?) pour violoncelle avec accompagnement de piano[451].
Andante molto moderato. (1:45 à 2:55) « Quand la fleur du soleil, la rose de Lahor, De son âme odorante a rempli goutte à goutte »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Leconte de Lisle (1818-1894).
Composée en mi majeur pour baryton ou mezzo-soprano. Transposée en sol bémol majeur pour ténor ou soprano[452].
→ No.1 du recueil « Deux mélodies, Op.76 ». → No.12 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Arr. Henri Büsser
Le parfum impérissable – Op.76, No.1, partition d'orchestre. Ton soprano en sol bémol
[Andante molto moderato?]
Orchestration en 1924 de Henri Büsser (1872-1973). Le manuscrit de la partie pour orchestre était en location chez J.Hamelle pour être jouée avec la partition pour voix élevée de Gabriel Fauré[453],[454].
Arr. François Rasse
Le parfum impérissable – Op.76, No.1, transcription de l'accompagnement pour orchestre
[Andante molto moderato?]
Transcription pour orchestre à cordes par François Rasse (1873-1955). Parties d'orchestre pour premiers et seconds violons, altos et violoncelles[455].
Andante quasi allegretto. (2:00 à 2:50) « L'âme d'une flûte soupire, Au fond du parc mélodieux, Limpide est l'ombre où l'on respire, Ton poème silencieux »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème d' Albert Victor Samain (1858-1900). (Au jardin de l'Infanteː Arpège, publié en 1893).
Composée en mi mineur pour mezzo-soprano ou baryton puis transcrite en fa dièse mineur pour soprano ou ténor[456].
Il existe un arrangement récent pour flûte et piano[124].
→ No.2 du recueil « Deux mélodies, Op.76 ». → No.13 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Ton.
fa♯ min / mi min
Dédicace & annotations
« à Madame Charles Dettelbach » (Doris, une amie)
Première
Paris : Société Nationale de Musique, Thérèse Roger (s), Gabriel Fauré (p), 30 avril 1898
Interlude en si bémol majeur pour violoncelle (ou violon) et piano, destinée à l'origine à la musique de scène du « Bourgeois Gentilhomme » de Molière.
Après une première composition préparatoire pré-orchestrale de mars 1893[457], Gabriel Fauré transposera l’œuvre en 1898 pour piano et violoncelle dans une version définitive qui sera publiée la même année, avec une partie pour violon alternative.
L’œuvre sera orchestrée et utilisée pour la musique de scène de « Pelléas et Mélisande, Op.80 ». Puis elle sera révisée vers 1929 par Ferdinando Ronchini (1865-1938).
Il existe des arrangements récents de cette première « sicilienne, Op.78 » dont un pour flûte et piano[458], pour cor et piano[459], pour trompette et piano[460], pour saxophone alto et piano[461], pour quatuor de clarinettes[462], pour quatuor de saxophones[463], pour violoncelle et guitare[464], pour quatuor de flûtes et piano[465].
→ No.11 du recueil de 1924 « Musique de chambre ». → Voir la musique de scène de « Pelléas et Mélisande, Op.80 » pour petit orchestre.
Arr. Gabriel Fauré
Sicilienne – Op.78, réduction pour piano
Andantino quasi allegretto. (3:10 à 3:45)
Réduction pour piano par Gabriel Fauré.
→ Utilisée pour la réduction de la « Suite de Pelléas et Mélisande, Op.80 » pour piano solo.
Arr. Micheline Kahn
Sicilienne – Op.78, transcriptions pour harpe
No.3: Sicilienne – [Andantino?]
3 transcriptions pour harpe seule par Micheline Kahn (1889-1987). pour les Nos.1 & 2, voir « Dolly, Op.56 »[444].
Morceau de concours, [Sarabande] – pour flûte (ou violon) et piano
Adagio non troppo / Andante. (1:40)
Sonate en fa majeur, composée pour le concours du Conservatoire de Paris du 28 juillet 1898. Existe transcrite en ré majeur, pour violon et piano[472],[473].
Il existe un arrangement récent pour 6 flûtes[474] et un autre pour flûte et harpe.
→ No.14 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Musique de scène en 19 morceaux répartis tout au long du drame (mais 2 sont perdus) composée par Gabriel Fauré, et orchestrée pour petit ensemble par Charles Koechlin (1867-1950). Première version de l’œuvre, dite « Version de Londres »[475],[476],[477].
Pour soprano[478], 2 flûtes, hautbois, 2 clarinettes, basson, 2 cors, 2 trompettes, timbales, harpe, violons I & II, alto et violoncelle.
L’œuvre sera adaptée en ballet par Jean-Jacques Etchevery (1916-1997) et créée le 13 mai 1953 à Enghien-les-Bains. Livret d'après le drame de Maurice Maeterlinck[480],[481].
Acte I.
No.1: Prélude
Scène 1 – la porte du château. (Les servantes, Le portier). « Ouvrez la porte ! Ouvrez la porte ! – Qu'i est là ? Pourquoi venez-vous m'éveiller ?»
Scène 2 – Une forêt. (Golaud, Mélisande). « Je ne pourrai plus sortir de cette forêt. Dieu sait jusqu'où cette bête m'a mené. »
Scène 3 – Une salle dans le château. (Geneviève, Arkël, Pelléas). « Voici ce qu'il écrit à son frère Pelléas : – Un soir, je l'ai trouvée tout en pleurs au bord d'une fontaine »
Scène 4 – Devant le château. (Mélisande, Geneviève, Pelléas). « Il fait sombre dans les jardins. Et quelles forêts, Quelles forêts autour du palais ! »
Entr'acte 1 – No.3: Sicilienne
Acte II.
Scène 1 – Une fontaine dans le parc. (Pelléas, Mélisande). « Vous ne savez pas où je vous ai menée ? Je viens souvent m'asseoir ici, vers midi »
Scène 2 – Un appartement dans le château. (Golaud, Mélisande). « Ah ! Ah ! tout va bien, cela ne sera rien. Mais je ne puis m’expliquer comment cela s’est passé. »
Scène 3 – Devant une grotte. (Pelléas, Mélisande). « Oui, c’est ici, nous y sommes. Il fait si noir que l’entrée de la grotte ne se distingue pas »
Scène 4 – Un appartement dans le château. (Arkël, Pelléas, Mélisande, Yniold). « Vous voyez que tout vous retient ici et que tout vous interdit ce voyage inutile. »
Entr'acte 2 – No.2: Fileuse
Acte III.
Scène 1 – Une des tours du château, un chemin de ronde, une fenêtre. (Mélisande, Pelléas, Golaud).
No.2bis : Chanson de Mélisande « Les trois sœurs aveugles, (Espérons encore). Les trois sœurs aveugles, Ont leurs lampes d’or. » [VF] '« The King's three blind daughters, Sit locked in a hold. In the darkness their lamps Make a glimmer of gold » [VO]
Scène 2 – Les souterrains du château. (Golaud, Pelléas). « Prenez garde : par ici, par ici. Vous n’avez jamais pénétré dans ces souterrains ? »
Scène 3 – Une terrasse au sortir des souterrains. (Golaud, Pelléas). « Ah ! Je respire enfin ! J’ai cru, un instant, que j’allais me trouver mal »
Scène 4 – Devant le château. (Golaud, Yniold). « Viens, asseyons-nous ici, Yniold, viens sur mes genoux nous verrons d’ici ce qui se passe dans la forêt. »
Entr'acte 3 – Éléments du No.1
Acte IV.
Scène 1 – Un corridor dans le château. (Pelléas, Mélisande). « Où vas-tu ? Il faut que je te parle ce soir. Te verrai-je ? – Oui. – Je sors de la chambre de mon père, il va mieux. »
Scène 2 – Un appartement dans le château. (Arkël, Mélisande). « Maintenant que le père de Pelléas est sauvé, et que la maladie, la vieille servante de la mort »
Scène 3 – Une terrasse du château. (Yniold, Le berger). « Oh ! cette pierre est lourde ! Elle est plus lourde que moi. Elle est plus lourde que tout »
Scène 4 – Une fontaine dans le parc. (Pelléas, Mélisande, Golaud). « C’est le dernier soir… le dernier soir... Il faut que tout finisse »
Entr'acte 4 – No.4: Mort de Mélisande
Acte V.
Scène 1 – Une salle dans le château. (Les servantes). « Vous verrez, vous verrez, mes filles ; ce sera pour ce soir. On nous préviendra tout à l’heure »
Scène 2 – Un appartement dans le château. (Le médecin, Arkël, Golaud, Mélisande, Les servantes). « Ce n’est pas de cette petite blessure qu’elle se meurt, un oiseau n’en serait pas mort »
→ Les 19 mouvements de l’œuvre (sauf la mélodie) seront arrangés en « suite pour orchestre » en 1900, par Gabriel Fauré.
Première
Londres : Prince of Wales Theater, Gabriel Fauré (dir), 21 juin 1898
Ballet : Enghien-Les-Bains : 13 mai 1953
Ballet : Paris : Théâtre de l'Opéra-Comique, 10 mai 1960
Lento. (2:15 à 3:40) « The King's three blind daughters, Sit locked in a hold. In the darkness their lamps Make a glimmer of gold »
Mélodie en ré mineur pour voix élevée et piano sur une traduction en anglais du texte original français par John William Mackail (1859-1945), extraite de la musique de scène composée par Gabriel Fauré pour « Pelléas et Mélisande »[482].
Composition en ré mineur pour soprano à l'origine, mais par la suite plutôt destinée à un baryton ou mezzo-soprano. Transcription en mi mineur pour soprano ou ténor.
→ Voir la version d'origine No.2bis de la musique de scène du drame pour orchestre (Acte III. scène 1).
Réorchestration pour grand ensemble par Gabriel Fauré de la version orchestrée par Charles Koechlin (1867-1950). Pour 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, timbales, harpe et cordes (violons I & II, altos, violoncelles et contrebasses)[483],[484],[485].
