Petit Anjou
Un train en gare de Bécon les Granits
Type	chemin de fer secondaire
Lignes	6
Écartement des rails	métrique
Exploitant	CFA ; SE
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Le Petit Anjou était un réseau de chemin de fer secondaire à voie métrique, situé dans les départements de la Loire-Atlantique (anciennement Loire-Inférieure) et du Maine-et-Loire, mis en service de 1893 à 1910 et fermé en 1948. Il a d'abord été exploité par la Compagnie des Chemins de fer de l'Anjou puis, à partir de 1928, par la Société générale des chemins de fer économiques (SE).

Le 9 août 1894, est déclaré d'utilité publique, dans les départements de la Loire-Inférieure et de Maine-et-Loire, un chemin de fer d'intérêt local à voie métrique, de Nantes à Cholet, avec embranchement de Beaupréau à Chalonnes-sur-Loire. La compagnie des chemins de fer d'intérêt local de l'Anjou, société anonyme au capital de 1 200 000 francs, dont le siège est à Angers, 4, rue Saint-Léonard, est créée pour exploiter le réseau. M. Faugère, est président du conseil d'administration de cette société^[1].

Après la Première Guerre mondiale, le réseau subit la concurrence routière, celle-ci augmentant avec l'amélioration des routes et de l'évolution de la technique. Le Petit Anjou reste exploité avec des trains à vapeur mixtes assurant le service des voyageurs et des marchandises.

Après avoir assuré en 1924 sur une des lignes du réseau un service rapide au moyen d'une automotrice De Dion-Bouton JM1 tout en maintenant les trains mixtes, la décision est prise en 1929 de séparer le trafic des marchandises et celui des voyageurs en utilisant des trains à vapeur plus légers et des automotrices De Dion-Bouton JM.

Les premières fermetures de lignes aux services des voyageurs interviennent entre 1935 et 1937 entre Cholet et Saumur, Angers et Candé, Baugé et Noyant. Le trafic reprend au début la guerre.

En 1947, la plupart des lignes sont définitivement fermées à l'exception de celle d'Angers à Baugé exploitée jusqu'en 1948.

Le matériel est ensuite détruit à l'exception des automotrices Brissonneau et Lotz revendues au département du Doubs et des remorques à ceux de la Nièvre et de l'Allier.

Seule subsiste alors une portion de la ligne de Candé longue de 20 km , entre Angers et Bécon-les-Granits, exploitée à titre d'embranchement industriel pour la desserte des carrières, le transport de pavés et de bordures de trottoir. Le trafic cesse définitivement le 22 février 1955.

Ce réseau était composé des lignes suivantes :

1. Ligne d'Angers à Noyant - Méon (66 km), la première ligne ouverte en 1893.

Schéma de la ligne Légende Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers Nantes Ligne de Angers à Candé vers Candé Angers (gare Saint-Laud et gare d'Anjou) Angers-Noyers Angers-Maître-École Ligne du Mans à Angers-Maître-École vers Le Mans Ligne de Loudun à Angers-Maître-École vers Loudun Ligne d'Angers-Saint-Laud à La Flèche vers La Flèche Saint-Léonard (Angers) Malacquais (Angers) Trélazé (gares d'Anjou et Paris-Orléans) Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers St-Nazaire Brain-sur-l'Authion Andard Rézeau (Andard) Corné Cornillé-Bauné Corné Mazé Pont sur le Couasnon Moulines (Beaufort-en-Vallée) Beaufort-en-Vallée Le Petit-Princé (Beaufort-en-Vallée) Fontaine-Guérin Le Moulin du Pin (Fontaine-Guérin) Les Alleux (Le Vieil-Baugé) Ligne de La Flèche à Vivy vers Vivy Baugé Ligne de La Flèche à Vivy vers La Flèche Pontigné Le Bouchet (Lasse) Lasse Auverse Noyant-Bourg Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean vers Bordeaux Noyant-Méon Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean vers Chartres

2. Ligne de Cholet à Saumur (81 km), la seconde ligne à avoir été ouverte en 1896.

Schéma de la ligne Légende Ligne de Nantes à Cholet vers Nantes Ligne de La Possonnière à Niort vers La Possonnière Ligne de Clisson à Cholet vers Clisson Cholet Ligne de La Possonnière à Niort vers Niort Nuaillé Les Poteries Vezins Pont sur la Lys Coron Pont sur la Lys Saint-Hilaire-du-Bois Vihiers Les Cerqueux-sous-Passavant Carrière de Cléré-sur-Layon Cléré Passavant Nueil-sur-Layon Ligné (Les Verchers-sur-Layon) Pont sur le Layon Les Verchers-sur-Layon Ligne de Loudun à Angers-Maître-École vers Loudun Baugé-les-Fours (Doué-la-Fontaine) Baugé-État (Doué-la-Fontaine) Ligne de Loudun à Angers-Maître-École vers Angers Doué-la-Fontaine Douces (Doué-la-Fontaine) Monfort-Cizay (Cizay-la-Madeleine) Courchamps Le Coudray-Macouard Munet (Distré) Pont sur le Thouet Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean vers Bordeaux Chacé Nantilly (Saumur) Ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean vers Chartres Saumur-Rive-Gauche Tête de ligne

