Louis Paul Marie Alphonse Marcorelles commence à Montpellier sa carrière de journaliste en 1953 à L'Éclair . Il a été très actif au sein des Cahiers du cinéma à partir de la fin des années 1950, défendant des cinéastes comme John Huston, Martin Ritt ou John Ford. Il s'est attaché à promouvoir le « cinéma direct »[2] et le « free cinema » britannique.
Antoine de Baecque rappelle que Louis Marcorelles, « jeune cinéphile communiste de l'après-guerre », a entretenu « une intense correspondance, privée et méconnue, avec Georges Sadoul entre 1949 et 1951 »[3].
Louis Marcorelles, Nicole Rouzet-Albagli, Éléments pour un nouveau cinéma, Paris, Unesco, 1970, 154 p.
Louis Marcorelles, Jean-Pierre Jeancolas, Claire Devarrieux, Cent Années Lumière : rétrospective de l'œuvre documentaire des grands cinéastes français, de Louis Lumière jusqu'à nos jours, Paris, Intermédia, 1989, 115 p.