Contributeur actif du développement de l’« archi-sculpture » il recherche dans son travail les justes proportions et la place idéale des œuvres au grand air. D'abord sculpteur sur marbre et pierre, il travailla ensuite le bois, avant de se tourner durant les dernières années de sa vie vers des expériences avec des matériaux modernes fabriqués industriellement[2], tels que les briques, tuiles, ou traverses de chemin de fer.
Au cours de l’année 1953, son projet de Mémorial des Martyrs de la Déportation sur l'île de la Cité à Paris, porté conjointement avec l'architecte Georges-Henri Pingusson est choisi par le Réseau du Souvenir[3], et aurait pu marquer l'apogée de sa contribution à l'archi-sculpture, mais Raymond Veysset se retire du projet en 1957, ce qui modifia considérablement le projet initial[3].