Les morceaux de la musique de scène (Prélude, entr'actes, intermèdes mais pas la mélodie) sont compilés en 3 mouvements et édités en 1901. La « Sicilienne », sera rajoutée à la Suite par l'auteur, 8 ans plus tard[486].
Des extraits seront utilisés pour « Émeraudes », la première partie du spectacle « Joyaux » de George Balanchine (1904-1983), créé à New York le 13 avril 1967[326].
Il existe quelques arrangements récents dont : des extraits pour orgue seul[487]. (15:00 à 17:40)
No.1: Prélude Quasi adagio, en sol majeur. (5:15 à 7:20)
No.2: Fileuse Andantino quasi allegretto, en sol majeur. (2:00 à 3:10)
No.3: Sicilienne – (1909) Allegretto molto moderato, en si bémol majeur. (3:05 à 4:10)
No.4: Mort de Mélisande Molto adagio, en ré mineur. (4:05 à 5:45)
Arr. Gabriel Fauré
Suite de Pelléas et Mélisande – Op.80, réduction pour piano seul
Réduction, probablement en 1898, de 3 mouvements pour piano, par l'auteur. Le No.2 « Fileuse », sera réduit pour piano par Alfred Cortot vers 1902 afin de compléter la suite.
No.1: Prélude Quasi adagio, en sol majeur. (5:50 à 6:40)
No.3: Sicilienne Andantino quasi allegretto, en si bémol majeur. (3:15 à 3:55)
No.4: Mort de Mélisande Molto adagio, en ré mineur. (4:45 à 4:55)
Arr. Alfred Cortot
Fileuse – Op.80, No.2, réduction pour piano
Andantino quasi allegretto, en sol majeur. (3:00)
Réduction pour piano du No.2, par Alfred Cortot (1877-1962) afin de compléter la suite pour piano débutée par Gabriel Fauré[488].
Arr. Jean Roger-Ducasse
Suite de Pelléas et Mélisande – Op.80, transcription pour piano à quatre mains
Arrangement des 3 mouvements de la suite initiale pour orchestre, pour piano à 4 mains par Jean Roger-Ducasse (1873-1954)[489],[490].
No.1: Prélude [Quasi adagio]
No.2: Fileuse [Andantino quasi allegretto]
No.3 [No.4]: Mort de Mélisande [Molto adagio]
→ Voir la réduction pour piano à deux mains de la « Sicilienne, Op.78 » de 1920 par Eugène Gounst.
opéra pour voix, chœur et piano ou pour voix, chœur, cordes, harpes et orchestres d'harmonie
Œuvre détaillée
Prométhée, Tragédie lyrique – [Op.82]
Musique de scène pour la tragédie lyrique en trois actes, sur un livret d' André-Ferdinand Herold (1865-1940) et de Jean Lorrain (1855-1906). Composition par Gabriel Fauré pour voix et piano puis double arrangement pour orchestre d'harmonie et orchestre à cordes, respectivement par Charles Eustasie (18??-1925) et Gabriel Fauré.
Lors de la première, devant 10 à 15 000 spectateurs, dans les arènes de Béziers, il y avait plus de 800 participants, dont 100 acteurs, 200 chanteurs et 400 musiciens dont 15 à 20 harpistes !
Cet ensemble géant était composé de plusieurs orchestres réunis pour l'occasion et dirigés par 5 chefs ! Gabriel Fauré dirigeait l'ensemble à cordes et Charles Eustace dirigeait la Musique du 2e Régiment de Génie et celle du 17e Régiment d'Infanterie (avec l'aide de Weinberger), Jean Alicot dirigeait l'ensemble de la Lyre biterroise, Jean Nussy-Verdier était chef des chœurs[500]. (musique 1:10:00)
Prélude – Molto moderato, en la mineur. (3:30)
Acte I. Paysage de montagnes abruptes, la foule[501].
Scène 1 – Allegro. (Andros, Aenoë, Chœur TTBB). (6:40) « Eia ! Eia ! Eia ! Eia ! Des plateaux et des cimes, Sur les pas argentés du torrent »
Scène 2 – Récitatif: Molto moderato. (Pandore). (1:00) « Eia ! vers la lumière ! Hommes, montez ! Montez ! Regardez resplendir la haut la roche ardente »
Scène 3 – Moderato. (Gaïa). (5:40) « Arrête Prométhée, Et debout sur la roche, Écoute s'exhaler le triste et lent reproche »
Scène 4 – Molto moderato. (Andros, Aenoë, Chœur SATB). (2:10) « Marche et poursuis ton but, Vers la joie et les cimes, Prométhée »
Scène 6 – Allegro moderato. (Bia, Kratos, Héphaïstos). (6:20) « Réveille toi ! Du fond de l'épouvante, Où tu gis les yeux clos, Renais au châtiment ! »
Acte II.Parmi les rochers, le cortège des femmes
Prélude – Andantino. (1:30)
Scène 1 – Le cortège de Pandore. (Aenoë, Chœur SA). (6:45) « Larmes, coulez, Lourdes et lentes, Pleurs ruisselez, Nos mains tremblantes ne vous essuieront plus »
Scène 2 – Allegro moderato. (Bia, Kratos, Héphaïstos). (9:30) « Nous voici parvenus en pleine solitude, Dans le pays scythique, à l’extrême confin de la terre »
Scène 3 – Mélodrame, Récitatif: Quasi adagio. (Prométhée). (1:05) « Et voici que descend de l'Olympe hautain, Convive non prié d'un éternel festin »
Scène 4 – Allegro moderato. (Bia). (1:30) « Pandore, arrière, va-t'en, Loin de la roche épouvantée Où gémit l'orgueil du Titan »
Scène 5 – Finale, Récitatif: Andante molto moderato. (Pandore). Le texte continu sur l'acte III. (0:30) « Et toi, mon bien aimé, renais car ton supplice, Va s'abroger parmi les rochers radieux »
Acte III.
Scène 1 – Prélude: Andante moderato. (1:30)
Scène 2 – Andante moderato. (Pandore, Chœur SA). (2:45) « Des ruisseaux et des sources claires, Des lacs dont l'eau paisible dort »
Scène 3 – Allegro molto. (Pandore, Chœur SA). (1:50) « Vois ! Nos bras sont vers toi tendus, Ô Prométhée, Vers toi, le fier meurtri »
Scène 4 – Andantino moderato. (Prométhée, Chœur SA). (3:00) « Ne tremble pas, Ô Prométhée ! Vers ta souffrance épouvantée »
Scène 5 – Moderato. (Bia, Kratos). (1:20) « Ta douleur est elle complice du geste enflammé d'autrefois, que tu viennes dolente voix, Verser des pleurs »
Scène 6 – Allegro moderato. (Andros, Chœur SATB). (2:40) « Dans l'orgueil éclatant des cimes, Un dieu de gloire et de courroux, Zeus »
Scène 7 – Mélodrame, Récitatif: Moderato. (Pandore, Hermès). (1:00) « Des larmes pures de mes yeux, Ils ont fait un baume fidèle »
Scène 8 – Finale: Moderato. (Chœur SATB). (2:30) « Les dieux graves nous ont souri ! Les chemins sont clairs où tu passes »
Béziers : Les Arènes, Édouard de Max (nar, Prométhée), Cora Laparcerie (nar, Pandore), Odette de Fehl (nar, Hermès), Amélie Torres-Buysson (s, Aenoë), Caroline Flérens-Peters (s, Bia), Rosa Feldy (ms, Gaïa), Charles Rousselière (t, Andros), Fonteix (t, Kratos), Jean Vallier (b, Hephaïstos), Charles Eustace (dir), Gabriel Fauré (dir), 26 ou 27 août 1900
Livret : Paris : Société du Mercure de France, 1900 & 1901
Orchestration : Œuvre inédite
Extraits : Paris : Evette et Schaeffer, 1914
152A Op.82
Date
(1914-1917) orchestration :septembre 1914 correction : mai 1917
Catégorie
opéra pour orchestre symphonique ou suite pour orchestre
Œuvre détaillée
Arr. Jean Roger-Ducasse
Prométhée, Tragédie lyrique en trois actes – Op.82
Actes I. à III.
Réorchestration de l'Opéra par Jean Roger-Ducasse (1873-1954) pour un orchestre symphonique plus réduit. Gabriel Fauré a été régulièrement sollicité pour adapter son œuvre pour un orchestre ordinaire. Il commença avec l'aide d'Alfred Cortot à arranger quelques fragments importants mais après l'abandon du projet par ce dernier et par manque de temps, il confia le travail en 1914 à son élève préféré, mais toujours sous sa direction.
Jean Roger-Ducasse termina la réorchestration en septembre 1914 et Gabriel Fauré en suivit l'adaptation pour les représentations de l'Opéra de Paris jusqu'à mai 1917[502].
L’œuvre a été également donnée en concert pour orchestre seul.
musique de scène pour piano ou pour petit orchestre
Œuvre détaillée
Le voile du bonheur, pièce en un acte
Fantaisie pour petit ensemble instrumental pour la pièce en un acte et quinze scènes, de Georges Clemenceau (1841-1929). Composition pour piano par Fauré puis orchestration d'Émile Vuillermoz (1878-1960) pour flûte, clarinette, harpe, trompette, gong, tubophone et cordes (2 violons, 2 altos et 2 violoncelles)[503].
Les paroles indiquées sont celles notées sur la partition au moment du passage musical dont la durée est précisée. (Musique 0)
Acte unique. À Pékin, dans un salon chinois.
