Une troisième commune, l'Île-aux-Marins, une petite bande de terre au large du port de Saint-Pierre, habitée jusqu'en 1963, fut rattachée à la commune de Saint-Pierre en 1945[1].
ainsi que de nombreux récifs et hauts-fonds où se sont échoués de nombreux navires (et ont largement contribué à l’ensablement entre Miquelon et Langlade) ;
90 % de la population de l'archipel vit sur l'île de Saint-Pierre, dans la petite ville du même nom, les 10 % restants vivant dans le village de Miquelon, au nord de l'île de Miquelon, et seul village de la commune de Miquelon-Langlade ; l'île de Langlade quant à elle ne comporte que quelques résidences secondaires, regroupées sur l'anse du Gouverneur au nord-est de l'île. Dans les années 1990, elle avait un habitant permanent.
Notes et références
↑INSEE, « Le recensement de la population à Saint-Pierre-et-Miquelon en 2006 », Insee Première, no 1178, (lire en ligne)
Saint-Barthélemy et Saint-Martin sont depuis la loi organique n°2007-223 du 21 février 2007 des collectivités d’outre-mer exerçant les compétences d'une commune.