Luigi Travaglino a été ordonné prêtre le , pour le Diocèse de Nola. Il a ensuite obtenu un doctorat en droit canonique.
Travaglino a ensuite poursuivi ses études à l'Académie pontificale ecclésiastique, puis est entré en 1970 au Service diplomatique du Saint-Siège. Tout d'abord, il a été adjoint au Secrétaire de la Nonciature apostolique en Bolivie(en). En 1971, Luigi Travaglino est promu secrétaire de cette nonciature. Le papePaul VI lui a décerné, le , le titre de Chapelain de Sa Sainteté[1] (Monseigneur). De 1972 à 1973, Luigi Travaglino a travaillé comme secrétaire de nonciature à la Nonciature apostolique en Éthiopie(en). Il a rejoint, en 1973, la Nonciature apostolique en Portugal(en), puis, en 1975, celle de Scandinavie(en) et en 1976, et aussi en Islande, avant de rejoindre celle du Zaïre(en) en 1977. En 1979, Travaglino est devenu auditeur de cette nonciature, avant de devenir auditeur de la nonciature du Salvador(en) en 1981. En 1983, il rejoint la Nonciature apostolique, aux Pays-Bas(en). En 1984, Luigi Travaglino y devient Conseiller du nonce. Le , le pape Jean-Paul II lui décerne le titre de Prélat d'honneur de Sa Sainteté[2]. En 1986, il est muté en Grèce(en). En 1989, il est promu conseiller de nonciature en Service à la Section des Affaires générales du secrétairerie d'État du Vatican.
Le , Luigi Travaglino est envoyé comme nonce apostolique au Nicaragua(en). Le , le pape Jean-Paul II le rappelle à Rome pour être Officiel à la Secrétariat d'État du Vatican.
Le pape Benoît XVI le nomme, le , comme observateur permanent du Saint-Siège auprès de la FAO et au FIDA ainsi qu'au PAM[3] ; en outre, Benoît XVI lui demande aussi le , d'être le Nonce apostolique à Monaco(en)[4].
Son mandat en tant que nonce à Monaco s'est terminé le , avec la nomination de son successeur[5].