Scène 1 – Andante. (Tchang-I, Li-Kiang). (0:10) «...C'est bien possible, Vous me faites honte de ma crédulité »
Scène 2 – (Tchang-I, Li-Kiang, Si-Tchun). (0:10) «...Je ne puis me défendre, d'une inquiétude mortelle »
Scène 3.1 – (Tchang-I, Si-Tchun). (1:40) «...Vous me feriez rougir sous le fard, par votre flatterie - Voyons donc ! »
Scène 3.2 – Andante quasi adagio. (Tchang-I, Si-Tchun). (1:30) «...Je n'osais regarder, Un charme tenait mes yeux baissés »
Scènes 4 à 7 – Sans musique
Scène 8 – Andantino, pour trompette solo. (Tchang-I, Si-Tchun, Li-Kiang, Tou-Fou). (1:00) « Un messager à moi ? L'Empereur ? Oui, oui, un messager de l'Empereur qui sera ici... »
Scène 9 – Andantino, pour trompette solo. (Tchang-I, Si-Tchun, Li-Kiang, Tou-Fou, Li-Lao, le Messager de l'Empereur). (0:35) « Les paroles de Tchang-I et de Li-Kiang, seront fidèlement rapportées »
Scène 10.1 – Allegro moderato. (Tchang-I, Si-Tchun, Tou-Fou, Li-Kiang). (1:05) « Esclaves ! Qu'on m'apporte des coupes, Nous allons boire du vin de l'Empereur »
Scène 10.2 – Andante, molto moderato – Quasi adagio. (Tchang-I, Tou-Fou, Li-Kiang). (0:50) « Et maintenant, esclaves, Une boite de parfums »
Scène 10.3 – Quasi adagio. (Tchang-I, Li-Kiang). (0:50) « Le ciel est bon, la terre est douce la Chine est un prodige des Dieux »
Scène 11 – Allegro vivo. (Tchang-I, Tou-Fou, Si-Tchun). (1:10) « Le Youen et le Yang à la robe dorée, Les deux oiseaux de l'amour - C'est nous ! »
Scènes 12 à 14 – Sans musique.
Scène 15 – Andante moderato. (Tchang-I). (1:30) « Je veux le chanter encore, Le ciel est bon, La terre est douce... »
Suite réunissant les compositions de la musique de scène de la pièce en un acte de Georges Clemenceau (1841-1929). Pour flûte, clarinette, harpe, trompette, gong, tubophone et cordes (2 violons, 2 altos et 2 violoncelles).
Après un contrat passé avec Hamelle (ref: Op.88), Fauré renonce à la publication de la suite, car sans les textes, le caractère oriental de la composition en devenait ubuesque[504].
Éditions
Edition prévue et annulée : Paris : J.Hamelle, 1902
Œuvre inédite
154 Op.85 /3 (75)
Date
28 mars 1902
Catégorie
pour voix et piano
Œuvre détaillée
Accompagnement – Op.85, No.3
Adagio. (2:50 à 4:30) « Tremble argenté, tilleul, bouleau... La lune s'effeuille sur l'eau... »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Albert Victor Samain (1858-1900). (Au jardin de l'Infante: No.3, écrit en 1893 et publié en 1897).
Composition en sol bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton. Puis transposition en la bémol majeur pour soprano ou ténor[505].
→ No.3 du recueil « Trois mélodies, Op.85 ». → No.20 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Ton.
la♭ maj / sol♭ maj
Dédicace & annotations
Manuscrit: « Composée pour et dédiée à ma délicieuse interprète et amie Mlle Mimi Girette »
Cadence pour le Concerto en ut mineur K 491, de W. A. Mozart
[sans indication]
Cadence de Gabriel Fauré écrite d'après le cadenza du premier mouvement (Allegro) du concerto No.24 (K 491) de Wolfgang Amadeus Mozart, composé en 1786. Édition posthume[506],[507].
Ton.
do min
Dédicace & annotations
« Édition nuancée et doigtée par Madame Marguerite Hasselmans »
Recueil de huit pièces de caractère pour piano composées de 1869 à 1902. Cette œuvre recouvre toutes les périodes et tous les styles de Fauré, de ses études à l'école Niedermeyer aux épreuves du Conservatoire de Paris de 1899 à 1901. Les noms actuels des huit pièces ont été donnés par l'éditeur pour une édition de 1903 sans l'accord de Gabriel Fauré[508].
Voir 1869 pour le détail des deux premières compositions reprises pour le recueil. La pièce No.1 a été écrite pour le concours du Conservatoire du 22 juillet 1899. La pièce No.5 a été composée pour le concours de piano du Conservatoire du 19 juillet 1901. (15:25 à 19:30)
No.1: Capriccio Andante quasi allegretto, en mi bémol majeur. (1:40 à 1:55)
No.2: Fantaisie Allegretto moderato, en la bémol majeur. (1:30 à 2:10)
No.3: Fugue en la mineur(de 1869) Andante moderato. (2:15 à 3:15)
No.4: Adagietto Andante molto moderato, en mi mineur. (3:05 à 3:40)
No.5: Improvisation Andante moderato, en do dièse mineur. (1:20 à 2:40)
No.6: Fugue en mi mineur(de 1869) Andante moderato. (2:05 à 2:45)
No.7: Allégresse Allegro giocoso, en ut majeur. (1:15 à 1:40)
No.8: Huitième Nocturne Adagio non troppo, en ré bémol majeur. (1:35 à 3:55)
Des arrangements récents existent pour la Fugue : pour flûte, hautbois, clarinette, basson et cor[509], pour 4 violoncelles[510].
→ Nocturne: No.8 du recueil « Nocturnes, piano » de 1921.
Arr. Charles Quef
Adagietto, Op.84, No.4, transcription pour grand orgue
Andante molto moderato. (3:05)
Transcription pour grand orgue du No.4 des « Pièces brèves » par Charles Quef (1873-1931) en mi mineur[511].
Allegretto molto moderato. (1:45 à 2:20) « Sur la mer voilée, D'un brouillard amer, La Belle est allée, La nuit, sur la mer ! »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après une poésie de Catulle Mendès (1841-1909). Composée en si mineur pour mezzo-soprano ou baryton puis transposée en ré mineur pour soprano ou ténor[512].
→ No.2 du recueil « Trois mélodies, Op.85 ». → No.19 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Ton.
ré min / si mi
Dédicace & annotations
« à Mlle Pauline Segond » (mezzo-soprano, fille de Paul Segond, sœur de Claudie Segond et élève de Marie Trélat)
Adagio. (2:40 à 4:10) « Ramure aux rumeurs amollies, Troncs sonores que l'âge creuse »
Mélodie pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Catulle Mendès (1841-1909). Composition en sol bémol majeur pour mezzo-soprano ou baryton et transposition en la bémol majeur pour soprano ou ténor[513].
→ No.1 du recueil « Trois mélodies, Op.85 ». → No.18 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Ton.
la♭ maj / sol♭ maj
Dédicace & annotations
« à MlleLydia Eustis » (mezzo-soprano, élève de Marie Trélat, sœur de Anita Eustis)
« Dans le ciel clair rayé par l'hirondelle alerte, Le matin qui fleurit comme un divin rosier »
Projet de mélodie pour voix et piano, d'après un poème de Charles-Marie Leconte de Lisle (1818-1894). Œuvre inachevée ; seule une esquisse a été retrouvée à ce jour. (Poèmes tragiques: écrit en 1882)[514].
Éditions
Œuvre inachevée et inédite
160 à 169
160 sans Op.
Date
juillet 1903
Catégorie
pour violon et piano
Œuvre détaillée
Morceau de lecture à vue, pour violon et piano
Quasi adagio. (1:20 à 1:40)
Pièce pour violon et piano en la majeur, composée pour le concours du Conservatoire du 24 juillet 1903. Gabriel Fauré en a été le directeur plusieurs années et a souvent été sollicité pour la composition des épreuves[515],[516].
→ No.15 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Ton.
la maj
Première
Paris : Conservatoire, 24 juillet 1903
Éditions
Paris : Le Monde musical du 30 août 1903
Londres : Peters, 1999
161 sans Op.
Date
15 juin 1904
Catégorie
pour harpe seule
Œuvre détaillée
Morceau de lecture, pour la harpe
(1:50) Pièce pour harpe seule, composée pour le concours de harpe du Conservatoire du 25 juillet 1904[517].
Première
Paris : Conservatoire, 25 juillet 1904
Éditions
Œuvre inédite
162 Op.86
Date
juillet1904
Catégorie
pour harpe seule
Œuvre détaillée
Impromptu No.6, pour la harpe – Op.86
Allegro molto moderato. (7:50 à 9:50)
Pièce pour harpe seule en ré bémol majeur, composée pour le concours de harpe du Conservatoire du 25 juillet 1904[518].
Moderato. (1:20 à 1:45) « A mes pas le plus doux chemin, Mène à la porte de ma belle »
Madrigal pour voix moyenne et piano, d'après un poème de Armand Silvestre (1837-1901). (La chanson des heures: Madrigal No.10, écrit en 1878 et publié en 1887).
Composition en fa mineur puis transcription en mi mineur pour mezzo-soprano ou baryton. Transcription en sol mineur pour soprano ou ténor[520].
Il existe des arrangements récents dont celui pour clarinette et piano[55].
→ No.1 du recueil « Deux madrigaux, Op.87 ». → No.16 du « Troisième recueil de mélodies » de 1908.
Arr. Marcel Samuel-Rousseau
Le plus doux chemin – Op.87, No.1
[Moderato]. (1:30)
Orchestration transposée en ut mineur avec soprano ou ténor, de Marcel Samuel-Rousseau (1882-1955). Elle sera réutilisée par Fauré pour la comédie musicale « Masques et bergamasque » de 1919[521].
Andante moderato. (1:50) « Tantum ergo, Sacramentum, Veneremur cernui Et antiquum documentum Novo cedat ritui »
Motet sur une hymne de Thomas d'Aquin (1225-1274), pour soprano solo (ou ténor) et chœur SATB avec orgue. Existe en version pour voix seule avec orgue[523].
À l'origine composée en fa majeur (manuscrit) pour voix élevée puis pour mezzo-soprano ou baryton (édition). Première publication en sol bémol majeur pour soprano ou ténor[524].
