Le territoire de la commune se compose en 2017 de 90,98 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 3,19 % d'espaces ouverts artificialisés et 5,83 % d'espaces construits artificialisés[8].
Merezvilla[9], Merelisvilla au XIe siècle[10], Merevillam en 1190[10], Mereville en 1262[9].
Au XIe siècle, le nom de la ville est rendu par le latin Merervilla, ce qui semble indiquer selon Bernard Gineste, un ancien seigneur du lieu répondant au nom d'origine germanique Merhier (mar-hari), ou Merila[11], bien attesté à l'époque sous la forme latine Marharius, et encore attesté comme patronyme[12]. Le lieu est aussi nommé Merilis dans un document du XIe siècle et Merervilla dans le Liber testanum de Saint-Martin des Champs au début du XIIe siècle[11].
La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel[13].
"La mère-ville" et l'interprétation du nom de la localité ne semble pas concerner le Méréville de la Beauce. L'appellation "Merilis Villa" qui ressemble à l'étymologie du voisin Ansgerii villa (Angerville) semble plus logique. On retrouve d'ailleurs dans certains documents, une appellation de "seigneur de Mérinville".[Information douteuse][14].
La partie la plus élevée du territoire prit le nom de "Bourg Saint Père" par le fait que, pour racheter son excommunication, le seigneur de Méréville y fit installer huit moines venant de Bonneval, dont son frère (d'où "les saints pères" ?). Le territoire de la vallée (château) et celui de la butte (Saint Père), délimités par une croix toujours en place (croix de la Camuse), se réunifieront plus tard.
Histoire
Antiquité et Moyen Âge
La ville de Merervilla au XIe siècle semble tirer son nom de celui d'un ancien seigneur Merier[12].
"Merevillam" de son nom latin, selon une charte de Philippe Auguste de 1198 entérinant le partage d'héritage de Gauthier de Villebéon, était déjà à l'époque de la charte une vieille châtellenie vicomtale. Au Xe siècle elle appartenait aux vicomtes du Puiset qui y possédaient un manoir bien fortifié, dont Henri Ier s'empara à la Saint-Jean de l'été 1042 et dont il démantela les remparts aux dépens du seigneur Hugues Bardoul[15]. Ayant confisqué la seigneurie, il la donna aux vicomtes d'Étampes. En 1104 une fille de Marc d'Étampes, Liesse, la reçut en dot pour son mariage avec Gui du Puiset, troisième fils du vicomte de Chartres Hugues Blavon, qui prit alors le nom de Gui Ier de Méréville. Son fils Hugues Ier de Méréville lui succéda vers 1144 et décéda en 1186. Ses deux fils, Gui II et Hugues II, se fixèrent du côté de Saint-Denis ; puis Gauthier de Villebéon-Nemours acheta Méréville entre 1186 et 1190. En fait, Orson, le fils de Gautier, était marié à une Liesse de Méréville ; il est fort plausible que cette Liesse, qui portait le prénom de la première dame de Méréville, ait été la fille de Gui II - même si son père est parfois cité comme « Guillaume »[16] - et que Gautier de Villebéon ait racheté les parts des cohéritiers de sa bru pour que cette dernière et son époux Orson/Urs(i)on de Nemours jouissent pleinement de Méréville.
En 1255 Jeanne de Méréville, une (arrière)-petite-fille d'Orson et Liesse, en hérita. Par son mariage[17] avec Guillaume IV de Linières[18], Méréville passa alors dans la famille de Lignières en Berry[19], où elle resta jusqu'au milieu du XVe siècle[17], notamment dans la branche cadette fondée par Godemar (II) de Linières († ap. 1386), sire d'Aschères et Rougemont, Marans, Mennetou et Nançay, fils cadet du baron de Lignières Godemar Ier († 1340) et de sa 2e femme Marguerite de Précigny-Laleu, dame de Marans et de Bridoré ; Godemar Ier était lui-même le fils de Guillaume IV de Linières et de Jeanne de Nemours-Méréville.
Godemar (II) de Linières sert notamment en 1367 sous son beau-frère le maréchal Boucicaut ; de sa femme Jeanne, fille de Louis Ierde Brossede Boussac, il a entre autres enfants : Godemar (III) († 1396 au voyage de Hongrie qui mena au désastre de Nicopolis), Jean de Linières évêque de Viviers en 1406-1442, et Isabeau, épouse de Jean de Châteauneuf. Godemar (III) et sa femme Agnès Trousseau, fille du vicomte de Bourges Jacques Trousseau et de Philippe de La Châtre, ont Godemar (IV) († ap. 1405), Marguerite (x Jean d'Argenton), Françoise (x Jean de Gamachesde Rosemont), et l'héritière Jeanne de Linières, dame de Mennetou et de Méréville vers 1401, qui marie 1° 1411 Jean de Brisay, puis 2° Dreux de Voudenay/de Vaudenay sire de la Motte-S(e)ully (ou La Motte-Feuilly, plutôt que la Motte-Sully à Beaujeu ; les Voudenay avaient ce bien d'une alliance avec les Sully-Beaujeu-La Cordille).
