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Marie-Christine de Montbrial, née Balling, est la fille de Charles Balling, polytechnicien[2],[3], et la petite-fille de Jules Aubrun, polytechnicien[4].
En 1984, Guy Debord révèle la conversation, primordiale selon lui, entre Francis Ryck et Marie-Christine de Montbrial, concernant l'assassinat de Gérard Lebovici et le rôle de Paul Barril responsable de la cellule antiterroriste sous la présidence de François Mitterrand[6]. Le , Debord décide ne plus la voir au prétexte[7] de contacts qu'elle aurait conservés avec Ryck[8]. Elle prévoyait d'aider Debord à commercialiser son jeu de la guerre : Kriegspiel, (Le Jeu de la guerre)[9].
De 1987 à 2004, elle dirige Radio Days, société d‘éditions musicales. En 1990, elle est élue au comité directeur de la chambre syndicale des producteurs et exportateurs de films français, présidée par Alain Poiré, puis de 1992 à 1995, aux commissions d'aide à la création de la Procirep. De 1993 à 1998, elle est membre du comité français pour l’audiovisuel présidé par le sénateur Jean Cluzel, de l’Académie des sciences morales et politiques, du comité de sélection du prix attribué par ce comité avec Henri Pigeat, ancien président de l’AFP puis associée d'Euromax à Londres et membre de Large Format Cinema Association à Los Angeles[10].
1984 : Fanny et Alexandre, d’Ingmar BergmanQuatre Oscars à Hollywood, dont meilleur film et meilleur réalisateur. César du meilleur film étranger en France.
↑Ouvrir la « Page d’accueil », sur le site de la bibliothèque de l’École polytechnique, Palaiseau (consulté le ), sélectionner l’onglet « Catalogues de la BCX –> Famille polytechnicienne », effectuer la recherche sur « Charles Balling », résultat obtenu : « Balling, Charles Paul Louis (X 1935 ; 1912-2007) ».