→ No.11 du recueil « Musique religieuse », de 1911.
Gabriel Fauré
Tantum ergo – partie pour quintette à cordes
Andante moderato.
Arrangement de Gabriel Fauré en fa majeur, pour soprano (ou ténor) et chœur avec accompagnement d'un quintette à cordes (violons I. & II, alto, violoncelle et contrebasse). Il est noté quatuor sur la partition[525]. Publication posthume.
Ton.
sol♭ maj / fa maj
fa maj
Dédicace & annotations
« pour la messe de mariage de Mlle Greffulhe » (Élaine Greffulhe)
Pièce pour 2 contrebasses (ou pour 2 bassons, selon les sources)[527], composée par Fauré pour la collection « Déchiffrage du manuscrit » aux éditions Lemoine[528].
Il s'agit d'un recueil d'une pièce pour harpe et de 12 pièces pour duo d'un même instrument (2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, 2 trompettes, 2 cornets à piston, 2 trombones, 2 violons, 2 altos, 2 violoncelles ou 2 contrebasses)[529].
→ No.19 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Éditions
Déchiffrage du manuscrit, Lemoine, 1905
167 Op.52bis
Date
1905
Catégorie
musique de scène pour chœur et orchestre
Œuvre détaillée
Arr. Édouard Colonne?
Jules César, drame en cinq actes – Op.52bis
Musique de scène pour un drame en cinq actes inspiré de l'œuvre de William Shakespeare (1564-1616), sur une traduction de François-Victor Hugo (1828-1873) de 1872.
La musique est en partie une reprise des thèmes composés en 1888 pour chœur de femme et orchestre par Gabriel Fauré, pour « Caligula »[530],[531].
Cet arrangement pourrait avoir été autorisé par Gabriel Fauré mais sans sa participation et réalisé anonymement par un tiers (Édouard Colonne?)[532]. Spectacle réalisé sur une commande de Madame la Comtesse Greffulhe (1860-1952) et de la Société des Grandes Auditions[533].
Œuvre pour piano et quatuor à cordes (2 violons, alto et violoncelle), en ré mineur. Le projet remonte à 1890, mais rapidement abandonné, il sera repris en 1894 dans une première version mais sans plus de conviction. Finalement il sera composé de 1903 à 1905[534],[535]. (28:45 à 34:22)
I. Molto moderato en ré mineur. (9:45 à 12:25)
II. Adagio en sol majeur. (9:50 à 11:45)
III. Finale: Allegretto moderato en ré majeur. (7:15 à 11:25)
→ Voir la première version de la « Quintette pour piano et cordes No.1, Op.64 » de 1894. → No.17 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Bruxelles: Cercle artistique, Gabriel Fauré (p), Quatuor Ysaÿe (Eugène Ysaÿe (v), Édouard Deru (v), Léon van Hout (alt), Joseph Jacob (vlc), 23 mars 1906
pour 2 sopranos et orgue ou 2 sopranos et piano ou chœur et orgue
pour 2 sopranos, avec cordes, harpe et orgue
Œuvre détaillée
Ave Maria – Op.93
Allegretto moderato. (3:15 à 4:40) « Ave, Ave, Maria, Ave, Ave, Maria, Ave Maria, gratia plena »
Cantique pour deux soprani (ou chœur de femmes) avec accompagnement d'orgue ou de piano, en si mineur. Gabriel Fauré a repris des passages d'un « Ave Maria » inédit de 1877, qui avait été composé pour les sopranos Marianne et Claudie Viardot, filles de Pauline Viardot[109].
Il existe un arrangement récent pour chœur mixte SATB et orgue ou piano[539].
Arr. Henri Büsser
Ave Maria – Op.93, transcrit avec accompagnement de violon, violoncelle, harpe et orgue
[Allegretto moderato?].
Arrangement pour 2 sopranos avec accompagnement de violon, violoncelle, harpe et orgue, de Henri Büsser (1872-1973)[540].
Ton.
si min
Dédicace & annotations
« à Madame Georges Kinen » (Anita Eustis, soprano, élève de Marie Trélat)
Andante molto moderato. (1:55 à 2:35) « Je mettrai mes deux mains sur ma bouche, pour taire Ce que je voudrais tant vous dire, âme bien chère ! »
Mélodie pour voix moyenne et piano, nommée « Offrande » à l'origine, d'après un poème de Jean Dominique (Marie Closset) (1875-1952). (L'anémone des mers: No.28, écrit en 1904 et publié en 1906).
Composée pour mezzo-soprano ou baryton, en mi majeur, transcrite en fa dièse majeur pour soprano ou ténor[541].
pour piano et flûte ou pour piano et hautbois ou pour piano et violon
pour piano et alto ou pour piano et violoncelle ou pour piano et saxophone alto
pour piano et violon
Œuvre détaillée
Vocalise-étude
Adagio molto tranquillo. (2:30 à 3:20) (vocalises)
Exercice pour voix haute et piano. Composition en mi mineur, pour soprano ou ténor. Transcription en ré mineur pour mezzo-soprano ou baryton[544].
Il existe des arrangements récents dont celui pour quintette (hautbois, 2 violons, violoncelle et contrebasse)[545].
→ No.1 de la collection des vocalises-études de A.L.Hettich. → Voir la vocalise No.28 du recueil « Vocalises » de 1916
Arr. Théodore Doney
Pièce (Vocalise-étude) – transcriptions pour haut-instrument
[Adagio molto tranquillo?]. (2:50 à 3:10)
Arrangement en la mineur de la mélodie pour un haut-instrument (flûte ou hautbois ou violon) et piano. Alphonse Leduc (1878-1951), l'éditeur, n'a pas indiqué le nom de l'arrangeur, probablement Théodore Doney (1882-1935)[546].
Arr. Théodore Doney
Pièce (Vocalise-étude) – transcriptions pour bas-instruments
1881-1906 II. & IV. de 1881 I. & III. 30 décembre 1906
Catégorie
pour voix de femmes et orgue ou voix de femmes et harmonium
Œuvre détaillée
Messe basse, révision de la « Messe des pêcheurs de Villerville » [v3]
Nouvelle version en 4 parties, proposée par Heugel et révisée par Fauré, de la « Messe des pêcheurs de Villerville », œuvre de 1881, coécrite avec André Messager (1853-1929) mais dont les compositions ne seront pas reprises pour cette dernière version[552],[204].
Les mouvements Nos.2 et 4, composés en 1881, sont de Gabriel Fauré. Le mouvement No.1 est une nouvelle composition de l'auteur, comme le mouvement No.3, qui comporte une reprise du Gloria (second mouvement) de 1881.
Pour voix de femmes (soli et chœur) et orgue (ou harmonium) en la bémol majeur. (8:40 à 11:30)
I. Kyrie eleison Allegretto moderato, en la bémol majeur. (1:55 à 3:00)
II. Sanctus(de 1881) Moderato, en sol majeur. (1:50 à 2:50)
III. Benedictus Andante moderato, en la bémol majeur. (2:05 à 2:50)
IV. Agnus Dei(de 1881) Andante moderato, en sol majeur. (2:35 à 3:15)
Cycle de dix mélodies pour voix moyenne et piano, d'après des poèmes de Charles van Lerberghe (1861-1907) issus du recueil en quatre sections « La chanson d'Ève » écrit en 1903 et publié en 1904[560].
C'est le plus long cycle de mélodies de l'auteur. (18:30 à 25:00)
Paradis – Op.95, No.1 Andante molto moderato. (6:10 à 7:15) « C'est le premier matin du monde, Comme une fleur confuse exhalée de la nuit »
Première mélodie (No.83), composée en mi mineur, pour mezzo-soprano ou baryton. (La chanson d'Ève: 1.Premières paroles, No.1).
Prima verba – Op.95, No.2 Adagio molto. (2:00 à 2:35) « Comme elle chante, Dans ma voix L'âme longtemps murmurante, Des fontaines et des bois ! »
Deuxième mélodie (No.84), composée en sol bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (La chanson d'Ève: 1.Premières paroles, No.6).
Roses ardentes... – Op.95, No.3 Andante. (1:10 à 1:50) « Roses ardentes, Dans l'immobile nuit, C'est en vous que je chante, Et que je suis »
Troisième mélodie (No.85), composée en mi majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (La chanson d'Ève: 1.Premières paroles, No.5).
Ton.
mi min
sol♭ maj
mi maj
Dédicace & annotations
« à Mme Jeanne Raunay » (mezzo-soprano)
Première
Nos.1, 2 & 9 : Paris : Salle des Agriculteurs, Jeanne Raunay (ms), Gabriel Fauré (p), 3 février 1908
Nos.1, 2 & 9 : Londres : Bechstein Hall, les mêmes, 18 mars 1908
Nos.3, 4, 5 & 6 : Paris : Salle Érard, les mêmes, 26 mai 1909
Intégrale : Paris : Société musicale indépendante, les mêmes, 20 avril 1910
Comme Dieu rayonne... – Op.95, No.4 Quasi adagio. (1:30 à 2:25) « Comme Dieu rayonne aujourd'hui, Comme il exulte, comme il fleurit »
Quatrième mélodie (No.86), composée en ut mineur, pour mezzo-soprano ou baryton. (La chanson d'Ève: 1.Premières paroles, No.10).
L'aube blanche... – Op.95, No.5 Andante. (1:05 à 1:30) « L'aube blanche dit à mon rêve : – Éveille-toi, le soleil luit – »
Cinquième mélodie (No.87), composée en ré bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (La chanson d'Ève: 1.Premières paroles, No.14).
Eau vivante – Op.95, No.6 Allegretto moderato. (1:10 à 1:30) « Que tu es simple et claire, Eau vivante, Qui, du sein de la terre, Jaillis en ces bassins et chantes ! »
Sixième mélodie (No.88), composée en ut majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (La chanson d'Ève: 1.Premières paroles, No.20).
