Le territoire de la commune se situe au sud du Massif central. Il s'étend sur une partie de l'un des versants sud du Lévézou, depuis la crête du massif jusqu'aux vallées du Tarn et de son affluent la Muze.
La commune est drainée par le Tarn, la Muze, le ruisseau de Prat Long, le ravin de Rocazel, le ruisseau de Candadès, le ruisseau de la Salesse, le ruisseau de Matazou, le ruisseau de Rigoulet, le ruisseau de Rivière Vieille, le ruisseau de Valos, le ruisseau rocazel et par divers petits cours d'eau[1].
La Muze, d'une longueur totale de 29,3 km, prend sa source dans la commune de Vézins-de-Lévézou et se jette dans le Tarn à Montjaux, après avoir arrosé 6 communes[3].
La commune fait partie du SAGE Tarn amont, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le territoire de ce SAGE concerne une partie des bassins du Tarn de l’Aveyron et de l’Agout. Il couvre 69 communes, sur trois départements (Aveyron, Gard et Lozère) et deux régions, pour une superficie de 2 700 km2[5],[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE et du contrat de rivière du Tarn-amont associé sont assurés par le Syndicat mixte du bassin versant du Tarn-amont (SMBVTAM), qualifié de « structure porteuse ». Cet organisme a été créé le et est constitué de neuf communautés de communes[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 185 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Salles-Curan à 13 km à vol d'oiseau[10], est de 9,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 085,0 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[15],[16],[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Montjaux comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1],[18],
la « Rivière Tarn (partie Aveyron) » (2 381 ha), couvrant 41 communes dont 25 dans l'Aveyron et 16 dans le Tarn[19]
et la « Vallée du Tarn et de la Muze à Saint-Rome et montjaux » (3 336 ha), couvrant 5 communes du département[20]
et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[18],
la « Vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), qui s'étend sur 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, 1 dans la Lozère et 25 dans le Tarn[21].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Montjaux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[22].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Millau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (44 %), prairies (21,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,2 %), terres arables (2,8 %), zones urbanisées (0,9 %)[25].
Le territoire de la commune de Montjaux est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible).
Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[28],[29].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Tarn. Un plan des surfaces submersibles (PSS), premier document cartographique réglementant l'occupation du sol en zone inondable pour les cours d'eau domaniaux, a été établi en 1964. Compte tenu du peu d’enjeux exposés à ces inondations, aucun plan de prévention du risque d’inondation n’a été prescrit[28]. Néanmoins la loi Barnier du confère aux PSS un statut de plan de prévention des risques (PPR ), les rendant par conséquent opposables au tiers et faisant entrer le territoire de la commune dans le champ d'application de l'obligation d'information des acquéreurs locataires[30].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[31].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[32],[33].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].
Risques particuliers
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[35].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Montjaux est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].
Toponymie
Composé du latin mons (« mont ») et du latin Jovis (« de Jupiter »).
Histoire
Préhistoire et Antiquité
La commune de Montjaux conserve de nombreux sites préhistoriques, avec des dolmens et des tumuli. Son nom même proviendrait du latin, mons Jovis, le mont de Jupiter, d'où l'hypothèse d'un temple sur le sommet qui domine le village.
Moyen Âge
Au Moyen Âge, un château fort fut bâti sur ce sommet, dominant un important bourg fortifié. L'église Saint-Cyrice-et-Sainte-Julitte conserve une architecture romane[39], qui témoigne de la prospérité ancienne du lieu, comme les vestiges de demeures villageoises. Au XVe siècle, les seigneurs firent construire un nouveau château, plus proche du bourg, sur le chemin important reliant Saint-Rome-de-Tarn à Salles-Curan[40]. Alors que le lieu et la paroisse de Candas dépendaient de la seigneurie de Montjaux, Roquetaillade et Marzials constituaient une entité distincte. Le patrimoine conservé dans ces deux lieux témoigne également de leur richesse (château et église de Roquetaillade, remparts et maisons de Marzials). La vigne était l'activité agricole la plus rémunératrice du territoire. Comme dans toute la région, la guerre de Cent Ans aux XIVe et XVe siècles et les guerres de Religion au XVIe siècle sont des périodes de violence et d'insécurité rythmées par les sièges et les coups de force de bandes de pillards[41].