3. Ligne de Nantes à Cholet (80 km) ; l'étoile de Beaupréau entre Beaupréau et Cholet, Beaupréau et Chalonnes-sur-Loire, Beaupréau et Nantes est ouverte en 1899.

Schéma de la ligne Légende Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers St-Nazaire Nantes (gare d'Orléans et Gare d'Anjou-voyageurs) Gare d'Anjou-Marchandises Ligne de Segré à Nantes-État vers Nantes-État Ligne de Segré à Nantes-État vers Segré Ligne de Nantes à Châteaubriant vers Châteaubriant Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers Tours Pont de Vendée-Madeleine (Loire) (322m) Pont de Vendée-Pirmil (Loire) (255m) Pont sur la Loire 2e bras R.G. (42m) (3 files de rails) Ligne de Nantes à Saintes vers Saintes Saint-Sébastien-sur-Loire Périphérique de Nantes Basse-Goulaine RN 249 Haute-Goulaine Pont d'Embreil sur la Goulaine Embreil (Saint-Julien-de-Concelles) La Queue des Haies (Saint-Julien-de-Concelles) Saint-Julien-de-Concelles La Landelle (Le Loroux Bottereau) Le Loroux-Bottereau Le Douet Rouaud (Le Loroux Bottereau) La Remaudière Pont sur la Divatte Landemont Saint-Christophe-la-Couperie Le Puiset-Doré Saint-Rémy-en-Mauges Pont sur l'Èvre Montrevault Le Fief-Sauvin Ligne de Saint-Jean-de-Linières à Beaupréau vers St-Jean-de-L. Beaupréau Pont sur l'Èvre Andrezé Saint-Macaire-en-Mauges Bégrolles-en-Mauges Saint-Léger-sous-Cholet Ligne de La Possonnière à Niort vers La Possonnière Ligne de Clisson à Cholet vers Clisson Cholet Ligne de Cholet à Saumur vers Saumur Ligne de La Possonnière à Niort vers Niort

4. Ligne de Saint-Jean-de-Linières à Beaupréau (47 km) ; la Loire est traversée en 1900 entre Chalonnes-sur-Loire et La Possonnière.

Schéma de la ligne Légende Ligne d'Angers à Candé vers Angers Saint-Jean-de-Linières Ligne d'Angers à Candé vers Candé Saint-Martin-du-Fouilloux Chevigné (Saint-Georges-sur-Loire) Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers Tours La Possonnière (Gares de l'État et d'Anjou) Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers St-Nazaire Viaduc de L'Alleud sur la Loire et le Louet (3 files de rails) Chalonnes-État (Gare de l'État) Pont sur le Layon Ligne de La Possonnière à Niort vers Niort Chalonnes-Anjou (Gare d'Anjou) Saint-Laurent-de-la-Plaine Bourgneuf-en-Mauges Saint-Quentin-en-Mauges Le Pin-en-Mauges La Salle-Aubry-La Poitevinière Ligne de Nantes à Cholet vers Nantes Beaupréau Ligne de Nantes à Cholet vers Cholet

5. Ligne d'Angers à Candé (43 km) par La Roche Saint-Jean-de-Linières, ouverte en 1909, enjambe la Maine sur le Pont de Pruniers qui relie les communes de Bouchemaine et de Sainte-Gemmes-sur-Loire.

Schéma de la ligne Légende Ligne de Segré à Nantes-État vers Nantes Candé (Gare de l'État et Gare d'Anjou) Ligne de Segré à Nantes-État vers Segré Angrie Pont sur l'Erdre La Cornuaille La Mornais (Le Louroux-Béconnais) Le Louroux-Béconnais Carrière de la Roche Bleue Bécon-les-Granits Pont sur la Romme Saint-Augustin Gourmaillon-Saint-Clément (Saint-Léger-des-Bois) Saint-Léger-Saint-Lambert Autoroute A11 Ligne de Saint-Jean-de-Linières à Beaupréau vers Beaupréau Saint-Jean-de-Linières Pruniers (Bouchemaine) Pont de Pruniers sur la Maine La Croix Verte (Sainte-Gemmes-sur-Loire) Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers St-Nazaire Angers (Gare de Saint-Laud et Gare d'Anjou) Ligne de Tours à Saint-Nazaire vers Tours Ligne de Angers à Noyant-Méon vers Noyant-Méon

6. Le raccordement de la ligne nord de Noyant à Angers et Candé et des lignes sud Loire, entre La Possonnière et La Roche Saint-Jean-de-Linières est ouvert en 1910.

