Pierrick Gunther grandit à Cogolin dans le Var[réf. nécessaire]. Dernier d'une fratrie de trois garçons, enfant de parents divorcés, lui et ses frères sont élevés par leur mère[réf. nécessaire]. Il est très vite poussé et aidé par sa famille à poursuivre dans la voie de rugbyman professionnel[réf. nécessaire]. Son potentiel est repéré lors de ses débuts au RC Grimaud Sainte Maxime, et il rejoint le RC Toulon où il poursuit sa formation[réf. nécessaire]. Il intègre l'équipe première de manière durable lors de la saison 2011-2012. Ayant un style de jeu, un look et un gabarit similaire, il est comparé à Sébastien Chabal[réf. nécessaire]. Il intègre l'équipe première lors de la blessure de Joe van Niekerk[réf. nécessaire]. Malgré les revenants de la coupe du monde, il se fait une place et intègre toujours le groupe de plus en plus couramment[réf. nécessaire]. Il est titulaire lors de la demi-finale contre Clermont mais il n'est pas titulaire contre Stade toulousain en finale.
Lors du début de la saison 2012-2013, il est souvent utilisé par Bernard Laporte. Lors d'un déplacement à Montpellier, il marque un essai de 100 mètres[réf. nécessaire]. Il est élu homme du match[réf. nécessaire]. Il est titulaire pour la revanche de la finale contre Toulouse mais se blesse[réf. nécessaire]. Le , il intègre pour la première fois une liste de 33 joueurs retenus par Philippe Saint-André pour les tests de novembre avec l’Équipe de France[4]. Lors du match qui confronte le Stade toulousain au Biarritz olympique, le troisième ligne Wenceslas Lauret initialement prévu pour le Tournoi des Six Nations doit déclarer forfait à la suite d'un KO il se fait remplacer par Gunther[5]. Il n'est pas retenu pour jouer contre l'Italie (défaite des bleus 23-18) ni contre le pays de Galles.