En 1955, il existait au Cameroun des formations politiques (partis politiques et associations ethniques). Liste non exhaustive qui a pu être constituée, à partir des documents d’archives[1] :
Ngondo (Association traditionnelle du peuple Douala, existant de fait depuis le début du XXe siècle).
Solidarité camerounaise ().
Union Bamileke ().
AssoBeti (Association « Amicale Voix du Peuple Beti », ).
UPC ().
Kumzse (Association traditionnelle du peuple bamiléké, ).
Groupement Anti-Upéciste des Boulou du Dja et Lobo ().
PRONORI (Ligue Progressiste des Intérêts Économiques et Sociaux des Populations du Nord Cameroun, ).
MEDIAFRANCAM (Médiation franco camerounaise, ).
Assemblée traditionnelle Du peuple bamoun ().
Front national camerounais ().
Ces formations politiques sont des rassemblements à caractère régional[2].
Années 2020
Le Cameroun compte en 2015, 298 partis politiques[3]. Toutefois la plupart de ces partis, créés au lendemain du retour au multipartisme en [4], ne sont pas véritablement actifs dans le paysage politique national[5].
Les principaux partis politiques du Cameroun sont :
↑Martin-René Atangana, Capitalisme et nationalisme au Cameroun : au lendemain de la seconde guerre mondiale (1946-1956), Publications de la Sorbonne, , 307 p. (ISBN978-2-85944-327-6, lire en ligne)