Les Voudenay héritèrent donc de Mennetou, mais pas de Méréville, que Jeanne de Linières avait dû vendre en 1446 à Aignan II de Saint-Mesmin pour payer ses dettes et procès. Les Saint-Mesmin ne gardèrent pas Méréville, qui dès 1456 passa aux Reilhacde Brigueil, dits désormais vicomtes de Mérinville, suivis par leurs descendants des Monstiers (ou des Moustiers ; à cette famille appartenaient les évêques Charles-François et René)[20].
Il y eut encore une cession en 1688, au profit des Delpech (dont Jean Delpech, † 1737, conseiller de Grand'Chambre au Parlement) qui devinrent marquis de Mérinville en 1709 (le titre de comte de Mérinville restant attaché depuis 1775 à une possession languedocienne des Monstiers, Rieux).
En 1945, paraît un roman d'un jeune professeur, enfant du pays, Jean-Louis Bory. Mon village à l'heure allemande retrace la vie (avec ses détails truculents) des Mérévillois durant les six derniers mois de l'Occupation. Avec le soutien de la Grande Colette, il obtiendra le prix Goncourt 1945.
Fusion de communes
Les communes de Méréville, Estouches et Monnerville ont envisagé en 2016 de fusionner en formant une commune nouvelle[23]. Si le conseil municipal de Monnerville a finalement refusé de participer à la fusion, ceux de Méréville et Estouches ont confirmé en leur volonté de constituer la commune nouvelle du Mérévillois au [24]. Le , le préfet de l'Essonne a signé l'arrêté de création de la commune nouvelle « Le Mérévillois » entre les communes de Méréville et Estouches.
La commune nouvelle est effective au [25], et Méréville est devenue à cette date une commune déléguée du Mérévillois.
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Les communes de Méréville, Estouches et Monnerville ont envisagé en 2016 de fusionner en formant une commune nouvelle[23]. Si le conseil municipal de Monnerville a finalement refusé de participer à la fusion, ceux de Méréville et Estouches ont confirmé en leur volonté de constituer la commune nouvelle du Mérévillois au [24]. Le , le préfet de l'Essonne a signé l'arrêté de création de la commune nouvelle « Le Mérévillois » entre les communes de Méréville et Estouches. La commune nouvelle sera effective au [25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2016, la commune comptait 3 129 habitants[Note 1], en évolution de −2,86 % par rapport à 2010 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2019, Méréville possède 2 terrains de football, 1 terrain de basket-ball, 1 piste athlétique, un terrain multi-activités, 1 gymnase, 3 terrains de tennis plein air, 1 terrain de tennis couvert et 1 piscine découverte (ouverte seulement l'été).
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En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 323 €, ce qui plaçait la commune au 4 365e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au 167e rang départemental[61].
Le cresson est cultivé sur les berges de la Juine depuis plus d'un siècle[66]. Les cressonnières sont en effet un élément remarquable du paysage, labellisées « paysage de reconquête » depuis 1992 par le ministère de l'Environnement, et classées « Site remarquable du goût »[67].
Le département de l'Essonne est un producteur de cresson de référence : une émission télévisée de France 2 a ainsi présenté en 2017 une visite d'un cressiculteur de Méréville[68].
En 2016[réf. nécessaire], Méréville reçoit à nouveau le label « Site remarquable du goût » et est nommée « Capitale européenne du Cresson ». Fin , la pratique culturale de ce légume à Méréville est entrée à l'inventaire national du patrimoine culturel immatériel sous la référence 2017_67717_INV_PCI_FRANCE_00378.
Patrimoine architectural
La halle du début de la Renaissance (env. 1511), son château et son parc, la Colonne Trajane et le lavoir du XVIIIe siècle sont les principaux éléments du patrimoine de la commune.
Au début du XVIe siècle, Louis XII accorde au seigneur local, Bertrand de Reilhac, le droit de tenir quatre foires annuelles ainsi qu'un marché par semaine. Ce dernier fit alors édifier la halle que l'on peut encore admirer de nos jours. Ses proportions sont vastes (40 m x 18 m). Sa charpente et ses quatre rangées de piliers sont en chêne. L'ensemble repose sur des socles de pierre.