Veilles-tu, ma senteur de soleil ? – Op.95, No.7 Allegretto con moto. (1:30 à 1:50) « Veilles-tu, ma senteur de soleil ? Mon arôme d'abeilles blondes »
Septième mélodie (No.89), composée en ré majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (La chanson d'Ève: 2.La Tentation, No.10).
Ton.
do min
ré♭ maj
do maj
ré maj
Dédicace & annotations
« à Mme Jeanne Raunay » (mezzo-soprano)
Première
Nos.1, 2 & 9 : Paris : Salle des Agriculteurs, Jeanne Raunay (ms), Gabriel Fauré (p), 3 février 1908
Nos.1, 2 & 9 : Londres : Bechstein Hall, les mêmes, 18 mars 1908
Nos.3, 4, 5 & 6 : Paris : Salle Érard, les mêmes, 26 mai 1909
Intégrale : Paris : Société musicale indépendante, les mêmes, 20 avril 1910
Cycle de neuf préludes pour piano. Un premier recueil de 3 préludes (Nos.1, 2 et 3) est achevé en janvier 1910 puis publié. Les autres préludes seront terminés de l'été à l'automne 1910 et publiés en 1911[562].
Il existe un arrangement récent du prélude No.4, pour orchestre[563].
Prélude No.1 : Andante molto moderato, en ré bémol majeur. (3:05 à 4:15)
Prélude No.2 : Allegro, en ut dièse mineur. (2:00 à 2:50)
Prélude No.3 : Andante, en sol mineur. (2:40 à 5:30)
Prélude No.4 : Allegretto moderato, en fa majeur. (1:30 à 2:20)
Prélude No.5 : Allegro, en ré mineur. (1:50 à 2:25)
Prélude No.6 : Andante, en mi bémol mineur. (2:10 à 2:50)
Prélude No.7 : Andante moderato, en la majeur. (2:05 à 3:50)
Prélude No.8 : Allegro, en ut mineur. (1:05 à 2:20)
Prélude No.9 : Adagio, en mi mineur. (2:40 à 3:55)
→ Le prélude de l'opéra « Pénélope » est parfois ajouté au cycle comme No.10.
Arr. Gustave Samazeuilh
Quatre préludes – Op.103, Nos.1 à 4, transcrits pour violon et piano
Fauré a composé l’œuvre pour voix et piano pendant 6 ans, puis en a orchestré les deux tiers, le reste étant confié à Fernand Pécoud (1879-1940), afin de gagner du temps[566],[567],[568].
Pour solistes, chœur et orchestre: 3 flûtes, 2 hautbois, cor anglais, 2 clarinettes, clarinette basse, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones (et tuba), 3 timbales, batterie, harpe et cordes (violons, altos, violoncelles et contrebasses). (2:04:00)
Prélude – Andante moderato, en sol mineur. (6:40)
Acte I. Un vestibule près devant la chambre de Pénélope.
Scène 1 – (Les Servantes fileuses, Mélantho, Cléone, Alkandre, Phylo, Lydie). (7:15) « Les fuseaux sont lourds, le palais est sombre Mille obscurs désirs chuchotent dans l'ombre »
Scène 2 – Allegro risoluto. (Les Prétendants, Eurymaque, Mélantho, Cléone, Antinoüs, Léodès). (1:55) « Vers Pénélope, sœur divine d'Aphrodite, qu'une de vous, femmes, se précipite »
Scène 3 – (Euryclée, Eurymaque, Léodès, Ctésippe, Antinoüs). (1:30) « Osez-vous pénétrer jusqu'ici, Princes lâches ? Hors de ces lieux qu'emplit votre tumulte vain »
Scène 4 – Molto moderato – Air de danse. (Pénélope, Antinoüs, Euryclée, Eurymaque, Léodès, Ctésippe). (17:20) « Jadis, quand on aimait, on savait aimer mieux On aurait affronté la colère des Dieux »
Scène 5 – Allegro. (Ulysse, Eurymaque, Pénélope, Ctésippe, Antinoüs, Mélantho, Léodès, Lydie, Phylo, Alkandre, Cléone). (8:00) « Hola ! Ho ! Hola ! Ho ! Ces haillons !... entrer dans le palais ! »
Scène 6 – Più mosso. (Pénélope, Euryclée, Ulysse). (6:10) « Pardonne, ô vieillard, pardonne à mon deuil L'insolence de leur accueil »
Scène 7 – (Pénélope, Eurymaque, Léodès, Antinoüs). (4:55) « Je suis seule... Ô travail que mon amour renie Tu me prends bien du temps, en effet... »
Scène 8 – (Pénélope, Ulysse, Euryclée). (4:15) « Je me plaignais du sort ! Quelle démence ! C'est demain que mon malheur commence ! »
Scène 9 – Air d'Ulysse: Allegro. (Ulysse). (1:35) « Épouse chérie ! Épouse chérie ! Ton âme de ses maux sera bientôt guérie ! »
Scène 10 – Moderato. (Pénélope, Ulysse, Euryclée). (1:30) « Prends ce manteau, vieillard L'ombre des nuits est fraiche... Merci ! »
Acte II. Le sommet d'une colline qui domine la mer
Introduction – Moderato. (1:15)
Scène 1 – (Eumée, Pâtre). (3:20) « Sur l'épaule des monts, où le troupeau bêlait, Le crépuscule accroche un manteau violet »
Scène 2 – Allegretto non troppo. (Pénélope, Eumée, Ulysse, Euryclée). (22:25) « C'est sur ce banc, devant cette colonne, Qu'au souvenir des temps heureux, je m'abandonne »
Scène 3 – Allegro. (Ulysse, Eumée, Pâtres). (2:30) « Eumée Eumée et vous tous... vous tous les pâtres... Par tous les Dieux du ciel, par le feu de vos âtres »
Acte III. La grande salle du palais d'Ulysse
Introduction – Allegro. (0:35)
Scène 1 – (Ulysse). (0:45) « Toute la nuit, sans bruit, comme une ombre J'ai rôdé dans le palais sombre ! »
Scène 2 – (Euryclée, Ulysse). (2:00) « Morne et farouche, Pénélope n'a pas dormi, Elle n'accuse pas son destin ennemi... »
Scène 3 – Allegro. (Eumée, Ulysse). (2:50) « Salut, maître... Debout berger, Tu trahirais ma présence inconnue »
Scène 4 – Allegretto moderato. (Antinoüs, Ulysse, Eurymaque, Ctésippe, Léodès, Pisandre). (5:55) « Qu'il est doux de sentir sa jeunesse Quand le jour est si clair ! »
Scène 5 – Andante moderato. (Léodès, Antinoüs, Eurymaque, Pénélope, Ctésippe, Pisandre, Euryclée, Ulysse, Eumée, Alkandre, Lydie, Phylo). (16:10) « La Reine... Ses yeux n'ont eu jamais tant de tristesse »
Scène 7 & Final – Molto moderato. (Peuple d'Ithaque, Eumée, Euryclée, Ulysse, Servantes, Bergers). (2:40) « Ulysse est de retour ! Gloire à Zeus ! Ulysse, ton peuple veut voir le vainqueur de Troie ! »
Pénélope, prélude – [Op.103, No.10], pour piano solo
Andante moderato. (8:30)
Prélude extrait de la version pour piano solo de l'opéra « Pénélope ». Il est souvent joué comme No.10 de « Neuf préludes, Op.103 », où il est alors transposé en ut mineur.
Ton.
do min
Éditions
Paris : Heugel, 1913
184B (tableau 1/2)
Date
1912
20 mars (1913)
20 mars (1913)
(1924?)
Catégorie
pour piano
pour piano à 4 mains
pour violon et piano ou pour flûte et piano
pour orchestre et piano
Œuvre détaillée
Pénélope, prélude de l'acte II. – pour piano solo
Moderato.
Prélude en mi mineur du deuxième acte de l'opéra « Pénélope » extrait de la version pour piano solo.
Arr. Gustave Samazeuilh
Pénélope – Extraits, transcription pour piano à 4 mains
No.2: Les joueuses de flûte: Premier air de danse (Acte I, scène 4) – .
No.3: Les joueuses de flûte: Deuxième air de danse.
Arr. Gabriel Fauré?
Pénélope, Les joueuses de flûte – pour violon (ou flûte) et piano
Arrangement du premier air de danse, pour violon (ou flûte) et piano ; puis du second air de danse, pour violon et piano. L'arrangeur est probablement Gabriel Fauré, car c'est son fils Emmanuel Fauré-Fremiet, qui était propriétaire des partitions jusqu'en 1948[570].
No.1: Premier air de danse (Acte I, scène 4) – . (3:50)
No.2: Deuxième air de danse.
Arr. Hubert Mouton
Pénélope, prélude (Symphonia 86A) – transcription pour orchestre avec piano conducteur
[Andante moderato?].
Arrangement du prélude pour orchestre et piano conducteur par Hubert Mouton (1872-1954)[571].
Cycle de huit mélodies pour voix moyenne et piano, d'après des poèmes de la collection de 1898 « Entrevisions » de Charles van Lerberghe (1861-1907). Le titre du cycle « Le jardin clos » est emprunté au second volume du recueil.
Fauré a commencé la composition en juillet 1914, en Allemagne (à Saint-Louis), puis a continué en Suisse (Bâle et Genève) et en France (Paris et Pau) après qu'ait débuté la grande guerre[577].
Exaucement – Op.106, No.1 Allegretto. (1:05 à 1:30) « Alors qu'en tes mains de lumière Tu poses ton front défaillant »
Première mélodie (No.93), composée en do majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (Entrevisions: 3.Sous le portique, No.6).
Quand tu plonges tes yeux dans mes yeux... – Op.106, No.2 Andante moderato. (1:00 à 1:20) « Quand tu plonges tes yeux dans mes yeux, Je suis toute dans mes yeux. »
Deuxième mélodie (No.94), composée en fa majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (Entrevisions: 2.Le jardin clos, No.11).