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  Un train en gare de Saint-Sebastien-sur-Loire.
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  La gare de Saumur-Rive-Droite reliée à celle des chemins de fer de l'Anjou par le tramway de Saumur.
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  Le Pont de Pruniers, vers 1914.
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  Train en gare du Loroux-Bottereau.

Illustration	Modèle ou type	Nombre	Numéros	En service	Hors service	Remarques
	De Dion-Bouton JM2[2]	1		1924
	De Dion-Bouton JM3[2]	5	21-22, 24-26	1930
	De Dion-Bouton JM4[2]	7	27-28	1932
	Brissonneau et Lotz	5	31-35	1934	1947

Le réseau était exploité avec 30 locomotives,soit:

N° 21 à 26 de la Société alsacienne de constructions mécaniques (SACM),

N° 51 à 70, construites par Blanc-Misseron

N° 101 à 104, construites par Weidknecht

11 voitures de 1ère classe, de type A

56 voitures de 2ème classe, de type B

8 voitures mixtes de 1ère et 2ème classe, de type ABB

5 voitures mixtes de 1ère et 2ème classe, de type AB

2 voitures mixtes de 1ère et 2ème classe, de type AAB

20 unités

400 wagons

En 1924, une automotrice De Dion-Bouton à essence de type JM1 est mise en service.

En 1928, la Société générale des chemins de fer économiques (SE) met en service douze voitures à bogies Blanc-Misseron et Decauville provenant des réseaux de Seine-et-Marne et du Nord, ainsi que 2 locomotives 130T Decauville provenant du réseau de la Woëvre.

Douze draisines Billard 4.4.15 sont également approvisionnées afin de rationaliser le travail des équipes de la voie.

À partir de 1930, afin de séparer les trafics voyageurs et marchandises, la SE met en service sept autres automotrices De Dion-Bouton de type JM, complétées en 1934 par cinq automotrices Brissonneau et Lotz. Certaines voitures voyageurs et fourgons sont à cette occasion transformées en remorques d'autorail afin de compléter la demi douzaine de remorques De Dion-Bouton et Brissonneau-et-Lotz.

L'achat en 1939 d'automotrices Tartary au réseau des Deux-Sèvres ne sera pas suivi d'une mise en service, le matériel étant en partie détruit par les bombardements d'Angers en 1940.

Certaines communes traversées par le réseau du Petit Anjou en conservent le souvenir :

• Saint-Sébastien-sur-Loire :
  • gare du Petit-Anjou, restaurée en salle d'expositions ;
  • rues du Petit-Anjou et Jean-Macé, suivent un tronçon de l'ancienne ligne ;
  • gymnase du Petit Anjou ;
  • viaduc (désaffecté) sur le ruisseau de la Patouillère, à la limite entre Saint-Sébastien et Basse-Goulaine ;
• Basse Goulaine :
  • dans le prolongement du viaduc de la Patouillère, les rues du Bois Bredy, de l'Ouche aux Roux et de Bretagne reprennent l'ancien tracé de la voie ;
  • la gare de la Grande Ouche est aujourd'hui une maison d'habitation (rue d'Anjou). La voie passait de l'autre coté du bâtiment par rapport à cette rue ;
• Saint-Julien-de-Concelles^[3] :
  • quartier du Petit-Anjou ;
  • ZAC du Petit-Anjou ;
• Le Loroux-Bottereau : tronçon de voie (rails et traverses) conservé en bordure du chemin des Bordouillières, au départ des circuits de randonnée des Horizons et des Moulins et de l'Ouen) qui emprunte une partie du contournement sud ;
• Chalonnes-sur-Loire et Le Fief-Sauvin : rues du Petit-Anjou ;
• Bouchemaine : pont de Pruniers, appelé le pont du Petit-Anjou ou pont de la Liberté;
• Saint-Martin-du-Fouilloux et Les Cerqueux-sous-Passavant : ponts du Petit-Anjou ;
• Saint-Jean-de-Linières : gare de Saint-Jean, rénovée, siège de l'association des amis du Petit Anjou ;
• Doué-la-Fontaine : salle du Petit-Anjou^[4]
• Montreuil-Bellay : quartier du Petit-Anjou ;
• Montrevault, Angrie et Bourgneuf-en-Mauges : écoles du Petit-Anjou ;
• La Chaussaire et Gesté : noms d'entreprises Le Petit-Anjou ;
• Thouarcé : ADMR Le Petit-Anjou ;
• Angers : atelier du Petit-Anjou ;
• Beaupréau : rond-point de l'Étoile (situé a proximité de la place ou se situait l'ancienne gare totalement disparue).