La halle accueille aujourd'hui de grandes manifestations culturelles (concerts, opéras, potiers d'art, etc.). Elle est classée aux monuments historiques depuis le [69]. Fête annuelle le week-end de Pâques.
Le château de Méréville
Le château de Méréville est la propriété du conseil départemental de l’Essonne depuis , le domaine de Méréville avec ses fabriques de jardin s'apprécie comme le dernier exemple de jardin pittoresque réalisé à la fin du XVIIIe siècle[70]. Ses démembrements sont soit inscrits soit classés au titre des monuments historiques au fil des années entre 1977 et 2003[71],[72].
La Colonne Trajane
Acquise par la commune le [réf. nécessaire] et classée monument historique depuis le , la colonne partie des fabriques du parc du château. Elle fut construite par l'entrepreneur Pailhet entre 1791 et 1792 d'après un dessin d'Hubert Robert qui la nommait « Obélisque antique » et s'était inspiré de la colonne à décoration sculptée qui fut dédiée en 113 par le Sénat romain à l'empereur Trajan.
Haute de 100 pieds (33 mètres), il faut gravir 199 marches pour atteindre le sommet. En 1793, elle fut utilisée par Delambre et son assistant Bellet pour des opérations de mesures de l'arc du méridien terrestre qui devaient servir à déterminer le mètre-étalon (calculé comme la dix millionième partie du quart du méridien terrestre). L'entrée est actuellement gratuite. La colonne offre un panorama à 360° de la Beauce.
Le lavoir, comme le Moulin du pont, faisait partie des fabriques du parc de Méréville. Il y a quelques décennies, il était encore le lieu de rendez-vous des Mérévilloises qui lavaient leur linge en commentant l'actualité du village : l'écrivain Jean-Louis Bory nous a laissé de truculentes descriptions de ces scènes. Situé au bord de la Juine, dans un cadre des plus pittoresques, le lavoir fut classé au titre des monuments historiques en 1977.
L'église Saint-Pierre-ès-Liens
Le clocher, accolé à l'église, fut réalisé en deux périodes, romane au XIIe siècle puis rehaussé au début du gothique au XVIe siècle en même temps que le plan général prenait forme de basilique tout en conservant ses ouvertures de style roman. Il reste de l'époque carolingienne des morceaux des bas-côtés. La nef fut rehaussée au XVIe siècle et elle connut de nombreuses réparations liées à la guerre de Cent Ans, aux guerres de religion, à un ouragan au XVIIe siècle, mais surtout à la Révolution française qui en fit une salpêtrière. La voûte s'effondra en 1799 pour n'être relevée, autant que possible à l'identique, qu'en 1824, cette restauration correspondant au retour des propriétaires du château et de leurs successeurs (familles de Laborde et de Saint-Roman).
En , un incendie d'une crèche de Noël endommagea l'intérieur de l'église. Les orientations de Vatican II furent donc appliquées, ce qui valut à l'église un aménagement très dépouillé.
En 1942, Philippe Cara Costea, natif de Méréville, fils du médecin local, avait offert les deux premiers vitraux contemporains (ceux du chœur). En 1970, il la grande Croix de 6 m de hauteur, sculptée en creux, située derrière le nouveau maître-autel central, dans le cadre des restaurations. En 1998, il crée les douze vitraux contemporains manquants, représentant des événements marquants de la vie de Jésus (Rosaire), vitraux qu'il avait dessinés 55 ans plus tôt.
En plus de la "Trilogie Caracostea", des objets ayant survécu à l'incendie furent restaurés.
Des tableaux religieux des XVIIe et XVIIIe siècles ornent les fonts baptismaux et la nef centrale. Au moins trois sont des objets monuments historiques[74]. Ils furent soit donnés par des pèlerins de retour de Saint-Jacques de Compostelle, soit offerts par les descendants de la famille de Laborde.
Quatre vitraux du XIXe siècle se trouvent sur les bas-côtés.
Le clocher de l'église.
La nef de l'église.
Le tableau de saint Sébastien et saint Éloi Classé MH
Les armes de Méréville reprennent le blason de la famille de Laborde et furent offerts par celle-ci en 1940 avec la devise "Ex Parvo Multum" (De peu…(faire)…beaucoup)
L'artiste peintreHubert Robert (1733-1808) réalisa une toile intitulée Vue d'un parc avec un pont, représentant le parc de Méréville, aujourd'hui conservé au musée des Beaux-Arts de Rouen[77]. Architecte-paysager de grand talent, il fut invité à séjourner à Méréville par le marquis de Laborde, afin d'y réaliser le parc romantique (jardins à l'anglaise) qui porte son nom.
