Cette commune est située à l'est de Paris à une distance d'une cinquantaine de kilomètres. Elle est la plus étendue du canton de Fontenay-Trésigny. Les coordonnées géographiques sont celles de Lumigny (butte de Lumigny 158 m).
Trois circuits pédestres de longueurs différentes permettent de visiter l'une ou l'autre des trois communes associées.
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 82 mètres à 158 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 118 mètres d'altitude (mairie)[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de treize cours d'eau référencés :
La rivière l’Yerres, longue de 98,23 km[3], affluent en rive droite de la Seine. L'Yerres prend sa source à quelques kilomètres au nord de l'étang de Guerlande situé à l'orée de la forêt de Crécy. Son premier cours est le ru des Tournelles qui reçoit des petits rus. Elle ne prend son nom d'Yerres qu'à partir de sa sortie de l'étang de Guerlande. Après avoir traversé les communes avoisinantes de Pézarches et Touquin elle pénètre dans la commune de Lumigny-Nesles-Ormeaux et forme la limite avec la commune voisine de Voinsles ; ainsi que :
le ru de Vulaine, 5,54 km[9], affluents de l’Yerres ;
le fossé 01 de Quétotrain, canal de 2,35 km[10], qui conflue avec le ru de Vulaine ;
le ru de Bréon, long de 22,13 km[11], affluent de l’Yerres ;
Le ru de Monnoury, 8,01 km[12], affluent du Bréon ;
le fossé 04 du Bois des Dames, 1,76 km[13], qui conflue avec le ru de Monnoury ;
le fossé 01 du Clos Brilland, 3,66 km[14], qui conflue avec le ru de Bréon ;
le fossé 01 du Bois d'Hautefeuille, 1,51 km[15], qui conflue avec l’Yerres .
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 23,52 km[16].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[17].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[18]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouroux à 11 km à vol d'oiseau[22], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[27],[Carte 1] :
« L'Yerres de sa source a Chaumes-en-Brie », d'une superficie de 18 ha, un tronçon de 40 km de l'Yerres qui héberge une faune piscicole et une végétation aquatique devenues rares en Ile-de-France[28],[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Lumigny-Nesles-Ormeaux comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[30],[Carte 2],
l'« Étang de Guerlande » (18,18 ha)[31], et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[30],
la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[32].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Lumigny-Nesles-Ormeaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[33].
Elle est située hors unité urbaine[34]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[34]. Cette aire regroupe 1 929 communes[35],[36].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 127lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[37] (source : le fichier Fantoir) dont Champlet, Rigny, la Fortelle, le Mée, la Bectarderie.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (65,3% ), forêts (27,1% ), zones agricoles hétérogènes (2,7% ), zones urbanisées (2,4% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1% ), eaux continentales[Note 5] (0,5 %)[38].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[39],[40],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[41]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 614 dont 93,8 % de maisons et 5,5 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 5 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants.
La part des ménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 83,2 % contre 15,1 % de locataires[42] dont, 0,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 1,8 % logés gratuitement.
Il faut probablement rattacher le nom Lumigny à la racine lum en ancien français, issu du latin lumen, luminis « lumière » : un tel nom ferait ainsi référence ou bien à la fonction du « luminier », qui est le clerc chargé d'éclairer l'église, ou bien à des activités en lien avec la confection de chandelles (le « lumignon », par exemple, étant la pièce de fer sur laquelle on fixait la chandelle)[43].
Formes anciennes de la localité de Nesles-la-Gilberde : en 946 Naslei[44], vers 1080 Gilberto de Nivigella[45],[46], 1088 G. de Nahella[46], v. 1132 Neiella[46], 1180 Nigella[46], 1201 Gillebertus de Nigella, Gilebert de Nigelle[47], v. 1222 de Naielle[46], 1246 Nigella[48], 1270 Nael, Neele[46], 1375 Neelle lez Rozay[46], 1415 Neele en Brie[46], 1499 Nesle la Giberde lez Rozay[46], 1561 Nesle-la-Gilberde[49], 1635 Nesles-la-Gilberde[50], 1669 Nesles[46], 1731 Nêle la Gilberde[51], 1757 Nesle-la-Gilberde[52], 1768 Neele-la-Gilberde[53].
Nesles viendrait peut-être du bas latin *neviala/*noviala « terre nouvellement défrichée »[54]. Les formes anciennes de Nesles sont peut-être à rapprocher de nielle, neel, noielle, nelle, plante qui croît dans les blés, et dont la graine est noire et toxique[55]; du bas latin nigella, féminin substantivé du latin nigellus « noirâtre », dérivé diminutif de niger « noir »[56]. La-Gilberde, bien que féminin, viendrait du prénom des seigneurs de Nesles vers 1201, et ne semble apparaître associé avec Nesles qu'à la fin du XVe siècle[47].
Ormeaux, enfin, est le nom d'un lieu planté d'ormes.
Histoire
Nesles est cité au début du IXe siècle (Naslei), comme appartenant au patrimoine d'une certaine Gisle (Gisla). Elle en fit don à l'abbaye de Gembloux que venait de fonder son petit-fils Saint Guibert, donation entérinée en 946 par une charte d'Otton Ier du Saint-Empire[57].
