Durant son gouvernement et avec son autorisation au moins 3 000 ouvriers du salpêtre sont assassinés, ce qu'il est connu comme le « massacre de l'École Santa María de Iquique », en la ville d'Iquique au nord du Chili. Ces ouvriers sollicitaient des améliorations dans les conditions de travail, ce massacre est avec la dictature militaire de Augusto Pinochet, l'un des faits les plus sanglants de l'histoire du Chili.
La presse est par ailleurs censurée sous son gouvernement[1].
Notes et références
Références
↑« Chili, 1907, Santa María de Iquique », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le )