La messagère – Op.106, No.3 Allegro. (1:45 à 2:10) « Avril, et c'est le point du jour. Tes blondes sœurs qui te ressemblent »
Troisième mélodie (No.95), composée en sol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (Entrevisions: 1.Jeux et songes, No.4).
Recueil de vocalises, d'exercices avec accompagnement de piano et de dictions, composées par Gabriel Fauré pour l'étude du chant, du temps qu'il était directeur du Conservatoire de Paris (de 1905 à 1916). Les pièces ont été retrouvées dans les archives à Paris par Roy Howat et Emily Kilpatrick et classées partiellement en 6 thèmes (La beauté, L'envie, La cour, La tendresse, Les regrets et Les souvenirs)[583].
La numérotation reprend celui de l'édition, par difficulté d'interprétation[584]. La vocalise No.28 avait déjà été éditée et arrangée (voir 1906).
Vocalise No.1 : en ut mineur (1910) La beauté. (0:30)
Vocalise No.2 : en la majeur (1913) L'envie. (0:40)
Vocalise No.3 : en ut majeur (1907) Les souvenirs. (0:50)
Vocalise No.4 : en fa majeur (1909) La tendresse. (0:40)
Vocalise No.5 : en ut majeur (1908) L'envie. (0:45)
Vocalise No.6 : en fa majeur (1913) L'envie. (0:45)
Vocalise No.7 : Allegro moderato, en ut majeur (1908) La cour. (0:35)
Vocalise No.8 : en sol majeur (1909) La tendresse. (0:55)
Vocalise No.9 : Moderato, en ré majeur (1914) La beauté. (0:30)
Vocalise No.10 : Moderato, en ut majeur (1914) Les regrets. (0:50)
Vocalise No.11 : Allegro moderato, en sol majeur (1910) La tendresse. (0:40)
Vocalise No.12 : Allegro moderato, en fa majeur (1906) La beauté. (0:50)
Vocalise No.13 : Andante moderato, en sol majeur (1906) La cour. (0:45)
Vocalise No.14 : en fa majeur (1907) L'envie. (0:40)
Vocalise No.15 : Moderato, en ré majeur (1915) La beauté. (0:45)
Vocalise No.16 : Moderato, en ré majeur (1909) La beauté. (0:40)
Vocalise No.17 : Andante moderato, en ut majeur (1907) La cour. (0:40)
Vocalise No.18 : Allegretto, en fa majeur (1909) La tendresse. (0:40)
Vocalise No.19 : Allegretto, en ré majeur (1908) Les regrets. (0:40)
Vocalise No.20 : Moderato, en fa majeur (1912) L'envie. (1:35)
Vocalise No.21 : en si bémol majeur (1908) La cour. (0:35)
Vocalise No.22 : Allegretto, en ut majeur (1908) La cour. (0:45)
Vocalise No.23 : Moderato, en fa majeur (1915) L'envie. (0:55)
Vocalise No.24 : Molto moderato, en fa mineur (1916) L'envie. (1:15)
Vocalise No.25 : Andante moderato, en la bémol majeur (1907) La cour. (0:40)
Vocalise No.26 : Allegro molto moderato, en fa majeur (1909) L'envie. (1:00)
Vocalise No.27 : Moderato, en la majeur (1908) Les souvenirs. (1:15)
Vocalise No.28 : Adagio molto tranquillo, en mi mineur. (→ Voir « Vocalise-étude » de 1906) L'envie. (2:30)
Vocalise No.29 : Adagio, en fa mineur (1907) Les regrets. (1:35)
Exercices (vocalises attribuées à Fauré) :
Exercice No.1 : Allegro, en ut majeur (?).
Exercice No.2 : en fa majeur (?).
Exercice No.3 : Allegro, en ut majeur (?) La cour. (0:25)
Exercice No.4 : en sol majeur (?) La tendresse. (0:40)
Exercice No.5 : en ut majeur (?).
Exercice No.6 : Allegro, en sol majeur (1914).
Exercice No.7 : en ut majeur (1913) Les regrets. (0:35)
Exercice No.8 : en sol majeur (1912).
Exercice No.9 : Andante, en ut majeur (1911).
Exercice No.10 : en sol majeur (1910).
Exercice No.11 : Allegretto, en fa majeur (1914).
Exercice No.12 : Allegretto, en sol majeur (1911) Les regrets. (0:40)
Exercice No.13 : Allegretto, en fa majeur (1915).
Exercice No.14 : Allegretto, en sol majeur (1912) Les souvenirs. (0:40)
Exercice No.15 : Moderato, en sol majeur (1912) Les souvenirs. (0:50)
Œuvre de chambre en mi mineur et en trois mouvements. Le second mouvement s'inspire de l’œuvre rejetée de 1884 « Symphonie en ré mineur ». L'édition de 1917 porte le numéro erroné d'opus 118[585].
I. Allegro non troppo en mi mineur (7:40 à 9:35)
II. Andante en la majeur. (7:05 à 9:55)
III. Finale: Allegro non troppo en mi majeur. (5:30 à 7:00)
→ No.2 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Gustave Samazeuilh
Andante de la deuxième sonate pour violon et piano – Op.108, transcription pour piano à 2 mains
Andante.
Réduction pour piano à 2 mains du second mouvement de la sonate par Gustave Samazeuilh (1877-1967)[586].
Ton.
mi min
Dédicace & annotations
« à la reine de Belgie, Elisabeth » (Elisabeth en Bavière)
Œuvre pour violoncelle et piano dont le premier mouvement est introduit sur un thème repris de l'Allegro de la « Symphonie en ré mineur » de 1884 non publiée[587].
I. Allegro / Allegro deciso en ré mineur. (5:00 à 6:20)
II. Andante en sol mineur. (6:25 à 8:05)
III. Finale: Allegro commodo en ré mineur. (5:40 à 8:30)
→ No.21 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Pièce pour harpe en la mineur. Mise en musique d'un poème de Paul Verlaine (1844-1896). (La bonne chanson: No.8, Une Sainte en son auréole, publié en 1870)[588].
→ No.1 de « La bonne chanson, Op.61 » de 1894
Arr. Jacques Durand
Une châtelaine en sa tour... – Op.110, transcription pour piano à deux mains
Concerto en sol majeur pour piano. Orchestre de 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, timbales, harpe et cordes (violons I & II, altos, violoncelles et contrebasses).
Masques et bergamasques, divertissement en un acte
Comédie musicale (ballet) en un acte et huit tableaux, commandée par Albert 1er, prince de Monaco (1848-1922). Sur un argument de René Fauchois (1882-1962), recyclant des œuvres instrumentales ou vocales de Gabriel Fauré, inspirées des poésies de Paul Verlaine (1844-1896), dans « Fêtes galantes »[592], de Robert de Montesquiou (1855-1921) et Armand Silvestre (1837-1901).
Pour ténor (Nos.4 & 6) ou chœur (No.3) et orchestre: 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, timbales, (harpe) et cordes (violons, altos, violoncelles et contrebasses)[593],[594],[595].
No.1: Ouverture Allegro molto vivo, en fa majeur. (3:40) → Recyclage d'un projet abandonné de 1869: « Intermède symphonique ».
No.2: Pastorale Andantino tranquillo, en ré majeur. (3:50) Nouveau mouvement.
No.3: Madrigal Andante quasi allegretto, en ré mineur. (4:55) → Op.35 de 1884, version orchestrée de 1891 par Gabriel Fauré, avec chœur[596]. « Inhumaines qui, sans merci, Vous raillez de notre souci, Aimez ! Aimez quand on vous aime ! »
No.4: Le plus doux chemin Moderato, transposé en ut mineur. (1:30) → Op.87/1 de 1904, version orchestrée la même année par Marcel Samuel-Rousseau (1882-1955) avec ténor[597]. « A mes pas le plus doux chemin, Mène à la porte de ma belle »
No.5: Menuet Allegro moderato, en fa majeur. (2:50) → Symphonie de 1869.
No.6: Clair de lune Andantino quasi allegretto, transposé en ut mineur. (3:10) → Op.46/2 de 1887, version orchestrée de 1888 par Gabriel Fauré, avec ténor[598]. « Votre âme est un paysage choisi, Que vont charmant masques et bergamasques »
No.7: Gavotte Allegro, en ré mineur. (3:00) → « Gavotte pour piano » de 1869 et l'Allegro de la « Symphonie en fa », Op.20, version orchestrée par Marcel Samuel-Rousseau[599].
No.8: Pavane Andante molto moderato, en fa dièse mineur. (6:05) → Op.50 de 1887, orchestre seul[600].
Suite en fa majeur pour orchestre en 4 mouvements instrumentaux tirés de la comédie musicale en un acte. Pour 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, timbales, (harpe) et cordes (violons, altos, violoncelles et contrebasses)[601].
I. Ouverture Allegro molto vivo. (3:20 à 3:50)
II. Menuet Tempo di minuetto: Allegro moderato. (2:20 à 3:10)
III. Gavotte Allegro vivo, en ré mineur. (2:55 à 4:00)
IV. Pastorale Andantino tranquillo, en ré majeur. (3:20 à 5:50)
Arr. Gabriel Fauré
Masques et bergamasques (suite) – Op.112, réduction pour piano à quatre mains
Suite en fa majeur pour orchestre arrangé par Gabriel Fauré pour piano à 4 mains[602].
I. Ouverture Allegro molto vivo. (3:25 à 3:35)
II. Menuet Tempo di minuetto. (2:25 à 2:40)
III. Gavotte Allegro, en ré mineur. (3:10)
IV. Pastorale Andantino tranquillo, en ré majeur. (3:45)
Arr. Lucien Garban
Masques et bergamasques – Op.112, transcription pour petit orchestre, avec piano conducteur
Réorchestration de la suite en 2 tomes, avec piano conducteur, par Roger Branga, alias Lucien Garban (1877-1959)[603],[604].
