Nissan préféra supprimer les deux segments des compactes et familiales et assure la vraie succession, en Europe, des Almera et Primera, par un seul SUV compact, le Nissan Qashqai[3].
Fin 2014, Nissan réintègre le segment des compactes car malgré la progression des crossovers et SUV, de nombreuses compactes traditionnelles réalisent toujours des volumes de vente non-négligeables (Seat Léon, Volkswagen Golf, Peugeot 308, Ford Focus, Citroën C4,...). Cela fait plus de 8 ans que le segment des compactes Nissan a été supprimé pour laisser le champ libre au Qashqai. Nissan souhaite donc créer une nouvelle berline compacte en ressuscitant le nom de Pulsar[4]. Cette génération de Pulsar est également appelée Pulsar C13. Le nom de code du modèle en interne lors de sa conception était B12L[5].
La Pulsar se situe entre la Nissan Note et le Nissan Qashqai.
C'est un modèle qui reprend tous les codes stylistiques dynamiques de la marque mais qui manque peut-être de personnalité pour prendre des parts de marchés aux ténors de la catégorie.
Nissan arrête la production de la Nissan Pulsar dans son usine proche de Barcelone (Espagne) en [6]. L'accroissement de la demande pour les SUV, la diminution du marché des compactes traditionnelles et l'incapacité de la Pulsar à atteindre les volumes de ventes des leaders du segment[7] ont contraint Nissan de se concentrer sur les Qashqai et renouvellement du Juke, sans même passer par la case restylage[8].
Caractéristiques
Motorisations
La Pulsar est proposées avec deux blocs moteurs, un bloc essence DIG-T de 115 ch ou un diesel dCi 110 ch. Mais si Pulsar Nismo présentée au dernier Mondial de Paris n'est encore qu'un concept, la compacte adoptera le moteur essence 1.6 DIG-T de 190 ch du Juke.
Finition
La Pulsar reprend les finitions classiques Nissan: Visia / Accent / Connect Edition / Tekna.
Série limitée
En , la Pulsar reçoit une série limitée à 180 exemplaires réservée au marché français nommée Nissan Pulsar Starlight Edition[9].