L'incendie de l'église Saint-Pierre-ès-Liens en 1959 a engendré une « restauration moderne ». S'est ainsi exprimé le peintre sculpteur Philippe Cara Costea, natif du village, ami de Philippe Lejeune (fondateur de l'École de peinture d'Étampes), de J.-L. Bory et de Geneviève Dormann écrivains. Entre 1970 et 2006 sont ainsi créés la Grande Croix, 12 vitraux et les 14 stations du chemin de croix.
Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN2-84234-126-0), « Méréville », p. 665–679
abbé C. Bernois, Histoire de Méréville (Seine-et-Oise) et de ses seigneurs,
Collectif d'auteurs, La Révolution en Essonne : Méréville de la Révolution à nos jours, t. II, Le Mée-sur-Seine, Amattéis, (ISBN978-2-86849-068-1, LCCN89210826)
Jean-Paul Lagadec, D'Amerelli Villa à Méréville, Bibliothèque de Méréville, (ISBN978-2-9516514-0-1)
François d'Ormesson et Pierre Wittmer, Aux jardins de Méréville : Une promenade aux jardins de Méréville sous la IIIe République, 1895-1905, , 131 p. (ISBN978-2-913440-01-2)
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
↑ a et bHippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
↑ a et bErnest Nègre, Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 943
↑ a et bJean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de Paris et sa banlieue (91-92-93-94-95), Nouvelles Éditions Bordessoules, , 350 p. (ISBN978-2-916344-41-6), p. 227.
↑ a et bBernard Gineste, « Merervilla, Méréville », in Corpus Etampois
↑« Maison de Linières, p. 834-838, notamment p. 837-838 », sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. VII, par les Pères Anselme, Ange et Simplicien, et Honoré Caille du Fourny, à la Compagnie des Libraires associés, à Paris, 1733.
↑Ch. Lansel, Méréville, son château et son parc, Paris, Éd. J. Dumaine, 1877.
Jean-Luc Maeso, Jacqueline Salmon (photographe), Sensations vagabondes à Méréville, dans Le Monde 2, no 42, supplément au Monde no 18618 du samedi 4 décembre 2004, p. 46-51.
↑Georges Ferrand (maire de Méréville): "Sur l'Occupation et la Libération de Méréville (notes du 6 septembre et du 4 décembre 1944)", in Corpus Etampois
↑ a et bCécile Chevallier, « Communes nouvelles : trois mariages en vue dans le sud de l’Essonne », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bMarie-Charlotte Dutheil, « Essonne : Méréville et Estouches s’unissent, vive Le Mérévillois ! », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )« Une décision entérinée par les deux conseils municipaux il y a quelques jours, et dont les deux maires se félicitent. « C’est une annonce extrêmement importante, affirme Guy Desmurs, édile (SE) de Méréville. C’est d’ailleurs une première dans l’Essonne. À l’exception du cas d’Évry et Courcouronnes (NDLR : les deux communes ont annoncé leur fusion en début d’année), bien sûr. Nous n’avons rien à y perdre, et eux tout à y gagner. » « Les rares personnes opposées au projet l’étaient pour des raisons fiscales. Mais l’harmonisation, nécessaire, entre nos taux et les leurs se fera sur douze ans, renchérit son homologue (SE) d’Estouches, David Loignon. Et nos enfants étant scolarisés à Méréville, cette commune nouvelle nous permettra par exemple d’économiser les frais d’écolage ».
↑« À Méréville, Guy Desmurs apprend à gérer son temps », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le )« Depuis qu'il a remporté les municipales au second tour avec 49,40 % des voix, un peu à la surprise générale devant la liste (SE) de la première adjointe sortante Colette Thourigny et l'autre liste de menée par Jean-Pierre Dubois (SE), Guy Desmurs a pu constater que beaucoup de choses étaient différentes entre être adjoint et maire ».
↑Nolwenn Cosson, « Essonne : Guy Desmurs devient le premier maire du Mérévillois : L’élection a été organisée ce mardi soir lors du premier conseil municipal de la commune nouvelle, née de la fusion de Méréville et d’Estouches », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le )« Cette commune nouvelle est née le dernier de la fusion des municipalités de Méréville (3 200 habitants) et d’Estouches (250 habitants) ».
↑«...J'ai vu à Courcelles, Cendrars dans un endroit où il y a du cresson, des amphores celtiques et des libellules bleues...» Ch.-A. Cingria, lettre à son frère, 17 août 1917.