Première suite : Ouverture-Menuet
Deuxième suite : Gavotte-Pastorale
Arr. Louis Fournier
Masques et bergamasques – Op.112, Nos.2 & 4, deux transcriptions pour violoncelle et piano
Transcription de 2 mouvements pour violoncelle et piano, par Louis Fournier ()[605].
Menuet [Tempo di minuetto?].
Pastorale [Andantino tranquillo?].
Ton.
fa maj
fa maj
Première
Paris : Société des Concerts du Conservatoire, Philippe Gaubert (dir), 16 novembre 1919
« A mes arrières petites-nièces Nicole et Huguette Réveillac »
Cycle de quatre mélodies pour voix moyenne et piano, d'après des poèmes de la Baronne Renée de Brimont (1880-1943) publiés dans le recueil « Mirages » de 1919[606].
Cygne sur l'eau – Op.113, No.1 Andantino. (3:00 à 3:45) « Ma pensée est un cygne harmonieux et sage Qui glisse lentement aux rivages d'ennui »
Première mélodie (No.101), composée en fa majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. Transcription en sol majeur pour soprano ou ténor. (Mirages: 1.De l'eau et des paysages, No.2).
Reflets dans l'eau – Op.113, No.2 Quasi adagio. (3:30 à 4:40) « Étendue au seuil du bassin, Dans l'eau plus froide que le sein, Des vierges sages »
Deuxième mélodie (No.102), composée en si bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. Transcription en ut majeur pour soprano ou ténor. (Mirages: 1.De l'eau et des paysages, No.10).
Jardin nocturne – Op.113, No.3 Andantino. (2:05 à 3:15) « Nocturne jardin tout empli de silence, Voici que la lune ouverte se balance »
Troisième mélodie (No.103), composée en mi bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton puis transcrite en fa majeur pour soprano ou ténor. (Mirages: 1.De l'eau et des paysages, No.24).
Danseuse – Op.113, No.4 Andantino. (2:00 à 2:35) « Sœur des Sœurs tisseuses de violettes, Une ardente veille blémit tes joues... »
Quatrième mélodie (No.104), composée en ré mineur, pour mezzo-soprano ou baryton. Transcription en mi mineur pour ténor ou soprano. (Mirages: 2.Des songes et des paroles, No.28).
La mélodie a été adaptée pour ballet le 18 mai 1950 par Pierre Conté (1891-1971) pour une danseuse[607].
Allegro giocoso / Allegretto giocoso. (1:25) « Pendant qu'ils étaient partis pour la guerre, On ne dansait plus, on ne parlait guère »
Mélodie (No.105) pour voix élevée et piano, composée d'après un poème de Mademoiselle Georgette Debladis, vainqueresse à un concours de poésie, organisé par le journal « Le Figaro » sur le thème de la Paix.
Tonalité d'origine en la majeur, puis en do majeur, pour soprano ou ténor. Transposition en sol majeur pour mezzo-soprano ou baryton[608].
Quintette pour 2 violons, alto, violoncelle et piano en ut mineur. Une des œuvres parmi les plus réputées de l'auteur, composée dans le plus grand secret pour un effet de surprise triomphal lors de la première[610],[611].
I. Allegro moderato en ut mineur. (10:10 à 12:00)
II. Scherzo: Allegro vivo en mi bémol majeur. (3:50 à 5:45)
III. Andante moderato en sol majeur. (9:40 à 12:50)
IV. Finale: Allegro molto en ut mineur. (5:50 à 6:40)
→ No.18 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Lucien Garban
Quintette pour piano et cordes No.2 – Op.115, transcription pour piano à 4 mains
Réduction pour piano à 4 mains de Lucien Garban (1877-1959), probablement réalisée vers 1926. Pas d'édition datée[612].
I. Allegro moderato
II. Scherzo: Allegro vivo
III. Andante moderato
IV. Finale: Allegro molto
Arr. Gustave Samazeuilh
Andante du 2e quintette – Op.115, No.3, transcription pour piano à deux mains
musique militaire de cérémonie pour vents et cuivres
Œuvre détaillée
Gabriel Fauré & Guillaume Balay
Chant funéraire, (pour le centenaire de la mort de Napoléon 1er) – pour harmonie et fanfare
Andante, en ré mineur. (11:40)
Composition de Gabriel Fauré pour célébrer le centenaire de la mort de Napoléon 1er (sur une commande du gouvernement), puis orchestration par Guillaume Balay (1871-1943), pour orchestre militaire à vents et à cuivres avec clarinette.
L’œuvre sera transcrite la même année, par Gabriel Fauré, pour le second mouvement de la « Sonate pour violoncelle et piano No.2, Op.117 »[614],[615].
→ Voir les arrangements à la suite de l'Op.117 de 1921.
III. Finale: Allegro vivo en sol mineur. (4:30 à 5:05)
Œuvre pour violoncelle et piano en sol mineur. Le second mouvement est une transcription du « Chant funéraire pour le centenaire de la mort de Napoléon 1er » de 1921[616].
Il existe des arrangements récent du second mouvement dont un pour 6 violoncelles[617].
→ Voir le « Chant funéraire » original de 1921. → No.22 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Léonce de Saint-Martin
Marche funèbre (Chant funéraire) – Op.117, No.2, transcription pour orgue
Andante, en ut mineur.
Transcription pour orgue seule du « Chant funéraire », par Léonce de Saint-Martin (1886-1954). La tonalité est identique à celle du second mouvement de l'Op.117[618].
Arr. Gustave Bret
Andante de la seconde sonate – Op.117, No.2, transcription pour violoncelle et orgue
[Andante?].
Oratorio pour violoncelle et orgue par Gustave Bret (1875-1969)[619].
Arr. Gustave Samazeuilh
Chant funéraire – Op.117, No.2, transcription pour piano à deux mains
Cycle de quatre mélodies pour voix moyenne et piano, d'après des poèmes de Jean de La Ville de Mirmont (1886-1914) extraits du premier tome de 14 poésies composées probablement de 1911 à 1912, et publié en 1920[621],[622].
Ce sont les dernières œuvres vocales de Gabriel Fauré.
La mer est infinie... – Op.118, No.1 Andante quasi allegretto. (1:15 à 1:50) « La mer est infinie et mes rêves sont fous, La mer chante au soleil en battant les falaises »
Première mélodie (No.106), composée en ré majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (1.L'horizon chimérique: No.13).
Il existe un arrangement récent pour chœur à 4 voix SATB et piano[623].
Je me suis embarqué... – Op.118, No.2 Andante moderato. (2:10 à 3:00) « Je me suis embarqué sur un vaisseau qui danse, Et roule bord sur bord et tangue et se balance »
Deuxième mélodie (No.107), composée en ré bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (1.L'horizon chimérique: No.14).
Diane, Séléné... – Op.118, No.3 Lento, ma non troppo. (1:30 à 2:25) « Diane, Séléné, lune de beau métal, Qui reflètes vers nous, par ta face déserte »
Troisième mélodie (No.108), composée en mi bémol majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (1.L'horizon chimérique: No.11).
Vaisseaux, nous vous aurons aimés... – Op.118, No.4 Andante quasi allegretto. (1:25 à 2:10) « Vaisseaux, nous vous aurons aimés en pure perte, Le dernier de vous tous est parti sur la mer »
Dernière mélodie (No.109), composée en ré majeur, pour mezzo-soprano ou baryton. (1.L'horizon chimérique: No.5).
Arr. Lucien Garban
Diane, Séléné... – Op.115, No.3, transcription pour violon et piano
[Lento, ma non troppo?].
Transcription de la mélodie No.3, pour violon et piano, par Lucien Garban (1877-1959)[624].
Arr. Lucien Garban
Diane, Séléné... – Op.115, No.3, transcription pour orchestre et piano conducteur
[Lento, ma non troppo?].
Orchestration de la mélodie No.3, avec piano conducteur, par Roger Branga, alias Lucien Garban (1877-1959)[625].
Trio pour piano, violon et violoncelle en ré mineur. À l'origine, Fauré envisageait d'utiliser une clarinette, mais il la remplaça finalement par un violon[628]. Cependant, des interprétations existent aussi dans cette version. Dans une version manuscrite, le final est noté en [629],[630].
I. Allegro, ma non troppo en ré mineur. (5:45 à 6:50)
II. Andantino en fa majeur. (8:00 à 10:15)
III. Finale: Allegro vivo en ré mineur. (4:25 à 5:15)
Il existe des arrangements récents dont celui pour la partie de clarinette[631] et celui pour violon, alto et piano[632].
→ No.23 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Gustave Samazeuilh
Andante du Trio – Op.120, No.2, transcription pour piano à deux mains
Quatuor pour 2 violons, alto et violoncelle en mi mineur. C'est la toute dernière œuvre de Gabriel Fauré. Première exécution posthume le 12 juin 1925[634].
I. Allegro moderato en mi mineur. (5:20 à 7:30)
II. Andante en la mineur. (7:30 à 12:00)
III. Finale: Allegro en mi mineur. (7:30 à 9:40)
→ No.24 du recueil de 1924 « Musique de chambre ».
Arr. Alfred Cortot
Quatuor à cordes, en mi mineur – Op.121, transcription pour piano à 4 mains
Décès de Gabriel Fauré, le 4 novembre 1924 à Paris
Principaux recueils
R01
Date
1879-1887
Nom du recueil
Mélodies, premier recueil
Catégorie
pour voix et piano
Détail
Premier recueil de mélodies pour voix et piano, édité sous les éditions Antony Choudens (version 1) puis sous les éditions J.Hamelle (versions 1 puis 2). Les deux versions se différencient par les 4 dernières mélodies. La « Barcarolle, Op.7/3 » y est remplacée en 1908 par « Noël, Op.43/1 » Sans l’approbation de Fauré.
