L'Office des chemins de fer algériens (Office CFA) est créé le [1] pour exploiter le réseau de chemins de fer algérien. L'Office CFA disparaît le , remplacé par la Société nationale des chemins de fer français en Algérie à la suite d'une convention du avec l'Etat[2].
Les réseaux des deux compagnies sont alors nationalisés et rattachés à la Société nationale des chemins de fer français (SNCF). L'exploitation du réseau algérien est confiée le à l'Office des chemins de fer algériens.
Les voies de ces réseaux sont à trois écartements différents : standard (1 435 mm) sur les grandes lignes, 1 mètre sur les lignes secondaires de l'est algérien, 1 055 mm sur les lignes secondaires de l'ouest algérien.
Évolution du réseau
L'objectif est de réduire le réseau à voie étroite en transformant les lignes à gros trafic à l'écartement normal,
et en abandonnant l'exploitation des lignes peu rentables,
Oued Kébérit – Tébessa (68,2km): transformation de la voie métrique à l'écartement normal en 1942,
Tébessa – El Kouif (24,8km): transformation de la voie métrique à l'écartement normal en 1946,
Oued Kébérit – El Kouif (95 km): électrification en 1951,
Souk Ahras – Tarja (8,5km): électrification en 1951,
Biskra – Touggourt (217km): transformation de la voie métrique à l'écartement normal mis en service le 20 décembre 1957
↑« Décret n° 63-183 du 16 mai 1963 approuvant les modifications statutaires de la société nationale des chemins de fer algériens », Journal Officiel de la République Algérienne, (lire en ligne)