Ben Barber est sur le point de se marier avec Angela, la sœur du policier James Payton. Bien qu'il soit accepté à l'académie de police, James refuse de donner sa bénédiction pour le mariage, bénédiction importante aux yeux d'Angela. Le policier décide néanmoins d'emmener Ben avec lui pendant une journée de patrouille dans Atlanta pour le jauger...
Fiche technique
Source principale : IMDB (cf. lien externe), sauf mentions contraires
Mise à l'épreuve fait l'objet d'une réception critique mitigée dans son pays de provenance ; le site Metacritic, à partir de 34 critiques de presse, le crédite d'une note de 41/100[6]. USA Today livre une critique plutôt positive du film : Scott Bowles note un « scénario paresseux » mais encense le jeu de l'acteur Kevin Hart : « Hart est un peu comme Murphy : baratineur, espiègle et irrésistible[7]. »The Washington Post, s'il estime que le film n'a rien de « mémorable », relève également la prestation comique de Kevin Hart[8]. Le quotidien New York Post, dans une critique acérée, estime que « le film dépend totalement de combien Kevin Hart vous semble drôle »[9]. The Times se fait tout aussi sévère, regrettant que le film ne se laisse regarder que dans un état de « léthargie »[10].
En France
En France, Mise à l'épreuve est globalement mal reçu par la presse. Il reçoit du site Internet Allociné une note d'1,8/5 à partir de quatre critiques de presse[11]. Le Monde y voit « une comédie lourdaude et poussive »[12]. Christophe Narbonne, critique du magazine Première, estime que « ce buddy cop movie semble sortir tout droit des années 90 (scènes d’action lourdingues, blagues pourries interminables pour combler le vide) » et met en doute les talents humoristiques de l'acteur Kevin Hart[13].
Box-office
Malgré les critiques de presse mitigées, le film, sorti le , aux États-Unis, rapporte 41 237 000 $ pour son premier week-end d'exploitation dans 2 663 salles[14], ce qui fait le meilleur démarrage aux États-Unis pour un mois de janvier[1], devant Cloverfield[15] et la deuxième meilleure moyenne par salle pour un démarrage en janvier, après la resortie de Star Wars, édition spéciale en 1997[16], avec 15 485 $/salle, contre 17 065 $/salle.