Il existe deux éditions : l'Édition A, pour voix moyennes (Mezzo-soprano ou baryton) et l'Édition B, pour voix hautes (Soprano ou ténor). Il existe également quelques transcriptions supplémentaires et spécifiques pour contralto, alto ou basse (jusqu'à 4 éditions différentes pour certains titres).
Version 1, Choudens (1879), puis Hamelle (1887) :
Le papillon et la fleur, Op.1, No.1 – (1861)
Mai, Op.1, No.2 – (1862?)
Dans les ruines d'une abbaye, Op.2, No.1 – (1865)
Les Matelots, Op.2, No.2 – (1870)
Seule !, Op.3, No.1 – (1871)
Sérénade toscane, Op.3, No.2 – (1878?)
Chanson du pêcheur (Lamento), Op.4, No.1 – (1872?)
Second recueil de mélodies pour voix et piano, édité sous les éditions J. Hamelle. La première version de 1897 comporte 25 titres. Afin d'équilibrer le troisième recueil à paraître, en 1908, Hamelle décida d'enlever les six dernières mélodies (-) et de rajouter (+) en No.20, la mélodie « Barcarolle, Op.7/3 » enlevée de la seconde version du premier recueil. L'objectif étant d'avoir également un total de vingt mélodies[638].
Il existe deux éditions : l'Édition A, pour voix moyennes (Mezzo-soprano ou baryton) et l'Édition B, pour voix hautes (Soprano ou ténor).
Version 1, 25 titres, Hamelle (1897) :
Nell, Op.18, No.1 – (1878)
Le voyageur, Op.18, No.2 – (1878?)
Automne, Op.18, No.3 – (1878)
Rencontre, Op.21, No.1 – (1878)
Toujours, Op.21, No.2 – (1878)
Adieu, Op.21, No.3 – (1878)
Les berceaux, Op.23, No.1 – (1879)
Notre amour, Op.23, No.2 – (1879?)
Le secret, Op.23, No.3 – (1881)
Chanson d'amour, Op.27, No.1 – (1882)
la fée aux chansons, Op.27, No.2 – (1882)
Aurore, Op.39, No.1 – (1884)
Fleur jetée, Op.39, No.2 – (1884)
Le pays des rêves, Op.39, No.3 – (1884)
Les roses d'Ispahan, Op.39, No.4 – (1884)
En prière – (1890)
Nocturne, Op.43, No.2 – (1886)
Les présents, Op.46, No.1 – (1887)
Clair de lune, Op.46, No.2 – (1887)
Larmes, Op.51, No.1 – (1888) (-)
Au cimetière, Op.51, No.2 – (1888) (-)
Spleen, Op.51, No.3 – (1888) (-)
la rose, Op.51, No.4 – (1890) (-)
Prison, Op.83, No.1 – (1894) (-)
Soir, Op.83, No.2 – (1894) (-)
Version 2 (définitive), 20 titres, Hamelle (1908) :
20. Barcarolle, Op.7, No.3 – (1873) (+)
Éditions
Recueil 2 (v1) : Paris : J.Hamelle, 1897
Recueil 2 (v2) : Paris : J.Hamelle, 1908
R03
Date
1903
Nom du recueil
Nocturnes pour piano
Catégorie
pour piano
Détail
Recueil des sept premières nocturnes pour piano[639].
Nocturne No.1, Op.33, No.1, en mi bémol mineur – (1875)
Nocturne No.2, Op.33, No.2, en si majeur – (1881)
Nocturne No.3, Op.33, No.3, en la bémol majeur – (1883)
Nocturne No.4, Op.36, en mi bémol majeur – (1884)
Nocturne No.5, Op.37, en si bémol majeur – (1884)
Nocturne No.6, Op.63, en ré bémol majeur – (1894)
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1903
R04
Date
1908
Nom du recueil
Mélodies, troisième recueil
Catégorie
pour voix et piano
Détail
Troisième recueil de mélodies pour voix et piano, édité sous les éditions J. Hamelle. On retrouve les six titres enlevés de la première version du second recueil.
Il existe deux éditions : l'Édition A, pour voix moyennes (Mezzo-soprano ou baryton) et l'Édition B, pour voix hautes (Soprano ou ténor).
Larmes, Op.51, No.1 – (1888)
Au cimetière, Op.51, No.2 – (1888)
Spleen, Op.51, No.3 – (1888)
la rose, Op.51, No.4 – (1890)
Chanson (Shylock), Op.57, No.1 – (1889)
Madrigal (Shylock), Op.57, No.3 – (1889)
Mandoline, Op.58, No.1 – (1891)
En sourdine, Op.58, No.2 – (1891)
Green, Op.58, No.3 – (1891)
A Clymène, Op.58, No.4 – (1891)
C’est l’extase, Op.58, No.5 – (1891)
Le parfum impérissable, Op.76, No.1 – (1897)
Arpège, Op.76, No.2 – (1897)
Prison, Op.83, No.1 – (1894)
Soir, Op.83, No.2 – (1894)
Le plus doux chemin, Op.87, No.1 – (1904)
Le ramier, Op.87, No.2 – (1904)
Dans la forêt de Septembre, Op.85, No.1 – (1902)
la fleur qui va sur l’eau, Op.85, No.2 – (1902)
Accompagnement, Op.85, No.3 – (1902)
Éditions
Recueil 3 : Paris : J.Hamelle, 1908
R05
Date
1911
Nom du recueil
Musique religieuse à une ou plusieurs voix
Catégorie
musique sacrée
Détail
Recueil préparé dès 1907 par Gabriel Fauré et édité chez J.Hamelle en 1911
Nocturne No.1, Op.33, No.1, en mi bémol mineur – (1875)
Nocturne No.2, Op.33, No.2, en si majeur – (1881)
Nocturne No.3, Op.33, No.3, en la bémol majeur – (1883)
Nocturne No.4, Op.36, en mi bémol majeur – (1884)
Nocturne No.5, Op.37, en si bémol majeur – (1884)
Nocturne No.6, Op.63, en ré bémol majeur – (1894)
Nocturne No.7, Op.74, en do dièse mineur – (1898)
Nocturne No.8, Op.84, No.8, en ré bémol majeur – (1902)
Nocturne No.9, Op.97, en si mineur – (1908)
Nocturne No.10, Op.99, en si mineur – (1908)
Nocturne No.11, Op.104, No.1, en fa dièse mineur – (1913)
Nocturne No.12, Op.107, en mi mineur – (1915)
Nocturne No.13, Op.119, en si mineur – (1921)
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1921
R07
Date
1924
Nom du recueil
Musique de chambre
Catégorie
pour orchestre de chambre
Détail
Intégrale des œuvres pour musique de chambre, éditée en 1924. Recueil perdu ou incomplet, car le No.10 « Petite pièce, Op.49 » est introuvable actuellement[643].
Sonate pour violon et piano No.1, Op.13, en la majeur – (1876)
Sonate pour violon et piano No.2, Op.108, en mi mineur – (1916)
Quatuor pour piano et cordes No.1, Op.15, en ut mineur – (1879)
Quatuor pour piano et cordes No.2, Op.45, en sol mineur – (1886)
Romance, pour violon et piano, Op.28, en si bémol majeur – (1877)
Romance, pour violoncelle et piano, Op.69, en la majeur – (1894)
Berceuse, pour violoncelle et piano, Op.16, en ré majeur – (1879)
Élégie, pour violoncelle et piano, Op.24, en ut mineur – (1880)
Papillon, pour violoncelle et piano, Op.77, en la majeur – (1884?)
Petite pièce pour violoncelle et piano, Op.49, en sol majeur – (1888)
Sicilienne, pour violoncelle et piano, Op.78, en si bémol majeur – (1898)
Andante, pour violon et piano, Op.75, en si bémol majeur – (1897)
Morceau de lecture No.1, pour deux violoncelles, sans Op, en ré majeur – (1897)
Morceau de lecture No.2, pour flûte et piano, sans Op, en fa majeur – (1898)
Morceau de lecture No.3, pour violon et piano, sans Op, en la majeur – (1903)
Fantaisie, pour flûte et piano, Op.79, en mi mineur – (1898)
Quintette pour piano et cordes No.1, Op.89, en ré mineur – (1905)
Quintette pour piano et cordes No.2, Op.115, en ut mineur – (1921)
Pièce pour deux contrebasses, sans Op, – (1905)
Sérénade, pour violoncelle et piano, Op.98, en si mineur – (1908)
Sonate pour violoncelle et piano No.1, Op.109, en ré mineur – (1917)
Sonate pour violoncelle et piano No.2, Op.117, sol mineur – (1921)
Trio pour piano, violon et violoncelle, Op.120, en ré mineur – (1923)
Quatuor à cordes, Op.121, en mi mineur – (1924)
Éditions
Paris : J.Hamelle, 1924
R08
Date
1926
Nom du recueil
Six Barcarolles et cinq Impromptus pour piano
Catégorie
pour piano
Détail
Intégrale de 1926, des 6 premières Barcarolles et des 5 Impromptus[644].
Barcarolle No.1, Op.26, en la mineur – (1880)
Barcarolle No.2, Op.41, en sol majeur – (1885)
Barcarolle No.3, Op.42, en sol bémol majeur – (1885)
Barcarolle No.4, Op.44, en la majeur – (1886)
Barcarolle No.5, Op.66, en fa mineur – (1894)
Barcarolle No.6, Op.70, en mi majeur – (1896)
Impromptu No.1, Op.25, en mi bémol majeur – (1881)
Impromptu No.2, Op.31, en fa mineur – (1883)
Impromptu No.3, Op.34, en la bémol majeur – (1883)
Impromptu No.4, Op.91, en ré bémol majeur – (1905)
Impromptu No.5, Op.102, No.1, en fa dièse mineur – (1909)
↑Gabriel Fauré (1845-1924), Le papillon et la fleur. Op. 1, no 1 - Gabriel Fauré (1845-1924) - Œuvre : Ressources de la Bibliothèque nationale de France, (lire en ligne).
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