La commune de Lumigny-Nesles-Ormeaux résulte de l'association, le , des trois anciennes communes de Lumigny, Nesles-la-Gilberde et Ormeaux. Lumigny est le chef-lieu et Nesles et Ormeaux possèdent chacune une mairie annexe.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [61],[62].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Lumigny-Nesles-Ormeaux gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[63].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[64]. La communauté de communes Val Briard (CCVB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[63],[65].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[68].
En 2021, la commune comptait 1 497 habitants[Note 8], en évolution de −2,41 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 169, occupant 736 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,4 % contre un taux de chômage de 6,2 %.
Les 21,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,5 % de retraités ou préretraités et 5,1 % pour les autres inactifs[72].
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 12 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 2 dans la construction, 4 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[73].
En 2019, 12 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 8individuelles.
Cueillette du Plessis à Lumigny, grand potager et marché de produits du terroir.
Secteurs d'activité
Agriculture
Lumigny-Nesles-Ormeaux est dans la petite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[74].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[75]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 26 en 1988 à 19 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 89 ha en 1988 à 126 ha en 2010[74].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Lumigny-Nesles-Ormeaux, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l’agriculture à Lumigny-Nesles-Ormeaux entre 1988 et 2010.
À l'intérieur de l'église Saint-Pierre (1882-1884) on peut admirer une statue en pierre représentant une Vierge à l'enfant (XIVe siècle. M.H, une huile sur toile (Sainte Claire.M.H 1957) et dix grands vitraux historiés en l'honneur de la famille de Mun.
Château de lumigny (en ruine).
Nesles-la-Gilberde
L'église Notre-Dame de l'Assomption (après le XIIe siècle et modifiée à plusieurs reprises) est située à l'extrémité du village à l'orée des champs. Sous le porche d'entrée se trouve une porte en bois peint et à l'intérieur de l'église un portail roman du XIIe siècle. La cloche date de 1624. Une pierre sculptée représentant le gril du martyre de Saint Laurent est intégrée dans le portail de la ferme située à gauche de l'église, vestige de l'ancien prieuré bénédictin auprès duquel était construite l'église.
Le petit trianon (propriété privé).
Le château de la Fortelle (détruit).
Ormeaux
L'église Saint-Pierre (après le XIIIe siècle) plusieurs fois remaniée, ne serait que le bas-côté de l'édifice d'origine. Plusieurs statues sont visibles à l'intérieur : une Vierge à l'enfant (XVe siècle. Bois et plâtre polychrome), un Saint Pierre (XVe ou XVIe siècle. Pierre polychrome) et un Saint Maclou (XVe siècle. Bois et plâtre polychrome). On accède au clocher par un escalier extérieur couvert. La cloche date de 1765.
Claude-Adrien Helvétius (1715-1771), philosophe du XVIIIe siècle, a été propriétaire du château en 1751.
Albert de Mun (1841–1914), militaire, homme politique et académicien est né au château de Lumigny.
Robert d'Harcourt (1881–1965), intellectuel catholique français est né à Lumigny.
Edita Morris (1902-1988), romancière suédoise, et son mari Ira, écrivain américain, qui ont inspiré la Fondation Hiroshima pour la paix et la culture, résidait à Nesles-la-Gilberde[77].
Événements
Le , un tribunal de Portsmouth a condamné à de la prison ferme une conseillère municipale de Lumigny-Nesles-Ormeaux et son fils pour passage illégal d'immigrants, après la découverte de 16 ressortissants vietnamiens dans leur véhicule à leur arrivée dans la ville[78]. Le , la condamnation a été réduite par la Cour d'appel de Londres à deux ans de prison ferme[79].
Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Lumigny-Nesles-Ormeaux », p. 1333–1338
de Mun, Un château en Seine et Marne 1870, éditions chapitre.com
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ROLAND (Ch. G.) Recueil des chartes de l'Abbaye de Gembloux (1921), p. 5.
↑DEPOIN J. Cartulaire abb. de st-Martin de Pontoise (1895), t.1, part 1 &2, p. 12, n. 83.
↑ abcdefghi et jSTEIN (Henri) HUBERT (Jean) Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne (1954), p. 416.
↑ a et bLONGNON (Aug.) Livre des vassaux du Comté De Champagne et de Brie 1172 - 1222 (1869), t. 7, p. 14, p. 16 n.267, p. 269.
↑MICHELIN (Louis) Essais historiques et statistiques sur le département de Seine et Marne (1841), p. 369.
↑SEVENET (L.A.) Coutume du bailliage de Melun: anciens ressorts & enclaves d'icelui (1768), p. 474.
↑LEMAIRE (M.) Inventaire-sommaire des Archives départementales ant. à 1790 de Seine-et-Marne - arch. civiles, compl. ser. A à E. (1875), t. 3, p. 151a.
↑PLESSIS (Toussaints du) Histoire De L'Eglise De Meaux, Avec Des Notes Ou Dissertations (1731), t. 1, p. 267.