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Mwezé Ngangura débarque à vingt ans en Belgique et réalise, pendant ses études à l'Institut des arts de diffusion (IAD), Tamtam-électronique et Rhythm and blood, deux courts métrages.
En 1994, il signe un documentaire : Lettre à Makura : Les derniers Bruxellois, le regard d'un ethnologue africain sur les marolliens, leurs us et coutumes[4].
1987 : La Vie est belle, Un film de Benoît Lamy et Ngangura Mweze, avec Papa Wemba, Krubwa Bibi, Landu Nzunzimbu, Kanku Kasongo, Lokinda Mengi Feza... . Belgique ; Congo, 1987, 80 min.
1992 : Changa-Changa, Rythmes en noirs et blancs, 60 min
1994 : Le Roi, la vache et le bananier : Chronique d'un retour au Royaume de Ngweshe, 60 min
1995 : Lettre à Makura : les derniers Bruxellois, 26 min
1997 : Le Général Tombeur, Sol'oeil films, 1997, 27 min.
1998 : Pièces d'identités, Fiction de Mweze Dieudonné Ngangura, 1998, 97 min. Production : Bruxelles : Films Sud ; Paris : Pétrouchka Films ; Kinshasa : Sol'oeil Films. Avec la collaboration de Papa Wemba.