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La Bourse de Montréal veut instaurer un marché de produits dérivés environnementaux.
Les mécanismes de la finance du carbone permettent un résultat global à un coût inférieur à ce qui aurait été requis pour des investissements dans des secteurs où les technologies propres sont moins développées ou plus dispendieuses.
Le gouvernement fédéral conservateur a proposé le Cadre règlementaire sur les émissions atmosphériques au printemps 2007, document qui respecte les conditions minimales pour permettre le lancement d'un contrat à terme lié aux émissions de carbone.
Le Marché climatique de Montréal (MCeX) annonça le le lancement, d'un contrat à terme liés à des crédits canadiens d'émissions de gaz à effet de serre. Les premières transactions eurent lieu le .
La Bourse de Montréal presse plus particulièrement Ottawa de fournir à l'industrie "une plus grande certitude en matière de politique quant aux objectifs de réduction des émissions et à la définition d'une norme unique relativement aux crédits échangeables" [1].
La Bourse retire finalement de la cote le contrat à terme du MCeX permettant de fixer le prix d'une tonne de carbone au Canada, en date du , considérant l'impasse dans lequel se situe le cadre du système réglementé.