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  Un vestige du Petit Anjou en Loire-Atlantique : l'ancienne gare de Saint-Sébastien-sur-Loire datant de 1899, située rue Jean-Macé.
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  Ancienne gare de Saint-Léger-sous-Cholet (ligne Nantes-Cholet).
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  Elément de voie, préservé au Loroux-Bottereau.
• 
  Le Pont de Pruniers dédié aux piétons et cyclistes.

Les premières recherches historiques débutent au cours des années 1960 pour aboutir, en 1983, à la création de l'Association des amis du Petit Anjou (AAPA) qui réussit à récupérer, entre autres, quatre voitures voyageurs (B111, B118, B130 et Ac21), un fourgon, la moitié d'un autre et trois wagons couverts du réseau.

Une autre voiture voyageurs (B108) est également sauvegardée en Touraine par l'association du chemin de fer du lac de Rillé.

La voiture B 111 a été entièrement restaurée de 1994 à 2000 et est aujourd'hui classée monument historique.

La voiture de première classe Ac21 a été entièrement restaurée entre 2002 et 2008.

L'AAPA a également restauré une draisine Billard classée monument historique, un lorry, un wagon tombereau des Tramways des Deux-Sèvres, une locomotive diesel LKM V10C et un locotracteur Dujardin des anciennes ardoisières de Trélazé.

Une vingtaine d'autres véhicules sont en attente de restauration dont des voitures et wagons du Blanc-Argent, de la SE Somme, des Tramways du Loiret et des Deux-Sèvres ainsi que des ardoisières de Trélazé et l'une des deux dernières motrices Buire du réseau des tramways d'Angers mise en service à Tours en 1913.

• Michel Raclin et Michel Harouy, Une mémoire sur les rails : Le Petit-Anjou au quotidien, Coudray-Macouard, Éditions Cheminements, coll. « Trains d'Ici », 1998, 316 p. (ISBN 2-909757-77-3, lire en ligne)

• « Les automotrices diesel-électriques des Chemins de fer de l'Anjou », Le Génie civil, vol. CVIII 17, n^o 2802,‎ 25 avril 1936, p. 396-398 (lire en ligne)

• Michel Raclin, Michel Harouy, Gérard Dezaire, Max Mary, "Le Petit Anjou, 60 ans de la vie des Angevins et du pays nantais", éditions Cénomanes, 1986
• Jacqueline Cantaloube, Michel Raclin, « Il était une fois le Petit Anjou », éditions AAPA, 2008
• Michel Harouy, Michel Raclin, « Au temps du Petit Anjou, chemin de fer départemental de Maine-et-Loire », Édition AAPA, Rééd.2005
• Michel Harouy, « Les chemins de fer angevins pendant la guerre 1939-1945 », les Dossiers de l'AAPA n°16, édition AAPA 1994
• Michel Harouy, « Histoire du pont de Pruniers », les Dossiers de l'AAPA n°17, éditions AAPA 1995
• Michel Raclin, Michel Harouy, « Vihiers au temps du Petit Anjou », les Dossiers de l'AAPA n°18, édition AAPA 1996
• Michel Raclin, Michel Harouy, « De Vihiers à Cholet au temps du Petit Anjou », les Dossiers de l'AAPA n°19, édition AAPA 1996
• Michel Raclin, Michel Harouy, « LePetit Anjou en Pays saumurois », les Dossiers de l'AAPA n°20, édition AAPA
• Michel Harouy, Michel Raclin, « le raccordement des réseaux sud et nord du Petit Anjou », les Dossiers de l'AAPA n°21, éditions AAPA 1998
• Michel Harouy, Michel Raclin, « L'étoile ferroviaire de Beaupréau », les Dossiers de l'AAPA n°23, éditions AAPA 1999
• Michel Raclin, Michel Harouy, « Le Petit Anjou en Loire-Béconnais », Les Dossiers de l'AAPA n°24, éditions AAPA, 2001
• Michel Raclin, Michel Harouy, « Le Petit Anjou en vallée de l'Authion », Les Dossiers de l'AAPA n°25, éditions AAPA, 2006
• Michel Raclin, Michel Harouy, « Le Petit Anjou en Pays baugeois », Les Dossiers de l'AAPA n°26, éditions AAPA, 2006

• Liste des chemins de fer à voie métrique de France

• Site de l'Association des Amis du Petit Anjou
• Carte du réseau à l'échelle cadastrale (OSM - UMAP) - publiée en 2020

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