Époque moderne
Les XVIIe et XVIIIe siècles se caractérisent par l'intégration progressive dans le cadre centralisé de la monarchie absolutiste.
Époque contemporaine
La Révolution française a aboli les privilèges de la noblesse et du clergé, mais les familles seigneuriales, les Raymond de Montjaux et les Julien de Roquetaillade, ainsi que l'Église, ont conservé une place prééminente dans la vie locale jusqu'au cœur du XXe siècle. Au XIXe siècle, l'expansion de la ganterie millavoise a offert du travail aux femmes des campagnes environnantes, jusqu'au milieu du XXe siècle. La croissance de la production du Roquefort a également contribué à l'activité de la région. Par contre, la commune a été fortement affectée par la crise de phylloxéra de 1883-1884 qui a accéléré l'exode rural amorcé au XIXe siècle. La saignée de la Première Guerre mondiale a accentué le déclin, qui s'est poursuivi depuis[41]. L'arrivée de néo-ruraux (les hippies des années 1970 et d'autres plus récemment), l'achat de résidences secondaires par des habitants d'Europe du Nord (Belges, Hollandais, Britanniques, Allemands), le tourisme vert et l'installation de couples travaillant à Millau ou à Saint-Affrique permettent le maintien d'une vie villageoise, malgré le dépeuplement et le vieillissement de la population.
Le conseil municipal de Montjaux, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[44] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[45]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[46] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 58,48 %[47].
Colette Lembert est élue nouvelle maire de la commune le [48].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[49]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes de la Muse et des Raspes du Tarn[50].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[54].
En 2021, la commune comptait 431 habitants[Note 4], en évolution de +13,12 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 256 personnes, parmi lesquelles on compte 73,8 % d'actifs (65,2 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 26,2 % d'inactifs[Note 6],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Millau, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 69 emplois en 2018, contre 81 en 2013 et 75 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 171, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,5 %[I 8].
Sur ces 171 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 61 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 84,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
32 établissements[Note 7] sont implantés à Montjaux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 11].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
32
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
6
18,8 %
(17,7 %)
Construction
6
18,8 %
(13 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
5
15,6 %
(27,5 %)
Information et communication
1
3,1 %
(1,5 %)
Activités financières et d'assurance
1
3,1 %
(3,4 %)
Activités immobilières
1
3,1 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
4
12,5 %
(12,4 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
3
9,4 %
(12,7 %)
Autres activités de services
5
15,6 %
(7,8 %)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 18,8 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 32 entreprises implantées à Montjaux), contre 13 % au niveau départemental[I 12].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 22 en 2000 puis à 25 en 2010[59] et enfin à 21 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 38 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[60],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 121 ha en 1988 à 1 076 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 51 ha[59].
Les armes de la commune de Montjaux se blasonnent ainsi : Tiercé en pairle renversé : au 1er de gueules au léopard lionné d'or, au 2e d'argent à la tour d'azur ouverte et ajourée du champ, au 3e de sinople au dolmen d'argent.
Bibliographie
Pauline de La Malène, Parcours romans en Rouergue : 41 parcours sud-ouest, sud-est, t. 2, Rodez, Éd. du Rouergue, , 495 p., ill. en coul., cartes, couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN978-2-8126-0035-7, BNF42116450)
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Armand Vernhettes), Sent-Bausèli : Castelnòu, Mont Jòus, Verrièiras, Lo Vialar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Bausèli, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN2-907279-34-3, ISSN1151-8375, BNF36988822)
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Pauline de La Malène, Parcours romans en Rouergue : 41 parcours sud-ouest, sud-est, t. 2, Rodez, Éd. du Rouergue, , 495 p., ill. en coul., cartes, couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN978-2-8126-0035-7, BNF42116450), p. 288
↑Christian-Pierre Bedel (préf. Armand Vernhettes), Sent-Bausèli : Castelnòu, Mont Jòus, Verrièiras, Lo Vialar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Bausèli, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN2-907279-34-3, ISSN1151-8375, BNF36988822), p. 15
↑ a et bHenri Enjalbert (Directeur de publication) et Gérard Cholvy (Directeur de publication), Histoire du Rouergue : Éd. mise à jour, Toulouse, Privat, coll. « Univers de la France et des pays francophones », , 512 p., ill., couv. ill. en coul. ; 23 cm (ISBN2-7089-1689-0, ISSN0768-4258, BNF34955682)